Œuvres complètes, Tom 12Verdière, 1818 - 576 |
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... lui plaire , ils l'instruisaient eux - mêmes . Ses écoles étaient le théâtre , la tribune , les fêtes olympiques ; ses maîtres étaient ceux qu'elle y al- lait applaudir . C'est de Sophocle , d'Euripide , de 26 ESSAI.
... lui plaire , ils l'instruisaient eux - mêmes . Ses écoles étaient le théâtre , la tribune , les fêtes olympiques ; ses maîtres étaient ceux qu'elle y al- lait applaudir . C'est de Sophocle , d'Euripide , de 26 ESSAI.
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... théâtre et de la tribune pour préparer Virgile à peindre le caractère de Didon . Euripide lui - même n'avait pas fait encore des études assez savantes de la passion de l'a- mour pour l'exprimer comme Virgile : la preuve en est le rôle ...
... théâtre et de la tribune pour préparer Virgile à peindre le caractère de Didon . Euripide lui - même n'avait pas fait encore des études assez savantes de la passion de l'a- mour pour l'exprimer comme Virgile : la preuve en est le rôle ...
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... reve- nants , les sortiléges , les maléfices , les combats judiciaires , les lois qui les autorisaient , la théo- logie des écoles , la morale des casuistes , le ba- telage de la chaire , les farces pieuses du théâtre 42 ESSAI.
... reve- nants , les sortiléges , les maléfices , les combats judiciaires , les lois qui les autorisaient , la théo- logie des écoles , la morale des casuistes , le ba- telage de la chaire , les farces pieuses du théâtre 42 ESSAI.
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Jean François Marmontel. telage de la chaire , les farces pieuses du théâtre , les prestiges religieux dont on frappait la multi- tude , le zèle aveugle et sanguinaire dont l'eni- vraient des imposteurs , tout se ressentait du mé- lange ...
Jean François Marmontel. telage de la chaire , les farces pieuses du théâtre , les prestiges religieux dont on frappait la multi- tude , le zèle aveugle et sanguinaire dont l'eni- vraient des imposteurs , tout se ressentait du mé- lange ...
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... trouvera plus où un duc de La Roche- foucault , l'auteur des maximes , au sortir de la conversation d'un Pascal , ' d'un Arnauld , allait au théâtre de Corneille . » ventions se dissipent , l'opinion se fixe à la fin 4 . SUR LE GOUT . 51.
... trouvera plus où un duc de La Roche- foucault , l'auteur des maximes , au sortir de la conversation d'un Pascal , ' d'un Arnauld , allait au théâtre de Corneille . » ventions se dissipent , l'opinion se fixe à la fin 4 . SUR LE GOUT . 51.
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Aristophane Aristote arts arts libéraux assez barreau beau beauté bienséances Boileau Bossuet carac caractère cause chaleur chant charme chœur choses Cicéron Cinna cœur comédie comique comparaison Corneille critique Démosthène dessein dire doit donne Élém éloquence espèce esprits Euripide eût exemple fable force génie genre goût Grecs Henriade Homère homme idées images imitation jamais juge l'action l'ame l'Arioste l'art l'autre l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'expression l'homme l'Iliade l'imagination l'orateur l'oreille l'un laisse langage langue Littér Longin lui-même Massillon Ménandre ment mieux modèle mœurs Molière morale mouvements moyens musique nature naturel noble non-seulement objet Orat orateurs parler passions pathétique peindre peint peinture pensée Périclès personnage peuple Phèdre plaisir Plaute poëme poésie poëte qu'un quelquefois raison ressemble ridicule rien s'il satire scène sens sensible sentiment serait seul siècle simple Sophocle souvent style sublime sur-tout talent Tartuffe Térence théâtre tion tragédie traits vérité Verrès veut vice Virgile Voilà Voltaire vrai yeux
Popularne fragmenty
Strona 419 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Strona 208 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul ? Comment lire en son sein? Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles?
Strona 420 - Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Strona 415 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple^ obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Strona 420 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah! combien frémira son ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Strona 491 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Strona 200 - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher? Hélas! ils se voyaient avec pleine licence. Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux. Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Strona 416 - Entre le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon fils, que caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Strona 200 - J'attendais le moment où j'allais expirer; Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir; Je goûtais en tremblant ce funeste plaisir; Et sous un front serein déguisant mes alarmes, II fallait bien souvent me priver de mes larmes.
Strona 208 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.