Œuvres completès de H.de Balzac, Tom 8;Tom 8461Michel Lévy, 1876 |
Z wnêtrza ksi±¿ki
Wyniki 1 - 5 z 84
Strona 6
... pieds dans tous les salons , les mains dans tous les coffres - forts , les coudes dans la rue , leurs têtes sur tous les oreillers , et , sans scrupule , faisant tout servir à leur fantaisie . Aucun chef ne les commanda , personne ne ...
... pieds dans tous les salons , les mains dans tous les coffres - forts , les coudes dans la rue , leurs têtes sur tous les oreillers , et , sans scrupule , faisant tout servir à leur fantaisie . Aucun chef ne les commanda , personne ne ...
Strona 8
... pieds de là partent tous les trotteurs , tous les affairés . Eh ! quelle vie toujours active a le monstre ! A peine le dernier frétillement des dernières voitures de bal cesse - t - il au cœur que déjà ses bras se remuent aux barrières ...
... pieds de là partent tous les trotteurs , tous les affairés . Eh ! quelle vie toujours active a le monstre ! A peine le dernier frétillement des dernières voitures de bal cesse - t - il au cœur que déjà ses bras se remuent aux barrières ...
Strona 10
... pied le coin de la rue Pagevin pour entrer dans la rue des Vieux - Augustins , du côté droit , où se trouve précisément la rue Soly . Là , ce jeune homme , qui demeurait , lui , rue de Bour- bon , trouva , dans la femme à quelques pas ...
... pied le coin de la rue Pagevin pour entrer dans la rue des Vieux - Augustins , du côté droit , où se trouve précisément la rue Soly . Là , ce jeune homme , qui demeurait , lui , rue de Bour- bon , trouva , dans la femme à quelques pas ...
Strona 11
... pied dans la rue , un homme d'esprit devine le secret de sa course mysté- rieuse . Il y a je ne sais quoi de frémissant , de léger dans la per- sonne et dans la démarche la femme semble peser moins , elle va , elle va , ou mieux elle ...
... pied dans la rue , un homme d'esprit devine le secret de sa course mysté- rieuse . Il y a je ne sais quoi de frémissant , de léger dans la per- sonne et dans la démarche la femme semble peser moins , elle va , elle va , ou mieux elle ...
Strona 13
... pieds sur ses chenets , la tête entre ses mains , séchant ses bottes mouillées , les brûlant même . Ce fut un moment affreux , un de ces moments où , dans la vie humaine , le caractère se modifie , et où la conduite du meilleur homme ...
... pieds sur ses chenets , la tête entre ses mains , séchant ses bottes mouillées , les brûlant même . Ce fut un moment affreux , un de ces moments où , dans la vie humaine , le caractère se modifie , et où la conduite du meilleur homme ...
Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
affaires aimé amant amour Anselme Armand assez banquier baron belle Bixiou Blondet bonheur cent mille César Birotteau Césarine chambre cher cheveux chose Claparon Clémence cœur commerce Constance créan créanciers Dies iræ Dieu dire dit-il donner duchesse duchesse de Langeais enfant êtes faillite femme Ferragus fille Finot fortune Gaudissart gens Gigonnet Gobseck Godefroid Grindot Henri heures heureux Isaure j'ai jamais jeta jeune homme jolie jour l'amour l'huile laisser Lourdois madame Birotteau madame César madame de Langeais madame Jules madame Ragon main maison maison Nucingen Malvina Marsay Matifat Maulincour ment Molineux monde monsieur Montriveau mort notaire Nucingen oncle Paquita parfumeur parisienne passer passion pauvre payer pensée personne pieds Pillerault Popinot Rastignac regard rente reprit resta rien Roguin Ronquerolles s'écria sais salon secret sentiments serait seul soir sorte tête Tillet tribunal de commerce trouva Vauquelin veux vidame vin de Champagne voilà voix voulait yeux
Popularne fragmenty
Strona 533 - L'oraison dominicale. Notre Père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel; donnez-nous aujourd'hui notre pain quotidien, pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés et ne nous laissez point succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal.
Strona 8 - Mais, ô Paris ! qui n'a pas admiré tes sombres paysages, tes échappées de lumière, tes culs-de-sac profonds et silencieux; qui n'a pas entendu tes murmures, entre minuit et deux heures du matin, ne connaît encore rien de ta vraie poésie, ni de tes bizarres et larges contrastes.
Strona 248 - Tenez ce mot pour vrai. Là, tout fume, tout brûle, tout brille, tout bouillonne, tout flambe, s'évapore, s'éteint, se rallume, étincelle, petille et se consume. Jamais vie en aucun pays ne fut plus ardente, ni plus cuisante. Cette nature sociale toujours en fusion semble se dire après chaque œuvre finie : « A une autre! » comme se le dit la nature elle-même. Comme la nature, cette nature sociale s'occupe d'insectes, de fleurs d'un jour, de bagatelles, d'éphémères, et jette aussi feu...
Strona 255 - Pas une dent ne manque à mordre sa rainure, et tout stimule le mouvement ascensionnel de l'argent. Nous voici donc amenés au troisième cercle de cet enfer, qui, peut-être un jour, aura son DANTE. Dans ce troisième cercle social, espèce de ventre parisien , où se digèrent les intérêts de la ville et où ils se condensent sous la forme dite affaires, se remue et s'agite par un âcre et fielleux mouvement intestinal , la foule des avoués, médecins, notaires, avocats, gens d'affaires, banquiers,...
Strona 11 - ... bizarres, inconcevables. Ceux-là seulement qui se sont amusés à les observer savent combien la femme y devient fantastique à la brune. Tantôt la créature que vous y suivez, par hasard ou à dessein, vous paraît svelte ; tantôt le bas, s'il est bien blanc, vous fait croire à des jambes fines et élégantes ; puis la taille, quoique enveloppée d'un châle, d'une pelisse se révèle jeune et voluptueuse dans l'ombre ; enfin les clartés incertaines d'une boutique ou d'un réverbère donnent...
Strona 253 - ... mille francs et le plus laborieux bonheur qui ait jamais récréé cœur d'homme. Cette fortune et ces enfants, ou les enfants qui résument tout pour lui, deviennent la proie du monde supérieur, auquel il porte ses écus et sa fille, ou son fils élevé au collège, qui, plus instruit que ne l'est son père, jette plus haut ses regards ambitieux.
Strona 642 - Un grand politique doit être un scélérat abstrait, sans quoi les Sociétés sont mal menées. Un politique honnête homme est une machine à vapeur qui sentirait, ou un pilote qui ferait l'amour en tenant la barre : le bateau sombre. Un premier ministre qui prend cent millions et qui rend la France grande et heureuse, n'est-il pas préférable à un ministre enterré aux frais de l'Etat, mais qui a ruiné son pays?