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P. 195 Pour rendre la ressemblance plus frappante, nous avons supprimé la terminaison du mot anglo-saxon de porte, dora et duru.

P. 204, n. 1: Nous ne connaissons de Lambertus Ardensis que l'Historia Comitum Ardensium et Ghisnensium, imprimé dans le Recueil des Historiens de France, t. XI, p. 295; t. XIII, p. 423, et t. XVIII, p. 583; et le passage cité par Du Cange ne s'y trouve pas mais romanitas ne peut signifier que le pays où se parlait le roman d'Oil, puisqu'il était curé d'Ardres, et que son livre est dédié à Arnold II, comte d'Ardres et de Guines, qui mourut en 1220.

P. 211, n. 1: Quinque autem linguis utitur Brittania, Brittonum videlicet, Anglorum, Scottorum, Pictorum et Latinorum; Henricus Huntingdoniensis, Historiae, ap. Savile, p. 299.

P. 219, n. 1: C'est là sans doute uno des causes de la différence entre la langue que l'on parlait en Normandie et celle du reste de la France; Richard de Lison, qui écrivait à Bayeux dans le 130 siècle, ne nous permet pas de douter qu'elle ne fût assez marquée :

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Qu'il est Normanz, s'il a mepris,
Il n'en doit ja estre repris,
Se il y a de son langage;

Car fox n'est, ne ni ert ja sage,
N'il ne veult guerpir sa nature;

Toujours sied la pome au pomier. Romans du Renard, ap. de La Rue, Histoire des Bardes, t. I, p. 282.

P. 285, n., 1e col., 1. 15: Nous savons par Müller, Sagabibliothek, t. III, p. 483, qu'un roman de Landres, qui appartenait au cycle carlovingien, avait été traduit de l'anglais en islandais; mais nous ignorons si c'est le même.

P. 286, n. 1: Rime a été pris dans le

sens de rhythme par frère Regnault de Louens, dans son Romans de Fortune et de Felicite :

Car le livre cuidai rimer

Tout selon la rime premiere, Mais un peu trop fort la trouvai, Si j'ai rime en plus (1?)aigiere. Ap. Mémoires de l'Académie des Inscriptions, t. II, p. 740;

mais la langue n'est pas vieille, et Louens n'est pas un poëte populaire.

P. 287, n. 7: Inventer vient aussi d'invenire.

P. 295, n. 5: Il est impossible de croire que la fable ou le fabliau était une histoire inventée, puisque le Romans du Fablias des Vins, ap. Sinner, Cat. Bib. Bernensis, t. III, p. 351, commence par ces trois vers :

Segnor, oies une grant fable
Qui avint jadis sor la table
Au bon Roy qui ot non Felipe.

P. 300, n. 8: Leich se disait cependant beaucoup plus souvent du chant que des instruments, quoiqu'on trouve dans le Tristran de Gottfried

Einem leiche den ein harpfer tete P. 318, n., 1o col., 1. 6:

S'en faisoient grands esbanois Tables reondes et tournois. Joannes de Condato, ap. Du Cange, Glossa rium, t. VI, col. 952.

P. 323, n. 3: Il y a dans Docen, Miscellaneen, t. II, p. 207, un poëme miparti d'allemand et de français, et M. Hoffmann a publié dans son Fundgruben, t. I, p. 340, un lai de la dernière moitié du 10e siècle, en allemand et en latin : Nunc almus assis filius thero ewig ero

thiernun, etc.

P. 359, 1. 18: Le Parement des Dames est d'Olivier de la Marche; c'est un poëme en stances de huit vers de huit syllabes, qui ne remonte ainsi qu'au 15° siècle; voyez les Mémoires de l'Académie des Inscriptions, t. II, p. 743.

MOTS ISLANDAIS ADOPTÉS PAR LES LANGUES ROMANES.

BENDA (arcuere),

bander. DUA (motare), toouiller, vieux français Si avint en ce point que charetes que on charioit parmi les rues, esmurent et toouillerent si la boue et l'ordure dont ele estoient plaines, que une puors en işsi si granz que a peines la peust nus souffrir; Chroniques de Saint-Denis, ap. Recueil des Historiens de France, t. XVII, p. 359.

FRYSA (horrescere), frissonner; affreux.

HAND (manus); ajoutez que wantus, gant, est dans le Waltharius, v. 1426. HARD (fortis), behorder, vieux français :

Si, amiralz Sire, dit Hue, antandez,
Et car me faites unez armez prester
Et ung chevalz sur quoy puisse monter;
En la bataille avec vous m'an irez;
Si saverez comment sai behorder.

Livres de Huelin de Bourdialx et du roi

Abron, B. R., fonds de Sorbonne, no 540, fol. XI.

KLEPP (tumor, nodus), clop, vieux français: Maint aveugle i furent enlumine, maint clop redrecie; Chroniques de Saint-Denis, ap. Recueil des Historiens de France, t. XVII, p. 377. Nous avons encore éclopé, clopiner et clopinclopant. vieux

MUSSA (cucullus), se mucher, français et patois normand.

TRUBLA (confundere), tribler, vieux français : Ìl en demora petit (des blés) qui ne fussent marchie et trible; Chroniques de Saint-Denis, ap. Recueil des Historiens de France, t. XVII, p. 356.

VISA (certitudo), vis, vieux français; ajoutez cette citation:

N'est pas dreiz, co m'est vis, mais lei a volente. Vie de saint Thomas de Cantorbéry, éd. de Bekker, p. 11, v. 10; p. 12, v. 22; etc.

Nous rétablissons trois passages de Strabon qui ont été mal imprimés.

P. 170, note 4 :

Οὐδε Βαρβαρους έτι όντας, αλλα μεταλειμένους το πλεον εἰς τον των Ρωμαίων τυπον, και τη γλώττη, και τοις βίοις, τινας δε και τη πολιτεια; liv. IV, p. 285, ed. d'Amsterdam, 1707. P. 172, note, 1o col. : Εἰς τον Ρωμαίων μεταβεβληνται

Au lieu de Sæmund lisez partout Sæmund, et Manesses au lieu de Mauessen.

P. 14, u., lisez : Völund. P. 25, n. 2: Τοῦ Πηλέιδου Ἀχιλλέως. Ρ. 49, n. 1, 1.6 : fiölkunnigr. P. 54, n. 1, l. 4: Opinn. P. 84, n. 2, 1. 9 : ὁμοιων. P. 89, n. 2, 1. 6 : δεξιον. Ρ. 95, n., 1. 14 lastmæli. P. 96, n., 2o col., 1.7: Pomponius Mela, De Situ Orbis, I. III, c. 6, p. 34, recto, éd. de Paris, 1584.

:

τροπον, ούδε της διαλέκτου της σφε τέρας ἔτι μεμνημενοι; liv. III, p. 225.

P. 174, note 1:

Οἱ ̓Ακουιτανοι διαφέρουσιν ούτω Γαλατικού φύλου, κατα τε τας των

σωματων κατασκευας, και κατα την γλωτταν; liv. IV, p. 238.

P. 110, n. 5, l. 1, ôtez dages. P. 111, n., 1 col., 1. 11, lisez Orkneyinga. P. 123, 1 col., 1. 4: Verelius. P. 125, 1e col., 1. 48: Hörnen, ou Hürnin. P. 192, n. 1, l. 5 eum. P. 199, n., 2o col., C, 1. 3; iλeyyiæv; F, l. 1 : ὀρομαι ει φερομαι. P. 218, n. .1, 1.26: gula. P. 220, n. 2, l. 13 : Portendi. P. 441, 2e col., 1. 13: Dauletschah Ghazi. P. 445, n., 1. col., 1. 5: Up..

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