Génie du christianisme, ou Beautés de la religion chrétienne, Tom 2Migneret, 1802 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 22
Strona 16
... montre pas le chef de telle ou telle société mais le fondateur du genre humain , offre encore quelque chose de plus I " ( 1 ) Ce sentiment vient , peut - être de l'intérêt qu'on prend en Hector . Hector est autant le héros du poëme qu ...
... montre pas le chef de telle ou telle société mais le fondateur du genre humain , offre encore quelque chose de plus I " ( 1 ) Ce sentiment vient , peut - être de l'intérêt qu'on prend en Hector . Hector est autant le héros du poëme qu ...
Strona 32
... montre dans toute sa pureté . Avant ce moment , et après ce moment , tout péche ou par défaut ou par excès . Voilà pour- quoi les ouvrages parfaits sont si rares ; car il faut qu'ils soient produits dans ces heu- reux jours de l'union ...
... montre dans toute sa pureté . Avant ce moment , et après ce moment , tout péche ou par défaut ou par excès . Voilà pour- quoi les ouvrages parfaits sont si rares ; car il faut qu'ils soient produits dans ces heu- reux jours de l'union ...
Strona 46
... détruit le merveilleux , rapetisse l'ame et raccourcit la vue . Excepté dans quel- ques - uns de ses chefs - d'œuvres il n'ap- perçoit par - tout que le côté ridicule des 9 9 choses et des temps , et montre trop sou ( 46 )
... détruit le merveilleux , rapetisse l'ame et raccourcit la vue . Excepté dans quel- ques - uns de ses chefs - d'œuvres il n'ap- perçoit par - tout que le côté ridicule des 9 9 choses et des temps , et montre trop sou ( 46 )
Strona 47
François-René “de” Chateaubriand. 9 choses et des temps , et montre trop sou vent sous un jour hideusement gai l'homme à l'homme . Il charme et fatigue par sa mobilité ; il vous enchante et dé- goûte ; on ne sait quelle est la forme qui ...
François-René “de” Chateaubriand. 9 choses et des temps , et montre trop sou vent sous un jour hideusement gai l'homme à l'homme . Il charme et fatigue par sa mobilité ; il vous enchante et dé- goûte ; on ne sait quelle est la forme qui ...
Strona 65
... 'armée des astres se montre long - temps la plus brillante ; mais enfin la reine des nuits se levant avec majesté à travers les nuages , répandit sa tendre lu- Tome II . E 9 moi vers elle . Je tressaillis ; elle tressaillit ( 65 )
... 'armée des astres se montre long - temps la plus brillante ; mais enfin la reine des nuits se levant avec majesté à travers les nuages , répandit sa tendre lu- Tome II . E 9 moi vers elle . Je tressaillis ; elle tressaillit ( 65 )
Inne wydania - Wyświetl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
à-la-fois Adam Agamemnon Amélie amour André Chénier Andromaque anges antique avoient avoit beau idéal beautés belle Bible bonheur c'étoit caractère Carthage céleste Chactas chant CHAPITRE charmes chose christianisme ciel cœur Cyclope d'Homère Dante déserts desirs Didon Dieu Dieux divinités douleur Enée enfers étoient étoit Euripide fille fils foible frère génie goût Grecs Hector Henriade héros Homère hommes humain j'avois j'étois Jérusalem joie Joseph jour l'ame l'amour l'antiquité l'Ecriture l'enfer l'homme l'Iliade larmes malheur mélancolie mère merveilleux Milton mœurs monde morale mort Muses n'avoit Natchez nature nuit ombres parle passions Patrocle Paul et Virginie peinture Pénélope pensée père Phèdre philosophie Platon pleurs poëme poëte poétique POLYE UCTE Polyeucte premier Priam Racine religion chrétienne saint Satan scène sentimens sentiment seroit seul siècle simplicité sœur soleil solitaire solitude sorte soupirs style sublime tableau Tasse tendre terre tombeau tout-à-coup trouve Ulysse vérité vertu Virgile voix Voltaire yeux Zaïre
Popularne fragmenty
Strona 78 - T'ouvrent leurs bras sanglants , tendus du haut des cieux. Ton Dieu que tu trahis , ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes, En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs , vois ce temple envahi par tes maîtres : Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Strona 78 - C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie, C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas sans y trouver ton Dieu; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire.
Strona 158 - Je dois ma vie au peuple, au prince, à sa couronne ; Mais je la dois bien plus au Dieu qui me la donne : Si mourir pour son prince est un illustre sort, Quand on meurt pour son Dieu, quelle sera la mort!
Strona 132 - Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Strona 22 - Nous sommes persuadés que les grands écrivains ont mis leur histoire dans leurs ouvrages. On ne peint bien que son propre cœur , en l'attribuant à un autre ; et la meilleure partie du génie se compose de souvenirs.
Strona 102 - Le Seigneur a détruit la reine des cités : Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes Pour pleurer ton malheur?
Strona 223 - Il a. fallu que le christianisme vînt chasser ce peuple de faunes, de satyres et de nymphes, pour rendre aux grottes leur silence et aux bois leur rêverie.
Strona 270 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Strona 178 - Quelquefois une haute colonne se montrait seule debout dans un désert, comme une grande pensée s'élève, par intervalles, dans une âme que le temps et le malheur ont dévastée.
Strona 131 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.