Œuvres completès de H.de Balzac, Tom 8;Tom 8461Michel Lévy, 1876 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 76
Strona 24
... voilà que vous vous moquez . Non , madame , je vous admire parce que je vous comprends . Mais vous laissez entendre votre voix , mais vous vous laissez voir , mais ... enfin , vous permettez à nos yeux d'admirer ... -Ah ! voilà mes ...
... voilà que vous vous moquez . Non , madame , je vous admire parce que je vous comprends . Mais vous laissez entendre votre voix , mais vous vous laissez voir , mais ... enfin , vous permettez à nos yeux d'admirer ... -Ah ! voilà mes ...
Strona 50
... Voilà tout . Maintenant , je ne serais pas femme si je ne m'étais point aperçue que , depuis un an , je suis devenue , comme on dit , la passion de M. de Maulincour . Il ne m'a jamais vue qu'au bal , et ses propos étaient insignifiants ...
... Voilà tout . Maintenant , je ne serais pas femme si je ne m'étais point aperçue que , depuis un an , je suis devenue , comme on dit , la passion de M. de Maulincour . Il ne m'a jamais vue qu'au bal , et ses propos étaient insignifiants ...
Strona 52
... voilà la vie telle qu'elle est . Une femme est toujours vieille et déplaisante à son mari , mais toujours pimpante , élégante et parée pour l'autre , pour le rival de tous les maris , pour le monde qui calomnie ou déchire toutes les ...
... voilà la vie telle qu'elle est . Une femme est toujours vieille et déplaisante à son mari , mais toujours pimpante , élégante et parée pour l'autre , pour le rival de tous les maris , pour le monde qui calomnie ou déchire toutes les ...
Strona 54
... voilà un oui bien hasardé . Ils se couchèrent . En s'endormant , madame Jules se dit : Décidément , M. de Maulincour sera la cause de quelque mal- heur . Jules est préoccupé , distrait , et garde des pensées qu'il ne me dit pas . Il ...
... voilà un oui bien hasardé . Ils se couchèrent . En s'endormant , madame Jules se dit : Décidément , M. de Maulincour sera la cause de quelque mal- heur . Jules est préoccupé , distrait , et garde des pensées qu'il ne me dit pas . Il ...
Strona 67
... Voilà pourtant trois fois que je l'avertis qu'il est servi , reprit le valet de chambre après une pause , et c'est comme si l'on parlait à un terne . Jules entra . - - Où est madame ? demanda HISTOIRE DES TREIZE . 67.
... Voilà pourtant trois fois que je l'avertis qu'il est servi , reprit le valet de chambre après une pause , et c'est comme si l'on parlait à un terne . Jules entra . - - Où est madame ? demanda HISTOIRE DES TREIZE . 67.
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
affaires aimé amant amour Anselme Armand assez banquier baron belle Bixiou Blondet bonheur cent mille César Birotteau Césarine chambre cher cheveux chose Claparon Clémence cœur commerce Constance créan créanciers Dies iræ Dieu dire dit-il donner duchesse duchesse de Langeais enfant êtes faillite femme Ferragus fille Finot fortune Gaudissart gens Gigonnet Gobseck Godefroid Grindot Henri heures heureux Isaure j'ai jamais jeta jeune homme jolie jour l'amour l'huile laisser Lourdois madame Birotteau madame César madame de Langeais madame Jules madame Ragon main maison maison Nucingen Malvina Marsay Matifat Maulincour ment Molineux monde monsieur Montriveau mort notaire Nucingen oncle Paquita parfumeur parisienne passer passion pauvre payer pensée personne pieds Pillerault Popinot Rastignac regard rente reprit resta rien Roguin Ronquerolles s'écria sais salon secret sentiments serait seul soir sorte tête Tillet tribunal de commerce trouva Vauquelin veux vidame vin de Champagne voilà voix voulait yeux
Popularne fragmenty
Strona 533 - L'oraison dominicale. Notre Père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel; donnez-nous aujourd'hui notre pain quotidien, pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés et ne nous laissez point succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal.
Strona 8 - Mais, ô Paris ! qui n'a pas admiré tes sombres paysages, tes échappées de lumière, tes culs-de-sac profonds et silencieux; qui n'a pas entendu tes murmures, entre minuit et deux heures du matin, ne connaît encore rien de ta vraie poésie, ni de tes bizarres et larges contrastes.
Strona 248 - Tenez ce mot pour vrai. Là, tout fume, tout brûle, tout brille, tout bouillonne, tout flambe, s'évapore, s'éteint, se rallume, étincelle, petille et se consume. Jamais vie en aucun pays ne fut plus ardente, ni plus cuisante. Cette nature sociale toujours en fusion semble se dire après chaque œuvre finie : « A une autre! » comme se le dit la nature elle-même. Comme la nature, cette nature sociale s'occupe d'insectes, de fleurs d'un jour, de bagatelles, d'éphémères, et jette aussi feu...
Strona 255 - Pas une dent ne manque à mordre sa rainure, et tout stimule le mouvement ascensionnel de l'argent. Nous voici donc amenés au troisième cercle de cet enfer, qui, peut-être un jour, aura son DANTE. Dans ce troisième cercle social, espèce de ventre parisien , où se digèrent les intérêts de la ville et où ils se condensent sous la forme dite affaires, se remue et s'agite par un âcre et fielleux mouvement intestinal , la foule des avoués, médecins, notaires, avocats, gens d'affaires, banquiers,...
Strona 11 - ... bizarres, inconcevables. Ceux-là seulement qui se sont amusés à les observer savent combien la femme y devient fantastique à la brune. Tantôt la créature que vous y suivez, par hasard ou à dessein, vous paraît svelte ; tantôt le bas, s'il est bien blanc, vous fait croire à des jambes fines et élégantes ; puis la taille, quoique enveloppée d'un châle, d'une pelisse se révèle jeune et voluptueuse dans l'ombre ; enfin les clartés incertaines d'une boutique ou d'un réverbère donnent...
Strona 253 - ... mille francs et le plus laborieux bonheur qui ait jamais récréé cœur d'homme. Cette fortune et ces enfants, ou les enfants qui résument tout pour lui, deviennent la proie du monde supérieur, auquel il porte ses écus et sa fille, ou son fils élevé au collège, qui, plus instruit que ne l'est son père, jette plus haut ses regards ambitieux.
Strona 642 - Un grand politique doit être un scélérat abstrait, sans quoi les Sociétés sont mal menées. Un politique honnête homme est une machine à vapeur qui sentirait, ou un pilote qui ferait l'amour en tenant la barre : le bateau sombre. Un premier ministre qui prend cent millions et qui rend la France grande et heureuse, n'est-il pas préférable à un ministre enterré aux frais de l'Etat, mais qui a ruiné son pays?