Œuvres completès de H.de Balzac, Tom 8;Tom 8461Michel Lévy, 1876 |
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Strona 33
... disait « Pourquoi mets - tu le pied dans ce mystère ? >> Il monta quelques marches , et se trouva nez à nez avec la vieille portière . - M. Ferragus ? VIII . 3 - - - - - Connais pas ... Comment ! HISTOIRE DES TREIZE . 33.
... disait « Pourquoi mets - tu le pied dans ce mystère ? >> Il monta quelques marches , et se trouva nez à nez avec la vieille portière . - M. Ferragus ? VIII . 3 - - - - - Connais pas ... Comment ! HISTOIRE DES TREIZE . 33.
Strona 34
... disait : « Elle est là . >> L'inconnu du porche , le Ferragus ou l'oteur des maux d'Ida , ou- vrit lui - même . Il se montra vêtu d'une robe de chambre à fleurs , d'un pantalon de molleton blanc , les pieds chaussés de jolies pan ...
... disait : « Elle est là . >> L'inconnu du porche , le Ferragus ou l'oteur des maux d'Ida , ou- vrit lui - même . Il se montra vêtu d'une robe de chambre à fleurs , d'un pantalon de molleton blanc , les pieds chaussés de jolies pan ...
Strona 43
... disait - on , mis une vieille femme rue de Ménars , sur la place de fiacres qui s'y trouve , vieille espionne occupée en apparence à vendre aux cochers l'eau de ses tonneaux , mais en réalité chargée d'épier les démarches de madame ...
... disait - on , mis une vieille femme rue de Ménars , sur la place de fiacres qui s'y trouve , vieille espionne occupée en apparence à vendre aux cochers l'eau de ses tonneaux , mais en réalité chargée d'épier les démarches de madame ...
Strona 48
... disait rien encore . Jules regardait par la portière les pans noirs des maisons silencieuses devant lesquelles il passait ; mais tout à coup , comme poussé par une pensée déter- minante , en tournant un coin de rue , il examina sa femme ...
... disait rien encore . Jules regardait par la portière les pans noirs des maisons silencieuses devant lesquelles il passait ; mais tout à coup , comme poussé par une pensée déter- minante , en tournant un coin de rue , il examina sa femme ...
Strona 49
... disait M. de Maulincour . Je te le dirai , Jules , mais ce ne sera point sans terreur . Mon Dieu , pouvons - nous avoir des secrets l'un pour l'autre ? Depuis un moment , je te vois luttant entre la conscience de notre amour et des ...
... disait M. de Maulincour . Je te le dirai , Jules , mais ce ne sera point sans terreur . Mon Dieu , pouvons - nous avoir des secrets l'un pour l'autre ? Depuis un moment , je te vois luttant entre la conscience de notre amour et des ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
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Popularne fragmenty
Strona 533 - L'oraison dominicale. Notre Père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel; donnez-nous aujourd'hui notre pain quotidien, pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés et ne nous laissez point succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal.
Strona 8 - Mais, ô Paris ! qui n'a pas admiré tes sombres paysages, tes échappées de lumière, tes culs-de-sac profonds et silencieux; qui n'a pas entendu tes murmures, entre minuit et deux heures du matin, ne connaît encore rien de ta vraie poésie, ni de tes bizarres et larges contrastes.
Strona 248 - Tenez ce mot pour vrai. Là, tout fume, tout brûle, tout brille, tout bouillonne, tout flambe, s'évapore, s'éteint, se rallume, étincelle, petille et se consume. Jamais vie en aucun pays ne fut plus ardente, ni plus cuisante. Cette nature sociale toujours en fusion semble se dire après chaque œuvre finie : « A une autre! » comme se le dit la nature elle-même. Comme la nature, cette nature sociale s'occupe d'insectes, de fleurs d'un jour, de bagatelles, d'éphémères, et jette aussi feu...
Strona 255 - Pas une dent ne manque à mordre sa rainure, et tout stimule le mouvement ascensionnel de l'argent. Nous voici donc amenés au troisième cercle de cet enfer, qui, peut-être un jour, aura son DANTE. Dans ce troisième cercle social, espèce de ventre parisien , où se digèrent les intérêts de la ville et où ils se condensent sous la forme dite affaires, se remue et s'agite par un âcre et fielleux mouvement intestinal , la foule des avoués, médecins, notaires, avocats, gens d'affaires, banquiers,...
Strona 11 - ... bizarres, inconcevables. Ceux-là seulement qui se sont amusés à les observer savent combien la femme y devient fantastique à la brune. Tantôt la créature que vous y suivez, par hasard ou à dessein, vous paraît svelte ; tantôt le bas, s'il est bien blanc, vous fait croire à des jambes fines et élégantes ; puis la taille, quoique enveloppée d'un châle, d'une pelisse se révèle jeune et voluptueuse dans l'ombre ; enfin les clartés incertaines d'une boutique ou d'un réverbère donnent...
Strona 253 - ... mille francs et le plus laborieux bonheur qui ait jamais récréé cœur d'homme. Cette fortune et ces enfants, ou les enfants qui résument tout pour lui, deviennent la proie du monde supérieur, auquel il porte ses écus et sa fille, ou son fils élevé au collège, qui, plus instruit que ne l'est son père, jette plus haut ses regards ambitieux.
Strona 642 - Un grand politique doit être un scélérat abstrait, sans quoi les Sociétés sont mal menées. Un politique honnête homme est une machine à vapeur qui sentirait, ou un pilote qui ferait l'amour en tenant la barre : le bateau sombre. Un premier ministre qui prend cent millions et qui rend la France grande et heureuse, n'est-il pas préférable à un ministre enterré aux frais de l'Etat, mais qui a ruiné son pays?