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mentesque sanctificet. célèbrent dignement ce SaPer Dominum nostrum crifice. Par Jésus-Christ Jesum Christum. Amen. | notre Seigneur. Amen.

La deuxième et la troisième Secrètes se trouvent ci-dessus, au premier Dimanche de Carême, page 153.

Empruntant encore les paroles de David, l'Eglise exprime dans l'Antienne de la Communion le bonheur de l'âme unie à Dieu dans le sacrement d'amour. C'est le sort auquel seront appelés bientôt les heureux Catéchumènes dont l'admission au Baptême vient d'être prononcée; ce sera aussi celui des Pénitents qui auront lavé dans leurs larmes les souillures de leur vie passée.

COMMUNION.

ASSER invenit sibi do

PASSER

mum, et turtur nidum, ubi reponat pullos suos altaria tua, Domine virtutum, Rex meus et Deus meus beati qui habitant in domo tua: in sæculum sæculi laudabunt te.

E passereau a trouvé sa

Le retraite; la tourterelle le nid où déposer ses petits: vos autels sont ma demeure, Seigneur des armées, mon Roi et mon Dieu! Heureux ceux qui habitent dans votre maison! ils vous loueront dans les siècles des siècles.

L'Eglise, dans la Postcommunion, supplie le Seigneur, au nom des Mystères auxquels les fidèles ont participé, de vouloir bien absoudre les pécheurs, et les délivrer des périls éternels qu'ils ont eu le malheur d'encourir.

CUNCTIS nos,

POSTCOMMUNION.

AIGNEZ, Seigneur, nous

A mus Domine, reati-D délivrer de tous péchés

bus et periculis propitiatus absolve: quos tanti mysterii tribuís esse par

et de tous périls, nous que vous rendez participants d'un si grand mystère. Par

Jésus-Christ notre Seigneur. | ticipes. Per Dominum nostrum Jesum Christum. Amen.

Amen.

La deuxième et la troisième Postcommunions, ci-dessus, au premier Dimanche de Carême, page 154.

A VÊPRES.

Les Psaumes se trouvent au Dimanche, ci-dessus, page 112.

CAPITULE.

Mtateurs de Dieu, comme
Es Frères, soyez les imi-

ses enfants bien-aimés, et
marchez dans la charité,
comme Jésus-Christ nous a
aimés, et s'est livré lui-
même pour nous, s'offrant à
Dieu comme une oblation
et une victime d'agréable
odeur.

FRA

RATRES: estote imitatores Dei, sicut filii charissimi et ambulate in dilectione, sicut et Christus dilexit nos, et tradidit semetipsum pro nobis, oblationem hostiam Deo in odorem suavitatis.

. Rendons grâces à Dieu. B. Deo gratias. L'Hymne et le Verset ci-dessus, page 120.

ANTIENNE DE Magnificat.

NE femme, élevant la

et

XTOLLENS vocem quæ

Edam mulier de turba, dixit: Beatus venter qui

UNE Voix du milieu de la foule, dit: Heureux le sein qui vous a porté et les ma-te portavit, et ubera quæ melles qui vous ont nourri! Mais Jésus lui dit: Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la pratiquent !

suxisti. At Jesus ait illi: Quinimo beati qui audiunt verbum Dei, et custodiunt illud.

Qt

ORAISON.

D

UESUMUS, omnipo- IEU tout-puissant, daitens Deus, vota hugnez regarder favoramilium respice: atque blement les voeux de notre ad defensionem nostram, humilité, et étendre pour dexteram tuæ majestatis nous protéger le bras de extende. Per Dominum votre Majesté. Par Jésusnostrum Jesum Chris- | Christ Seigneur.

tum. Amen.

Amen.

notre

Le Bréviaire Mozarabe nous fournit cette belle prière, au commencement de la troisième semaine de Carême.

CAPITULA.

(Brev. Gothicum. In Dominica III Quadrage

simæ.)

ÉJA quatorze jours sur

UARTI nunc et decimi Dette carrière qui forme

Q

diei de nostrorum

dierum decimis curri-la dîme de l'année, sont culo jam peracto, ad te levamus oculos nostros, Domine, qui habitas in cœlis; impende jam et misericordiam miseris, et medelam porrige vulneratis; tu nobis adgressum iter placidum effice: tu cor nostrum in mandatorum tuorum semitis dirige per te lucis inveniamus viam per te luminosa amoris tui capiamus incendia: tu laboribus requiem, tu laborantibus tribue mansionem; ut horum dierum observatione tibi placentes, gloriæ tuæ mereamur esse partici

pes.

écoulés; nous levons nos yeux vers vous, Seigneur, qui habitez les cieux. Repandez votre miséricorde sur les misérables; appliquez le remède aux blessés; rendez-nous sereine cette voie où nous sommes entrés; dirigez notre cœur dans le sentier de vos préceptes. Faites-nous trouver le chemin de la lumière. Eclaireznous et embrasez-nous de votre amour. Donnez le repos après le travail, l'habitation tranquille après les fatigues, afin que, nous étant rendus agréables à vos yeux par l'observance de ces saints jours, nous méritions d'être participants de votre gloire.

LE LUNDI

DE LA TROISIÈME SEMAINE DE CARÊME.

A Station est dans l'Eglise de SaintMarc, bâtie au ive siècle en l'honneur de l'Evangéliste de ce nom, par le pape saint Marc, dont le corps y repose encore aujourd'hui.

DA

COLLECTE.

AIGNEZ, Seigneur, verser ORDIBUS nostris, quæCsumus Domine, gravotre grâce dans nos cœurs, afin qu'en pratiquant tiam tuam benignus inl'abstinence des viandes, funde: ut sicut ab escis nous retirions aussi nos carnalibus abstinemus, sens des excès qui nous fu- ita sensus quoque nosrent nuisibles. Par Jésus-tros a noxiis retrahamus Christ notre Seigneur. excessibus. Per ChrisAmen.

tum Dominum nostrum. Amen.

LEÇON.

Lecture du livre des Rois.

IV, CHAP. V.

N ces jours-là, Naaman,

E général de l'armée du roi de Syrie, était un homme puissant et en grand honneur auprès de son maître ; car le Seigneur avait sauvé par lui la Syrie. Il était vaillant et riche, mais lépreux. Or il arriva que des voleurs sortis de Syrie firent captive une

Lectio libri Regum.

IV, CAP. V.
N diebus illis: Naaman,

princeps militiæ regis

Syriæ, erat vir magnus apud dominum suum, et honoratus: per illum enim dedit Dominus salutem Syriæ erat autem vir fortis et dives, sed leprosus. Porro de Syria egressi fuerant latrunculi, et captivam

duxerant de terra Israel | jeune fille de la terre d'Israël, et que celle-ci fut attachée au service de la femme de Naaman. Cette fille dit à sa maîtresse : Plût à Dieu que mon maître eût été trouver le Prophète qui est en Samarie ! il aurait été assurément guéri de sa lèpre. Naaman alla donc trouver son maître et lui dit : Une fille de la terre d'Israël a dit ceci et cela. Le roi de Syrie lui dit: Va, et j'écrirai pour toi au roi d'Israël. Naaman partit donc, et prit avec lui dix talents d'argent, six mille écus d'or et dix habillements neufs, et il porta au roi d'Israël la lettre du roi de Syrie ainsi conçue : Lorsque vous aurez reçu cette lettre, elle vous apprendra que j'ai envoyé yers vous Naaman mon serviteur, afin que vous le guérissiez de sa lèpre. Le roi d'Israël, ayant lu cette lettre, déchira ses vêtements, et dit: Suis-je donc un Dieu pour pouvoir ôter et rendre la vie, que celui-ci m'envoie un homme à guérir de la lèpre? Considérez et voyez que ce roi cherche une occasion contre moi. Elisée, l'homme de Dieu, ayant appris que le roi d'Israël avait ainsi déchiré ses vêtements, lui envoya dire: Pourquoi avez-vous déchiré vos vêtements? Que cet homme vienne à moi, et qu'il sache qu'il y a un Prophète en Israël. Naaman

puellam parvulam, quæ erat in obsequio uxoris Naaman. Quæ ait ad dominam suam: Utinam fuisset dominus meus ad Prophetam, qui est in Samaria: profecto curasset eum a lepra quam habet. Ingressus est itaque Naaman ad dominum suum, et nuntiavit ei, dicens: Sic et sic locuta est puella de terra Israel. Dixitque ei rex Syriæ: Vade, et mittam litteras ad regem Israel. Qui cum profectus esset, et tulisset secum deceni talenta argenti, et sex millia aureos, et decem mutatoria vestimentorum, detulit litteras ad regem Israel, in hæc verba: Cum acceperis epistolam hanc, scito quod miserim ad te Naaman servum meum, ut cures eum a lepra sua. Cumque legisset rex Israel litteras, scidit vestimenta sua, et ait Numquid Deus ego sum, ut occidere possim et vivificare, quia iste misit ad me, ut curem hominem a lepra sua? Animadvertite et videte quod occasiones quærat adversum me. Quod cum audisset Elisæus vir Dei, scidisse videlicet regem Israel vestimenta sua, misit ad eum dicens: Quare scidisti vestimenta tua? Ve

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