Oeuvres de Montesquieu, Tom 2Chez Jean-François Bastien, 1788 |
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Strona 22
... Rome rapportèrent d'Athènes , et qu'elle fut mise dans les loix des douze tables . Cicéron ( 3 ) dit que les causes de répudiation venoient de la loi des douze tables . On ne peut donc pas douter que cette loi n'eût augmenté le nombre ...
... Rome rapportèrent d'Athènes , et qu'elle fut mise dans les loix des douze tables . Cicéron ( 3 ) dit que les causes de répudiation venoient de la loi des douze tables . On ne peut donc pas douter que cette loi n'eût augmenté le nombre ...
Strona 23
... Rome la faculté de répudier sa femme , on eut tant de respect pour les aus- pices , que personne , pendant cinq cent vingt ans ( 5 ) , n'usa de ce droit jusqu'à Carvilius Ruga , qui répudia la sienne pour cause de stérilité . Mais il ...
... Rome la faculté de répudier sa femme , on eut tant de respect pour les aus- pices , que personne , pendant cinq cent vingt ans ( 5 ) , n'usa de ce droit jusqu'à Carvilius Ruga , qui répudia la sienne pour cause de stérilité . Mais il ...
Strona 24
... Rome en eurent - ils moins ? Comment la loi corrompit - elle sans cesse les mœurs ? En rapprochant deux passages de Plutarque , on verra disparoître le merveilleux du fait en question . La loi royale ( 2 ) permettoit au mari de répudier ...
... Rome en eurent - ils moins ? Comment la loi corrompit - elle sans cesse les mœurs ? En rapprochant deux passages de Plutarque , on verra disparoître le merveilleux du fait en question . La loi royale ( 2 ) permettoit au mari de répudier ...
Strona 81
... ton dans Lacédémone ; les maximes du gou- vernement et les moeurs anciennes le donnoient dans Rome . ( * ) Liv . LIV , page 532 Tome II . L CHAPITRE V. Combien il faut être attentif à ne point LIVRE XIX , CHAP . IV . 81.
... ton dans Lacédémone ; les maximes du gou- vernement et les moeurs anciennes le donnoient dans Rome . ( * ) Liv . LIV , page 532 Tome II . L CHAPITRE V. Combien il faut être attentif à ne point LIVRE XIX , CHAP . IV . 81.
Strona 104
... Rome étoient admi- rables . On déféra la tutèle au plus proche parent du pupille , pensant que celui - là devoit avoir la charge de la tutèle , qui pouvoit avoir l'avantage de la succession . On ne crut point la vie du pupille en danger ...
... Rome étoient admi- rables . On déféra la tutèle au plus proche parent du pupille , pensant que celui - là devoit avoir la charge de la tutèle , qui pouvoit avoir l'avantage de la succession . On ne crut point la vie du pupille en danger ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
auroient auroit avoient avoit Beaum Beaumanoir Bourguignons capitulaires change CHAP CHAPITRE XI Chine choses Cicéron citoyens climat code combat judiciaire commerce coutumes d'Ulpien de-là Denys d'Halicarnasse devoit donner enfans établi établissemens état étoient étoit faisoient faisoit falloit femmes filles firent fragm François Pyrard gens Germains Gondebaud gouvernement Grecs Grégoire de Tours guerre Hollande hommes Ibid Indes jugement Justinien l'an l'argent l'Asie l'esprit l'état législateurs liberté loi des Lombards loi politique loi salique loix civiles loix des barbares Lombards manières marchandises mariage mer Rouge mœurs monnoie n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit n'y avoit nation nature naturelle navigation nombre nord Pappienne parens paroît particuliers pays père Perse peuples barbares Plutarque pourroit pouvoient pouvoit première guerre Punique prince qu'un raison Recueil des voyages régler religion république répudiation richesses ripuaires rois Rome seigneur seroient seroit Strabon sujet Tartares temps-là terre terrein Tite-Live usage Verrès vouloit Voyez Wisigoths XVII XXII
Popularne fragmenty
Strona 329 - ... celui qui craint la religion et qui la hait est comme les bêtes sauvages qui mordent la chaîne qui les empêche de se jeter sur ceux qui passent; celui qui n'a point du tout de religion est cet animal terrible qui ne sent sa liberté que lorsqu'il déchire et qu'il dévore.
Strona 337 - Dans un pays où l'on a le malheur d'avoir une religion que Dieu n'a pas donnée, il est toujours nécessaire qu'elle s'accorde avec la morale , parce que la religion , même fausse , est le meilleur garant que les hommes puissent avoir de la probité des hommes.
Strona 379 - Vous nous faites mourir, nous qui ne croyons que ce que vous croyez, parce que nous ne croyons pas tout ce que vous croyez. Nous suivons une religion que vous savez vous-mêmes avoir été autrefois chérie de Dieu : nous pensons que Dieu l'aime encore, et vous pensez qu'il ne l'aime plus; et parce que vous jugez ainsi, vous faites passer par le fer et par le feu ceux qui sont dans cette erreur si pardonnable, de croire que Dieu* aime encore ce qu'il a aimé.
Strona 38 - LES pays ne sont pas cultivés en raison de leur fertilité , mais en raison de leur liberté; et si l'on divise la terre par la pensée, on sera étonné de voir, la plupart du temps, des déserts dans ses parties les plus fertiles , et de grands peuples dans celles où le terrain semble refuser tout.
Strona 412 - Posons donc pour maxime que, lorsqu'il s'agit du bien public, le bien public n'est jamais que l'on prive un particulier de son bien, ou même qu'on lui en retranche la moindre partie par une loi ou un règlement politique. Dans ce cas, il faut suivre à la rigueur la loi civile, qui est le palladium de la propriété.
Strona 331 - Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci 384.
Strona 287 - PARTOUT où il se trouve -une place où deux personnes peuvent vivre commodément, il se fait un mariage. La nature y porte assez , lorsqu'elle n'est point arrêtée par la difficulté de la subsistance.
Strona 19 - IL ya cette différence entre le divorce et la répudiation, que le divorce se fait par un consentement mutuel à l'occasion d'une incompatibilité mutuelle ; au lieu que la répudiation se fait par la volonté et pour l'avantage d'une des deux parties, indépendamment de la volonté et de l'avantage de l'autre.
Strona 361 - Turcs les missions du levant; le recueil des voyages qui ont servi à l'établissement de la compagnie des Indes, tome III part.
Strona 467 - Les lois saliques, bourguignonnes et wisigothes furent donc extrêmement négligées à la fin de la seconde race; et, au commencement de la troisième, on n'en entendit presque plus parler. Sous les deux premières races on assembla souvent la nation, c'est-à-dire les seigneurs et les évêques : il n'étoit point encore question des communes.