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118 2. ÉPOQUE.- JOB, SA SECONDE PROSPÉRITÉ.

sept fils et trois filles, dont la beauté surpasse toutes les autres. Job, comblé de biens et d'années vécut encore cent quarante ans dans sa seconde prospérité et vit les enfants de ses enfants jusqu à la quatrième génération.

rante années qu'il passa dans la Along my bones the creeping terre de Madian. Job pouvait flesh did quake; vivre encore dans sa seconde And as my damp hair stiffen'd, prospérité. thus it spake :

On a remarqué sa parenté lit

en

Is man more pure

téraire avec les autres livres de „Is man more just than God ? Moïse. Mais il les surpasse profondeur et en élèvation. L'Eglise en a tiré les neuf leçons de l'Office des morts.

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Than He who deems even Seraphs insecure?

Creatures of clay-vain dwellers in the dust!

The moth survives you, and are
ye more just ?

Things of day! you wither ere
the night,
Heedles and blind to Wisdom's
wasted light!“

Lord Byron.

JÓB MÁSOD IZBEN MEGÁLDVA.

utai ép oly titkosak és megfoghatlanok az emberi elme előtt, mint hatalma és jóságának szembetűnő remekművei.

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Herrn bedarf. Gott tritt dazwischen, um die Vertheidigung Job's zu führen, indem er seinen Freun den zeigt, daß die Geheimnisse der göttlichen Führung dem menschlichen Verständnisse ebenso unerVégre Isten még életében forschlich sind, als die sichtbaren megjutalmazza Jób türelmét Meisterwerke der Schöpfung.Endés engedelmességét, kétsze- lich belohnte Gott schon auf Erden resen visszaadván elvesztett die Geduld und Unterwürfigkeit vagyonát; még hét fia és három leánya született, kik szépségökre mindenkit felülmultak.

Job's durch die Rückgabe eines Vermögens, welches das verloren gegangene zweifach erseßte. Es wurden ihm noch sieben Söhne und drei Töchter geboren, deren Jób földi javakkal bőven Schönheit die aller Andern megáldva még száznegyven übertraf. Job, mit Gütern und évig élt a megujult jólétben Jahren gesegnet, lebte noch hunés látta gyermekeinek gyer- dert vierzig Jahre in seiner zweimekeit egész a negyedik ten Blüthe und sah seine_Kinnemzedékig. deskinder bis in's vierte Glied.

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Cependant les descendants de Jacob s'étaient multipliés de plus en plus en Egypte. Un nouveau Pharaon qui n'avait pas connu Joseph, craignant de les voir devenir plus nombreux que les Egyptiens eux-mêmes, les soumit à de rudes travaux et les employa à la construction de villes nouvelles et à des ouvrages gigantesques. Mais plus on les opprimait, et plus ils se multipliaient. Enfin le roi Pharaon ordonna de faire périr tous les enfants mâles qui leur naîtraient, en les noyant dans le Nil. Une femme de la tribu de Lévi avait réussi à cacher, pendant trois mois, un fort bel enfant. Le voyant découvert, la pauvre mère, pour le sauver encore,

Moïse sauvé des eaux. Mes soeurs, l'onde est plus fraîche aux premiers feux du jour! Venez le moissonneur repose en son séjour;

La rive est solitaire encore;
Memphis élève à peine un mur-
mure confus;
Et nos chastes plaisirs, sous ces
bosquets touffus,
N'ont d'autre témoin que l'Aurore.

VIII.

Mózes.

wußte, drückte sie mit schweren Lasten beim Baue neuer Städte und anderer Riesenarbeiten, aus Furcht, daß sie zahlreicher als die Egyptier selbst sein würden.

Azonban Izrael ivadékai Indessen hatten sich die Kinmindinkább elszaporodtak der Jakob's immer mehr in Egyptomban. Egy új király, Egypten vermehrt. Ein neuer ki nem ismeré Jósefet, fél- König, der nichts von Joseph vén, nehogy számra az egyptomiakat felülhaladják, nehéz munkákkal sanyargatta őket, városokat épittetett és óriási műveket készittetett velök. De minél inkább elnyo- Aber je mehr man sie untermattak, annál inkább szapo- drückte, desto zahlreicher wurden rodtak. Végre a király meg- sie. Endlich befahl der König, alle parancsolá, hogy minden hebräischen neugeborenen Knaujszülött zsidó fiut a Nilus ben durch Ersäufung im Wasser vizébe fojtsanak. des Nilus zu tödten.

Egy nő, Lévi nemzetségé- Einer Frau vom Stamme ből, három hónapig szeren- Levi gelang es drei Monate

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3. ÉPOQUE. MOÏSE SAUVÉ DES EAUX

prit une corbeille de jonc, l'enduisit de poix et de bitume, y déposa l'enfant, couvrit la corbeille, qu'elle abandonna sur la rive du fleuve à la conduite de la Providence, et plaça en observation, sur le bord du Nil, la soeur de l'enfant. Celle-ci vit la fille de Pharaon descendre vers le Nil, pour s'y baigner avec ses suivantes. La jeune princesse aperçoit la corbeille, se la fait apporter, l'ouvre, et à la vue de l'enfant qui crie: „C'est un enfant des Hébreux," dit-elle, et émue de compassion, elle prend la résolution de l'adopter. La soeur de l'enfant se présente, offre de lui chercher une nourrice et ramène bientôt sa mère, heureuse de nourrir elle-même son propre fils. Or, la fille de Pharaon lui avait donné le nom de Moïse, c'est-à-dire, Sauvé des eaux.

Moïse fut dans la suite élevé près d'elle dans les arts et dans les sciences de l'Egypte, la nation la plus cultivée de ces temps anciens. Il n'en fut pas moins

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