Revue savoisienne

Przednia ok³adka
Louis Revon, Aimé i. e. Cloude Aimé Constantin, Gustave Maillard, François Miquet, Marc Le Roux
1893
 

Inne wydania - Wy¶wietl wszystko

Kluczowe wyrazy i wyra¿enia

Popularne fragmenty

Strona 213 - L'homme est un apprenti, la douleur eSt son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.
Strona 280 - Bouvard venait de temps en temps s'informer de mes observations et il les examinait. Ses paroles étaient toujours encourageantes; et, quand il remarquait que j'avais trop froid, il m'invitait à passer chez lui. Peu à peu, il me témoigna plus d'affection, et me proposa de m'initier aux calculs pratiques de l'astronomie. Dès lors il voulut bien diriger toutes mes études avec une bienveillance vraiment paternelle. Il ne s'en tint pas à ces témoignages de boulé; il me présenta à ses amis,...
Strona 280 - J'allais frapper à la première, quand Bouvard, qui sortait de chez lui pour se rendre dans les salles d'observation, me demanda qui je cherchais. Je lui racontai tout d'abord mon histoire, que cet excellent homme parut écouter avec intérêt; puis, il m'emmena avec lui el me mil en présence des instruments astronomiques, spectacle tout nouveau pour moi.
Strona 68 - Ce qu'il ya de certain, c'est qu'il faut, il faut absolument renouveler la génération présente, en formant en même temps la génération qui va venir. Il faut faire des Français un peuple nouveau, lui donner des mœurs en harmonie avec ses lois, lui présenter une éducation aimable, séduisante, enchanteresse ; lui inspirer la liberté, l'égalité, la fraternité surtout, ce sentiment aimable et doux, la première loi, l'unique bonheur de la société, et dissiper ainsi cette terreur sombre...
Strona 280 - Belgique, mais en même temps avec la conviction que tonte mon instruction en astronomie pratique restait à faire. Mon premier soin fut de me rendre à l'Observatoire royal ; mais, en entrant dans ce monument illustré par tant de grands travaux, je sentis mieux encore tout ce qui me manquait. Je n'avais pas même de lettres d'introduction pour sauver les embarras d'une première visite Je montai cependant avec assez d'assurance le grand escalier; mais quand je me trouvai entre les portes voisines...
Strona 337 - Ma mère sous leurs coups est morte de douleur, Son martyre a duré trente ans ! Pardonne-leur ! Le vautour a pillé le nid de la colombe, Pardonne-leur ! Le sang fume sur l'hécatombe. L'impie et le tyran frappent sans se lasser, Détourne tes regards et laisse-les passer ! Qu'ils récoltent l'olive où j'ai cueilli l'épine, Souris à leurs palais bâtis sur ma ruine. A sa vivante artère ils ont saigné mon creur.
Strona 280 - J'étais arrivé à Paris, vers la fin de I823, avec la perspective de pouvoir construire un observatoire en Belgique, mais en même temps avec la conviction que toute mon instruction en astronomie pratique restait à faire. Mon premier soin fut de me rendre à l'Observatoire royal ; mais, en entrant dans ce monument illustré par tant de grands travaux, je sentis mieux encore tout ce qui me manquait. Je n'avais pas même de lettres d'introduction pour sauver les embarras d'une première...
Strona 158 - Aux pieds de mon rocher d'où la cascade tombe, Sous les saules penchés qui pleurent sur la tombe, Et sur mon lac tranquille au flot doux et serein, Lorsque tu voyageais de l'un à l'autre monde, Je suivais de mes vœux ta course vagabonde, Immortel pèlerin!
Strona 68 - Continuez à diriger d'une main ferme et rapide le grand mouvement imprimé par le Peuple français à l'esprit humain , et complétez cet évangile de l'Égalité, qui doit triompher des préjugés les plus antiques, et renouveler la face du monde.
Strona 266 - Gélieu y observe quatre fois par jour , à 9 heures du matin , à midi , à 3 heures et à 9 heures du soir, le baromètre et le thermomètre.

Informacje bibliograficzne