Fragment de philosophie moderneDidier, 1856 |
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Strona 12
... doute . si les non matérielles ne périssaient point aussi avec elles ; c'est ce que signifie le mot de saltem , de sorte qu'on pouvait les soupçonner de n'avoir mis que par forme l'exception de l'âme raisonnable . 10 ° Mais cet arrêt ...
... doute . si les non matérielles ne périssaient point aussi avec elles ; c'est ce que signifie le mot de saltem , de sorte qu'on pouvait les soupçonner de n'avoir mis que par forme l'exception de l'âme raisonnable . 10 ° Mais cet arrêt ...
Strona 14
... doute guère convenable ni à un siècle si éclairé que le nôtre , ni à la réputation de sagesse de tant de grands magis- trats , ni à la gloire d'un aussi grand roi que Dieu nous a donné , que l'on s'expose au danger de faire que la pos ...
... doute guère convenable ni à un siècle si éclairé que le nôtre , ni à la réputation de sagesse de tant de grands magis- trats , ni à la gloire d'un aussi grand roi que Dieu nous a donné , que l'on s'expose au danger de faire que la pos ...
Strona 48
... doute s'il savoit le latin . Il allègue le tome II des let- tres de Descartes , p . 308. Il faut le voir . « P. eadem . Un autre aussi grand abus , en ce qu'il dit que j'ay esté un des trois curateurs de l'Académie de Breda , fondée en ...
... doute s'il savoit le latin . Il allègue le tome II des let- tres de Descartes , p . 308. Il faut le voir . « P. eadem . Un autre aussi grand abus , en ce qu'il dit que j'ay esté un des trois curateurs de l'Académie de Breda , fondée en ...
Strona 49
... doute de mon père et non pas de moy . « P. 292. Je doute fort si la lettre qu'il m'attribue , adres- sée au P. Mersenne , n'est pas de mon père . Je ne crois pas qu'en 1646 j'eusse encore lu le livre de Regius , ni ne me souviens pas de ...
... doute de mon père et non pas de moy . « P. 292. Je doute fort si la lettre qu'il m'attribue , adres- sée au P. Mersenne , n'est pas de mon père . Je ne crois pas qu'en 1646 j'eusse encore lu le livre de Regius , ni ne me souviens pas de ...
Strona 77
... doute ; cependant nous sçavons au- jourd'huy , qu'il s'en faut infiniment qu'elle aille aussi loin qu'elle devroit et qu'il disoit . Les plus importants problêmes ont besoin d'une nouvelle façon d'analyse ' toute différente de la sienne ...
... doute ; cependant nous sçavons au- jourd'huy , qu'il s'en faut infiniment qu'elle aille aussi loin qu'elle devroit et qu'il disoit . Les plus importants problêmes ont besoin d'une nouvelle façon d'analyse ' toute différente de la sienne ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Alençon Amiens amis Arnauld assez auteur avez avoit Baillet Bernard Lamy Boisot Bourdelot Caen Calvin Cambray cardinal cartésienne charité choses chrétienne collége collège de Clermont COMPAGNIE DE JÉSUS concile concile de Trente connoissance connoître corps correspondance crois d'Aristote d'Avranches Descartes dessein Dieu dire doctrine donner Dutertre écrit envoyé esprit esté estre étoit Fragments de philosophie hæc homme Huet idées divines infiniment j'ai j'avois j'ay j'en jansénisme jésuites jugement l'abbé Guyot l'âme l'Église l'esprit l'Oratoire Leibnitz Lelong lettre livre m'en Malebranche mande manuscrit Marbeuf matière ment Monsieur Moreri mort n'ai n'ay Nicaise opinions ouvrages parle paroît Pax Christi pense PÈRE ANDRÉ père général père provincial persécution personne philosophie cartésienne plaisir platonisme pourroit quæ raison recteur religion réponse révérend père rien Rome Rouen saint Augustin sçavant sçay sentiments sera seroit seul souhaite Spanheim Spinoza théologie tion très-humble et très-obéissant très-obéissant serviteur très-révérend père trouve vérité zèle
Popularne fragmenty
Strona 263 - Quesnel ; ce n'est plus que le Platon du christianisme , l'ange de la philosophie moderne , un penseur sublime , un écrivain d'un naturel exquis et d'une grâce incomparable. Retenir, altérer, détruire la correspondance d'un tel personnage , c'est dérober le public, et, à quelque parti qu'on appartienne, c'est soulever contre soi les honnêtes gens de tous les partis.
Strona 190 - Cambray est tombé dans le dernier mépris, et on veut mal à M. l'archevêque de Paris et à. M. de Meaux de l'avoir laissé faire archevêque , sachant tout ce qu'ils en savaient, dont ils n'ont encore révélé qu'une partie; on dit qu'on avait saisi deux caisses d'une réponse de ce prélat aux réponses de M. l'archevêque et de M. de Meaux à ses lettres, mais qu'ils ont supplié le roi de la laisser paraître, l'ayant assuré qu'elle ne ferait aucun tort à la bonne cause, et au contraire,...
Strona 446 - ... à son tour, et devenant ainsi le point d'appui inébranlable de la certitude universelle; 4°. la spiritualité et la simplicité de l'âme, solidement établies, servant de fondement à son incorruptibilité et à l'espoir d'une autre vie; 5°. partout la vertu mise dans l'empire sur soi-même, le bonheur dans la modération des désirs et dans le développement tempéré et harmonieux de toutes les facultés accordées à l'homme , sous le gouvernement de la raison, et l'œil toujours dirigé...
Strona 263 - Cet important sujet, nous voulons adresser encore une fois avec toute la force qui est en nous, notre publique et instante réclamation à celui qui possède encore aujourd'hui les matériaux de ce grand ouvrage. Qu'il sache qu'il ne lui est pas permis de retenir le précieux dépôt tombé entre ses mains, encore bien moins de l'altérer. Tout ce qui se rapporte à un homme de génie n'est pas la propriété d'un seul homme, mais le patrimoine de l'humanité....
Strona 446 - Descartes pose les fondements, à savoir : 1°. l'autorité première et souveraine de la conscience, qui nous révèle l'existence d'une âme spirituelle avec autant de certitude, ou, pour mieux dire, avec plus de certitude que les sens ne nous donnent l'étendue et la matière; 2°, sous le sentiment de notre imperfection et de nos limites en tout genre , l'idée irréfragable d'un être parfait et infini , dont la conception seule démontre l'existence ; 3°.
Strona 173 - ... infiniment au-dessus des amours des créatures ; car les autres objets dignes d'estre aimés font en effet partie de notre contentement ou de notre bonheur en tant que leur perfection nous touche et nous plaît, au lieu que la félicité de Dieu ne fait pas une partie de nostre bonheur, mais le tout. Il en est la source et non pas l'accessoire ; et les plaisirs des objets aimables mondains pouvant nuire par des conséquences, le seul plaisir qu'on prend dans la jouissance des perfections divines...
Strona 454 - ... savoir. Disciple de la lumière, au lieu d'interroger les morts et les dieux de l'école, il ne consulta que les idées claires et distinctes, la nature et l'évidence.
Strona 223 - ... deviner , surtout quand on n'en dit que du bien. Voilà, Monsieur, bien de la peine que je vous donne , mais c'est pour vous faire plaisir, et il est bien juste que nous travaillions à frais communs à la gloire de notre commun père. Je suis , avec respect , en N.-SJ-C., qui aura, comme il le mérite , la meilleure place dans notre ouvrage , comme il y aura la meilleure part , « Monsieur, « Votre très-humble et très-obéissant serviteur ,
Strona 246 - ... seraient pas assez intéressants. C'est pourquoi je commence par. exposer l'état où se trouvait la philosophie de M. Descartes, qui a changé la face de la république des lettres, lorsque le P. Malebranche parut dans le monde. Je parle du jansénisme, du thomisme et du molinisme, à l'occasion de la dispute avec M. Arnauld. Les contestations du quiétisme y entrent ensuite naturellement. J'ai cru que l'affaire de la Chine y devait aussi avoir sa place; vous en voyez sans doute la raison. Non...
Strona 182 - Celuy qui trouve du. plaisir à le contempler et qui trouveroit de la douleur à le voir gasté , quand il appartiendrait même à un autre, l'aimeroit pour ainsi dire d'un amour désintéressé; ce que ne...