Mélanges d'histoire et d'archéologie, Tomy 1-2 |
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Strona 10
... cause de la pauvreté dont nous faisons profession , n'étant vêtus que d'étoffes grossières , jeûnant les deux tiers de l'année , et n'usant d'autre nourriture que de légumes ou de racines , sans autre apprêt que du sel ou de l'eau , ou ...
... cause de la pauvreté dont nous faisons profession , n'étant vêtus que d'étoffes grossières , jeûnant les deux tiers de l'année , et n'usant d'autre nourriture que de légumes ou de racines , sans autre apprêt que du sel ou de l'eau , ou ...
Strona 17
... causes qui , plusieurs siècles auparavant , avaient sans doute contraint les Bénédictins d'abandonner leur monastère , obligèrent les Pères de la Trappe à se retirer de Saint - Pierre . Décimée par les fièvres paludéennes 1 , la ...
... causes qui , plusieurs siècles auparavant , avaient sans doute contraint les Bénédictins d'abandonner leur monastère , obligèrent les Pères de la Trappe à se retirer de Saint - Pierre . Décimée par les fièvres paludéennes 1 , la ...
Strona 27
... causes de souffrance matérielle et morale ; au premier abord cela paraît séduisant . Il a été dit à l'homme aux premiers jours de son exis- tence : Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front . Le socialisme émet la constante ...
... causes de souffrance matérielle et morale ; au premier abord cela paraît séduisant . Il a été dit à l'homme aux premiers jours de son exis- tence : Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front . Le socialisme émet la constante ...
Strona 13
... cause puissante et première , et de leur assigner à toutes une marche uniforme et mécanique , qui les traînerait pas à pas , depuis le commencement le plus grossier jusqu'à leur perfectionnement , j'embrasserais l'opinion de ceux qui ...
... cause puissante et première , et de leur assigner à toutes une marche uniforme et mécanique , qui les traînerait pas à pas , depuis le commencement le plus grossier jusqu'à leur perfectionnement , j'embrasserais l'opinion de ceux qui ...
Strona 6
... cause directement au Souverain Pontife . I Le privilège du tribunal ecclésiastique pour les faibles . Partout où le paganisme avait élevé ses idoles , la femme ? , le faible et le pauvre furent abaissés et opprimés . Dans le 1 J'ai ...
... cause directement au Souverain Pontife . I Le privilège du tribunal ecclésiastique pour les faibles . Partout où le paganisme avait élevé ses idoles , la femme ? , le faible et le pauvre furent abaissés et opprimés . Dans le 1 J'ai ...
Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
Abbé actes Agaune Agaunensis ambon Archives de l'Abbaye arcs Augustin basilique bâtiments Bon Pasteur Bourbon canton capitaine catholique chanoine Charles chrétiens ciboire clocher Collège de Saint-Maurice colonel Conseil d'Etat conservé construction cour du Martolet curé devait Diète Dieu diocèse donner église époque étage Etats évêque évêque de Sion fondation fouilles François Ier Frédéric Fribourg garde Suisse Gaspard gouvernement hommes Illustre Révérence inscription j'ai Joseph Jules Michel l'Abbaye de Saint-Maurice l'Abbé l'ambon l'empereur l'Etat lac de Neuchâtel largeur Laus perennis lettre Louis Lucerne Maison d'Autriche Majesté marbre Marie-Thérèse Martigny Martyrs thébéens Maurice Meggen ment monastère Monthey monument Nantuates Pape patois Pfyffer Pie IX pied à main pierre pilastres pontificale porte premier prince professeur Quartéry religieux reste Rivaz romaine Rome saint Avit saint Sigismond Saint-Brancher Saint-Maurice d'Agaune Saint-Siège sarcophage Savoie sera seulement Sion Tarnade tombeau Trappe troupes trouve Valais vallée Veguer VIme siècle Voltaire Vultchaire Windthorst XIIe siècle
Popularne fragmenty
Strona 13 - Ce génie créateur peut franchir les limites qui semblent prescrites au reste des mortels, et s'il est impossible de retracer sa marche, sa présence vivifiante n'en est pas moins manifeste. Plutôt que de renoncer , dans l'explication de l'origine des langues, à l'influence de cette cause puissante et première, et de leur assigner à toutes une marche uniforme et mécanique qui les traînerait pas à pas depuis le commencement le plus grossier, jusqu'à leur perfectionnement, j 'embrasserais...
Strona 28 - Chaque peuple à son tour a brillé sur la terre, Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre; Le temps de l'Arabie est à la fin venu.
Strona 14 - Je vous dis de même qu'il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui fait pénitence que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de pénitence.
Strona 22 - M me du Châtelet; on vous envoie sûrement les diamants de la couronne. » Je courus, je trouvai l'ambassadeur qui, pour toute valise, avait derrière sa chaise un quartaut de vin de la cave du feu roi, que le roi régnant m'ordonnait de boire. Je m'épuisai en protestations d'étonnement et de reconnaissance sur les marques liquides des bontés de Sa Majesté, substituées aux solides dont elle m'avait flatté, et je partageai le quartaut avec Camas.
Strona 68 - ... indépendant ; si, au milieu du territoire que les siècles lui ont assigné, que toutes les nations lui ont maintenu, un autre souverain, prince ou peuple, s'élevait pour lui dicter des lois. Pour le Pontificat, il n'ya d'indépendance que la Souveraineté même. C'est là un intérêt de premier ordre, qui doit faire taire les intérêts particuliers des nations, comme dans un État l'intérêt public fait taire les intérêts individuels, et il autorisait suffisamment les puissances catholiques...
Strona 22 - Il n'y avait que les quatre murailles. J'aperçus dans un cabinet, à la lueur d'une bougie, un petit grabat de deux pieds et demi de large, sur lequel était un petit homme affublé d'une robe de chambre de gros drap bleu : c'était le roi, qui suait et qui tremblait sous une méchante couverture, dans un accès de fièvre violent.
Strona 14 - Qui est l'homme d'entre vous, qui ayant cent brebis, et en ayant perdu une, ne laisse les quatrevingt-dix-neuf autres dans le désert, pour s'en aller après celle qui s'est perdue, jusqu'à ce qu'il la trouve...
Strona 10 - Je vous écris à côté d'un poêle, la tête pesante et le cœur triste, en jetant les yeux sur la rivière de la Sprée, parce que la Sprée tombe dans l'Elbe, l'Elbe dans la mer, et que la mer reçoit la Seine, et que notre maison de Paris est assez près de cette rivière de Seine; et je dis : « Ma chère enfant, pourquoi suis-je dans ce palais, dans ce cabinet qui donne sur cette Sprée, et non pas au coin de notre feu?
Strona 22 - Rambonet, ministre d'état, se promenait dans la cour en soufflant dans ses doigts. Il portait de grandes manchettes de toile sales , un chapeau troué , une vieille pe'rruque de magistrat, dont un côté entrait dans une de ses poches , et l'autre passait à peine l'épaule. On me dit que cet homme était chargé d'une affaire d'état importante ; et cela était vrai. Je fus conduit dans l'appartement de sa majesté.
Strona 23 - ... grabat de deux pieds et demi de large, sur lequel était un petit homme affublé d'une robe de chambre de gros drap bleu : c'était le roi, qui suait et qui tremblait sous une méchante couverture, dans un accès de fièvre violent. Je lui fis la révérence, et commençai la connaissance par lui tâter le pouls, comme si j'avais été son premier médecin.