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3607

CATÉCHISMES

PHILOSOPHIQUES, POLÉMIQUES, HISTORIQUES,

DOGMATIQUES, MORAUX, LITURGIQUES,

2

C 27

DISCIPLINAIRES, CANONIQUES, PRATIQUES, ASCETIQUES
ET MYSTIQUES,

Feller, Aimé, Scheffmacher, Kohrbacher,
Pey, Lefrançois, Allëtz, Almeyda,
Fleury, Pomey, Bellarmin, Meusy,
Challoner, Gother, Surin et Olier.

ANNOTEES et publiees par m. l. miGNE, EDITEUR DES COURS COMPLETS SUR CHAQUE BRANCHE
DE LA SCIENCE ECCLESIASTIQUE.

2 VOL. PRIX: 13 FR.

TOME SECOND,

CONTENANT FLEURY, POMEY, BELLARMIN, MEUSY, CHALLONER,

GOTHER, SURIN ET OLIER.

PARIS,

CHEZ L'ÉDITEUR,

RUE D'AMBOISE, HORS LA BARRIÈRE D'ENFER,

1842.

UNIVERSIDAD CENTS.

BIBLIOTECA

CULTAD DE JURISPRU

DES AUTEURS ET DES OUVRAGES CONTENUS DANS CE SECOND VOLUME.

FLEURY.

Catéchisme Historique. col. 5-154.
POMEY.

Catéchisme Théologique. col. 153–366.
BELLARMIN.

Explication du Symbole des Apôtres et de la Doctrine Chrétienne. col. 265-406.

MEUSI.

Catéchisme historique, dogmatique et moral des fêtes principales. col. 405--604.
COLLOT ET BOSSUET.

Supplément au Catéchisme de Meusi. col. 603-722.
CHALLONER.

Catéchisme Dogmatique et Liturgique. col. 731-902.
GOTER.

Catéchisme Pratique. col. 903-1120.
SURIN.

Catéchisme Spirituel. col. 1119-1540.
OLIER.

Catéchisme de la Vie Intérieure. col. 1559-1592

IMPRIMERIE DE MIGNE, A MONTROUGE.

Sur cette édition.

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I. Le Catéchisme historique de M. l'abbé Fleury a été constamment regardé comme un excellent abrégé de l'histoire sacrée et de la doctrine chrétienne. On a admiré la noble simplicité qui y règne, et l'expérience a fait sentir l'utilité de la méthode que l'auteur y a suivic. Il ne pouvait assurément imaginer rien de plus propre pour insinuer et graver dans les esprits les grandes vérités que son livre renferme : et il aurait atteint le but que tout catéchiste doit se proposer, s'il n'eût glissé dans son ouvrage certains traits qui ont un rapport sensible avec des erreurs souvent condamnées par l'Eglise.

II. On y a vu une affectation marquée de mettre les livres sacrés indifféremment entre les mains de tous les fidèles, et de faire de cette lecture si dangereuse pour ceux qui n'y sont pas préparés, un devoir dont la pratique reviendrait chacun des jours spécialement consacrés au culte du Seigneur. L'auteur aurait-il donc ignoré quel est sur ce point l'usage de la plupart des Eglises hors de France, et surtout celui de l'Eglise romaine, mère et maîtresse de toutes

les autres ?

III. On n'a pas été moins choqué de voir M. Fleury s'empresser de porter tous les laïques à la lecture des prières les plus secrètes qui se récitent à l'autel. Quelques expressions peu mesurées de cet auteur ont même paru propres à appuyer ou du moins à laisser subsister l'erreur de ceux qui ont eu la témérité d'avancer que les prières des simples fidèles ont quelque influence sur l'action principale du ministre actuellement occupé à célébrer le plus auguste de nos mystères.

IV. On a trouvé deux défauts dans la manière dont il s'explique sur l'importante et délicate matière de la grâce. D'un côté, il semble favoriser des erreurs que l'Eglise a proscrites dans les trois derniers siècles; de l'autre, il garde le silence sur des vérités qu'elle a décidées contre les novateurs de nos jours. Ses principes vont à taxer de péché tout ce qui se fait hors de l'état de grâce. Selon lui, comme selon le père Quesnel (1), la première grâce que l'on reçoit de Dieu est celle de la foi: et il ne s'en accorde aucune hors de l'Eglise. Il ne reconnaît d'autres principes des actions humaines que la charité et la cupidité; et il ne prend pas la moindre précaution pour distinguer ce qu'il enseigne sur ce point, d'avec le système de deux amours, flétri tant de fois par l'autorité des premiers pasteurs. De la manière dont il s'exprime, on dirait qu'il attribue presque toujours à la grâce habituelle ou sanctifiante les effets qui n'appartiennent qu'à la grâce actuelle. Vous ne lirez pas un mot dans son Catéchisme sur le pouvoir de résister aux mouvements de la grâce. Il se tait de même sur les secours que Dieu ne manque jamais d'accorder aux justes pour leur rendre ses commandements possibles. Il est vrai que ce silence ne prouve pas que l'auteur ait eu des sentiments erronés sur ces matières. Nous avons des catéchismes diocésains très-orthodoxes et très-estimés, où on les a également omises; mais enfin, si M. Fleury avait expliqué en peu de mots la foi catholique sur ces questions, on ne peut nier qu'il n'eût rendu service aux fidèles et prévenu bien des soupçons.

On a trouvé mauvais que M. Fleury rendit si générales les transgressions de l'ancien Israël à la vérité, cet estimable auteur a fait entendre, en vingt endroits de ses ouvrages, qu'il n'embrasse point le sentiment affreux de ceux qui soutiennent qu'il ne s'est pas trouvé un juste dans le peuple de Dieu; mais enfin ces propositions générales ont paru fournir des armes aux partisans de la doctrine erronée de Quesnel, qui osa avancer (2) que Moïse et les prophètes, les prêtres et les docteurs de la loi n'ont point donné d'enfants à Dieu, n'ayant fait que des esclaves par la crainte. Il est certain, au contraire, que les préceptes de la loi portaient à aimer Dieu par dessus toutes choses. La crainte qu'elle inspirait, ajoute un grand prélat (3), n'était pas cette crainte vicieuse qu'on nomme dans les écoles servilement servile, et qui, ne bannissant pas du cœur les mauvais désirs, est comme celle des esclaves. Aussi y a-t-il eu parmi les Juifs beaucoup de justes. Tandis que Moïse, les prophètes, les grands prêtres, préchaient la divine loi, l'Esprit saint parlait aux cœurs pour la faire. observer par la crainte salutaire de l'enfer, et même pour la faire aimer.

V. On reconnaît encore dans cet ouvrage le zèle peut-être trop ardent que l'auteur a fait paraître dans ses autres écrits pour l'ancienne discipline de l'Eglise, dont il semble vouloir ramener les rigueurs, sans faire attention à la différence des temps et des lieux. Il est très-permis sans doute d'admirer les beaux siècles du christianisme naissant et les merveilleux effets du feu divin qui embrasait les premiers fidèles, surtout quand on ne se contente

Proposit. XXVII sur II Pier., I. et 3 propos. XXIX sur Luc. X, 55, 56.

Prop. LXV. sur Marc, XII, 19.

Le Card. de Bissy, évêque de Meaux; Instr. pastorale de 1722, page 45 des pièces justi¶catives.

CATÉCH. PHILOS. II.

(Une.)

pas d'une admiration stérile, et qu'on tâche de conformer ses mœurs à celles de nos saints prédécesseurs; mais, en regrettant avec S. Bernard les premiers temps, il ne faut point fermer les yeux à la lumière qui nous luit, ni s'obstiner à ne point voir les avantages dont nous jouissons. On doit considérer que l'Eglise a introduit dans les derniers temps un grand nombre de pratiques pieuses, dont l'utilité la dédommage sensiblement d'une partie de ses pertes; qu'elle a eu des jours très-sereins dans le dix-septième siècle, où l'exécution des décrets du concile de Trente, la multitude des synodes particuliers, la piété ranimée dans les fidèles, la ferveur des religieux réformés, et le zèle éclairé du clergé ont assurément opéré de très-grands biens ; que les plus beaux jours dont l'Eglise a joui dans son premier âge, ont été souvent obscurcis par des nuages assez épais enfin, qu'en aucun temps elle ne pratique, n'approuve, ni ne dissimule rien de ce qui peut blesser la foi ou corrompre les mœurs de ses enfants (1), parce qu'elle est aujourd'hui, comme autrefois, la colonne et l'appui, toujours inébranlable de la vérité (2).

VI. Les erreurs qu'on vient de marquer ont fait souhaiter depuis longtemps que quelqu'un prît la peine de revoir avec soin le Catéchisme de M. Fleury, et d'en enlever toutes les pierres d'achoppement. Un théologien a entrepris cette tâche il a remarqué qu'outre les endroits désignés plus haut, il y en avait quantité d'autres à retoucher, auxquels on n'a peut-être pas fait attention jusqu'ici.

VII. M. Fleury, après avoir blâmé dans sa préface (3) les catéchismes qui disent quelque chose au delà de ce qui est précisément de foi, et observé que le surplus est tiré, assez ordinairement des opinions de l'école, est tombé quelquefois dans le défaut qu'il reproche à d'autres. Par là on a été obligé de retrancher de son livre diverses choses puisées dans la source qu'il indique. Telles sont celles qui suivent :

Grand Catéchisme, seconde partie, leçon III, il s'explique en ces termes sur la génération du Verbe divin: Nous croyons donc que Dieu étant un esprit, se connaît lui-même, et qu'étant très-parfait, il se connait très-parfaitement. DE LA VIENT LE VERBE, ou la parole intérieure par laquelle il se dit à lui-même tout ce qu'il est, et se représente tel qu'il est. C'est pourquoi le Verbe s'appelle aussi image ou figure de la substance de Dieu, etc. Ensuite il parle ainsi de la procession du Saint-Esprit : Dieu ne peut se connaître aussi parfait qu'il est sans se complaire en lui-même et s'aimer d'un amour parfait. De La Vient le SAINT-ESPRIT, etc. On voit qu'il embrasse le sentiment de S. Thomas et de beaucoup de théologiens, sur ce qui constitue la différence qu'il y a entre la procession de la seconde et celle de la troisième personne. Et il paraît, en effet, que c'est ce que l'école a dit de plus plausible sur cette question. Mais ce n'est après tout qu'une opinion: et M. Tournely (4) croit avec plusieurs pères (5) et quantité de savants modernes que le meilleur parti est d'admettre, sans hésiter, qu'il y a une différence entre la génération du Fils et la procession du Saint-Esprit ; mais aussi d'avouer humblement que la nature de cette différence nous est entièrement inconnue.

M. Fleury dit, grand Catéchisme, partie II, leçon L, que le corps de Notre-Seigneur JésusChrist est tout entier en chaque partie des espèces eucharistiques. On a ajouté, après la séparation, conformément au concile de Trente (Sess. XIII, can. 3).

Voici encore une assertion de M.Fleury, qui ne peut pas passer pour dogme. Si c'est purement, dit-il, l'amour de Dieu qui fasse détester le péché, c'est la contrition parfaite (Gr. Catéch., partie II, leçon II). Il est certain que plusieurs théologiens ne conviennent pas de ce principe, et qu'il paraît contraire au Catéchisme de Rome, composé par ordre du concile de Trente. On a laissé néanmoins l'assertion telle qu'elle était dans le Catéchisme de M. Fleury, et nous nous sommes bornés à en prévenir ici les lecteurs.

Ajoutons encore que M. Fleury n'ayant point expliqué, en termes clairs et formels, si le commencement de l'amour de Dieu, que le sentiment le plus sûr des théologiens exige comme une disposition nécessaire pour le sacrement de pénitence, l'est effectivement, on a trouvé à propos d'insérer cette nécessité, grand Catéchisme, partie II, leçon LI. Sans vouloir proposer cette doctrine comme un article décidé, on a cru seulement devoir suivre le conseil du grand Benoît XIV, qui dit (6) que malgré les opinions différentes des théologiens, rien ne peut empêcher l'évêque d'avertir les confesseurs qu'ils doivent exciter leurs péniten's à une contrition fondée sur l'amour de Dieu. Ce savant pontife allègue à ce sujet le Rituel romain ; et il adopte ces paroles de celui de Strasbourg (7): Cæterum pænitentes suos admonere non cessent confessarii, ne se putent securos in sacramenti pœnitentiæ perceptione, si præter fidei et spei actus non incipiant diligere Deum tanquam omnis justitiæ fontem, ut loquitur sacrosancta Synodus Tridentina.

(1) Ecclesia Dei, inter muitam paleam, multaque zizania, constitula multa tolerat; et tamen quæ sunt contra fidem, vel bonam vitam, non approbat, nec tacet, nec facit. S. Aug. Epist. olim CXIX. nunc LV. ad Januarium. J. Tim. III, 15; Héb. XIII, 8.

Pag. 31.

(4) De Trinitate, quæst. II, art. IV. in fine.

(( Scio ipsum (Deum Patrem) genuisse Filium, quomodo autem ignoro. Novi Spiritum ex ipso esse: quomodo autem ex ipso sit nescio. Chrysostomus Orat. I. de incomprehensibili Dei natura. Quid intersit inter procedere el nasci, et longum est quærendo disserere et temerarium, cum disserueris, definire. Augustinus Tract. XCIX, in Joan. Distinguere inter illam generationem, et hanc processionem, nescio, non valeo, non sufficio. Idem, lib. Il contra Maximinum. Cap. 14. Et quidem generationem inter el processionem discrimen intercedere edocti sumus: cæterum quis sit hujus distinctionis prorsus nescimus. Joannes Damascenus de Fide orthod. lib. cap. 8.

(6) Lib. VII de Synod. Dices. cap. XIII.

(7) Tit. de Pœnit, paray. 1.

VIII. On peut mettre au rang des opinions certains faits adoptés et rapportés par M. Fleury, qui ne sont fondés que sur l'explication de quelques pères ou de quelques commentateurs de l'Ecriture, et qui sont contestés par d'autres. Ainsi, grand Catéchisme, partie I, leçon XXVI, il dit que S. Joseph faisait le métier de charpentier : c'est l'opinion la plus suivie aujourd'hui. Elle a pour garants S. Justin (1), l'auteur de l'ouvrage imparfait sur S. Matthieu (2); un chrétien d'Antioche, contemporain de Julien l'apostat (3); le Protévangile faussement attribué à S. Jacques (4), et l'Evangile apocryphe de l'enfance (5); mais, d'un autre côté, S. Hilaire (6), S. Ambroise (7), S. Pierre Chrysologue (8) et le vénérable Bède (9) font S. Joseph forgeron. Ainsi la tradition, non plus que l'Ecriture, ne détermine point le métier qu'exerçait ce grand saint.

Ibidem, Leçons XLVI et XLVII, il suppose, comme un fait certain, que saint Jacques, frère du Seigneur, évêque de Jérusalem, et auteur d'une Epître canonique, a été du nombre des douze apôtres. Cependant S. Grégoire de Nice l'en exclut formellement (10), aussi bien que S. Jean Chrysostome (11), Théodoret (12), et l'auteur des Constitutions apostoliques (13), l'Ambroisiastre (14), les Grecs modernes, les bollandistes et d'autres savants.

Ibidem, Leçon XLVIII, il dit que S. Luc écrivit son Evangile pour opposer la vérité aux fables que débitaient plusieurs faux apôtres. Cela est fondé sur le conati sunt de cet évangéliste, cap. I, v. 1, mais le grec EnExipov, c'est-à-dire, ont entrepris, peut fort bien se prendre en bonne part. On n'a pas de preuves qu'il y eût dès-lors de faux apôtres qui eussent écrit la vie de Notre-Seigneur. Maldonat croit que S. Luc a voulu désigner S. Matthieu et S. Marc. Le visum est et mihi, favorise l'opinion de ce docte commentateur.

IX. Quelquefois même il arrive à M. Fleury de prendre mal son parti dans le choix qu'il fait des explications du texte sacré.

Par exemple, grand Catéch., seconde partie, Leçon XXVII, il avance que le principal moyen pour obtenir de Dieu le don de continence et de la prière: et il cite en preuve ces pa roles de Salomon, Sap.VIII, 21: Et ut scivi quoniam aliter non possem esse continens, nisi Deus det (et hoc ipsum erat sapientiæ, scire cujus esset donum) adii Dominum, et deprecatus sum illum, et dixi ex totis præcordiis meis. Ce prince avait fait au commencement de ce chapitre un magnifique éloge de la Sagesse; il avait ensuite marqué, ỳ. 9, la résolution où il était de l'acquérir et les grands avantages qu'il en retirerait, de même que les dispositions naturelles, qu'il avait reçues pour cela: mais sachant, ajoute-t-il à l'endroit cité, que je ne pouvais la posséder, si Dieu ne me la donnait (et c'était déjà un trait de sagesse, de savoir de qui je devais attendre ce don), je lui fis ma prière, et je lui dis de tout mon cœur, ce qui se trouve dans le chapitre suivant, où Salomon demande à Dieu la sagesse qui est surtout nécessaire aux rois, et ne dit pas un mot de la continence. Il paraît donc évident que l'auteur de l'ancienne Vulgate a pris ici continens (se sapientiæ) pour compos, comme il a encore fait Ecclesiastici XV, 1, qui continens est justitiæ, où le grec porte Expats de même que dans le premier passage. J'ai dit l'auteur de l'ancienne Vulgate, car c'est de lui et non de S. Jérôme que nous tenons la version de la Sagesse et de l'Ecclésiastique qui se trouve dans nos bibles latines.

Ibidem, partie I, Leçon XL, il fait demeurer Notre-Seigneur Jésus-Christ six heures en croix. On a changé cette assertion, contraire à l'opinion presque universelle, et au sentiment des plus habiles commentateurs. On peut consulter Maldonat, et si l'on veut, Dom Calmet sur Matthieu XXVII, 45.

Un peu plus bas, M. Fleury embrassait l'opinion singulière du P. Lamy de l'Oratoire, et d'un petit nombre d'autres savants, qui ont prétendu que les Juifs immolèrent l'agneau pascal le jour où le Sauveur expira, et non le jeudi précédent, veille de sa mort.

En attribuant aux descendants de Juda, grand Catéch., part. I, Leçon VI, l'autorité de commander à tous les autres Israélites, M. Fleury rejetait ouvertement le système des théologiens, qui donnent cette autorité aux chefs de la Tribu de Juda, et qui la renferment dans cette même Tribu.

X. On remarque que M. Fleury a même avancé par mégarde des circonstances ou des faits qui paraissent contraires au texte de l'Ecriture.

Grand Catéch., part. I, Leçon III, il ne fait entrer dans l'arche de Noé qu'une couple de chaque espèce de bêtes et d'oiseaux, quoique le texte de la Genèse, chap. VII, 7. 2 et 3, y en loge un plus grand nombre; je veux dire sept animaux purs et deux impurs de chaque espece; ou même, comme quelques-uns l'expliquent, sept couples des premiers et deux

(1) Dialogo cum Tryphone, edit. 1686, pag. 316.

Inter opera Chrysostomi, edit. 1686, pag. 316.

(3) Apud Sozomenum, lib. VI. cap. 2, et Theodoretum, Hist. Eccles. lib. III, cap. 23, edit valesii, pag. 144. (4) In codice apocrypho novi Test. Fabriciano, pag. 87 et 89.

(5) Ibidem, pag. 200.

(6) In Matthæi cap. XIV, edit. 1693, col. 678.

(7) Lib. III. in Lucam, n. 1, edit. Benedictinor. tomo 1, col. 1313, et seq.

(8) Serm. XLVIII, Biblioth. PP. edit. 1677, lom. VII, pag. 883

(9) Ad cap. VI, Marci, edit. col. 1612, tom. V, pag. 150.

(10) Oral. II, in Resurrect.

(11) Homilia V, in Matth. et XXXIII, in actu.

(12) m Psalmum LXVII.

(13) Lib. II, cap. 55.

(14) in cap. 1, Epistolæ ad Galatas, v. 19

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