-

-

tes, 1098, etc. Les idées divines
et les idées humaines, 1100, etc.
Volonté divine, 1103, etc.
Son objet premier et nécessaire,
1105, etc. Dieu est libre, 1107,
etc. (v. création). La volonté
divine est indépendante, 1111,
immuable, 1112. Elle s'accom-
plit toujours, 1113, etc.-L'amour
de Dieu, 1115. La justice et la
miséricorde de Dieu, 1116, etc.
La puissance de Dieu, 1118, etc
En quoi consiste la toute-puis-
sance, 1120.
Dieu conserve
toute chose, 1122, etc.- Le con-
cours ou l'influx divin, 1127, etc.
La Providence, 1134, etc.
Le gouvernement divin, 1138, etc.
La prédestination, 1140. Vie
et béatitude divines, 1142.-Com-
ment nous connaissons Dieu, 1143.
Dieu n'a pas de nom adéquat.
Ses noms abstraits et ses noms
concrets, 1144.

Valeur des

Dieu et

noms divins, 1145, etc. -

Jéhovah, 1148.

-

-

In-

EFFET, I, 519. Les effets manifes-
tent la cause, 527, etc., etc.
EGLISE. Elle est la société reli-
gieuse parfaite, III, 1326.
dépendance du pouvoir ecclésias-
tique. Droits de l'Eglise, 1327.
Rapports de l'Eglise et de l'Etat,
1328 (v. Etat).
EMANATION, II, 569.

ENCYCLIQUE Rerum novarum, III,
1275, 1277, etc.
ENSEIGNEMENT.

Méthode d'ensei-
gnement, I, 370. L'enseigne-
ment laïque, gratuit, obligatoire,
III, 1304. -La liberté de l'ensei-
gnement, 1329. L'enseigne-

ment à donner aux jeunes filles,
1357 (v. éducation).
ENTHYMÊME, I, 155.
EPICHÉRÈME, I, 156.

EQUIVOQUE. Prévenir, dissiper
les équivoques, I, 96.

ERREUR, I, 179. Causes du so-
phisme et de l'erreur, 184.- La
vérité et l'erreur son dans le juge-
ment, 198. Comment elles sont
dans les sens, 201, etc. - L'erreur
ne vient pas des facultés mêmes,
245, 246.

-

ESCLAVAGE, III, 1268 et 1273.
ESPACE, I, 506, etc. L'espace réel
et fini, 512.
ESPÈCE.

-

Genre, espèce, etc. I, 54.
Espèce réelle, espèce purement
logique, 57. Les animaux for-
ment-ils une seule espèce réelle ?
58. Genre et espèce comparés.
Classification, 59, 60 (v. ce mot).

L'espèce, la nature, la forme
substantielle, 399. Les espèces
équivoques, II, 604. L'espèce
moyenne des scolastiques, 615.
La notion d'espèce et le transfor-
misme, 619.

-

ESPÈCE. - Espèce sensible, II, 816,
817, intelligible, 935 (v. idée).
ESPRIT. Les trois opérations de
l'esprit, en dialectique, I, 34.
Vraie notion de l'esprit, II, 738.
Qualités de l'esprit, 878.
Exaltation de l'esprit, 981.
ESPRIT PHILOSOPHIQUE, I, 16.
ESSENCE. L'essence et l'existence,
I, 398. Essence logique, essence
réelle, 400. Les essences sont
indivisibles, immuables, éternel-

les, nécessaires, infinies, 401, 405.
Essences et universaux, 406.
Toute essence est-elle simple ?
407.
Plusieurs essences sont
connaissables à l'homme, 408.
L'essence réelle des choses diffère-
t-elle de leur existence ? 409, etc.
La substance, l'essence, 479.
ESTHÉTIQUE. - Sa place, I, 8 et 544.
Ses lois générales, 556.
ESTIMATIVE (v. instinct), II, 853, etc.
Elle est distincte de l'intelli-
gence, 855. Rapports des juge-
ments intellectuel et instinctif,
856. L'estimative est distincte

-

des autres sens, 858.

-

Eternité de

ETAT. Ses rapports avec l'Eglise,
III, 1328, etc. (v. Eglise).
Droits et devoirs réciproques des
Etats, 1332, etc.
ETERNITÉ, I, 518.
Dieu, III, 1074, etc.
ETRE. Caractère de l'idée d'être,
I, 391, 392. L'idée d'être exis-
tant est avant l'idée d'être possi-
ble, 393, 396 (v. néant et idée).
ETYMOLOGIE, I, 101.
EUCHARISTIE. Explication de la
présence réelle, II, 679.
EVIDENCE. L'évidence de l'objet,
critérium suprême, I, 249.- Evi-
dence et certitude, 250. Criti-

-

que de la définition de Descartes,
251. Evidence intrinsèque, ex-
trinsèque; médiate, etc., 252.
EVOLUTION ET EVOLUTIONNISME, II,
603, etc. (v. transformisme).
L'évolutionnisme contemporain et
absolu, 610; mitigé, 611. Le
fait et la possibilité de l'évolution,
612. Vérités que s'approprie
l'évolutionnisme, 613. - Critique
de l'évolution, 614, etc. La no-
tion d'espèce et le transformisme,
619. - L'évolution et les sciences
naturelles, 620. La question de
l'évolution est avant tout philoso-
phique, 621. Progrès et évolu -
tion, III, 1346 (v. progrès). — L'é-
volution du genre humain n'est
point fatale, 1347.

EXISTENCE.

L'essence et l'exis-

sont spécifiées par leurs actes et
leurs objets formels, 796, etc.
Harmonie des facultés, 798.
Les facultés dérivent de l'âme,799.
Leur sujet, 800. Comment
elles demeurent après la mort 801.
Division des facultés, 802, etc.
FASCINATION, II, 974.

FATALITE, I, 541.

FAUSSETÉ. Il n'y a pas de fausse-
té absolue, I, 445.

FICHTE. Il érige la conscience en
critérium suprême, I, 259. - Son
panthéisme, II, 574.

FIGURE, II, 683. Les figures cris-
tallines, 684.

FIN. La fin est une vraie cause,
I, 537. Fin dernière de l'homme
III, 1154. Tous les actes hu-
mains sont spécifiés par une fin,
1155. Subordination des fins
particulières à une fin dernière,
1156 (v. cause, intention, bien).
Le fini suppose l'infini, I,

-

FINI.
464 et 469.

FOLIE. Ses causes. Est-elle dans
l'esprit ? II, 980. Le génie et la
folie, 981.

-

FORCE (Vertu de), III, 1207.
FORCE. Que penser de l'unité des
forces physiques ? 689 (v. dyna-
misme).

FORME substantielle, I, 399 et 535.
FOUILLÉE. Sa théorie des idées-

forces, II, 883. Sa morale, III,
1237.

FRANCK, s'exprime mal sur l'idée de
néant, I, 397; sur l'idée d'être,
467.
GÉNIE. Le génie et la folie, II,
981 (v. qualités de l'esprit).
GENRE. Genre, espèce, I, 54.
On compare les choses de même
genre, 55. Genre et différence.
GEOFFROY-SAINT-HILAIRE et CU-
VIER, II, 607. etc.
GOUVERNEMENT.

56.

Des formes de
gouvernement: monarchie. aris-
tocratie, démocratie, III, 1321.
Le meilleur gouvernement. 1322.
GRAMMAIRE GÉNÉRALE, I, 87 (v. pa-
role, langage).

GRAPHOLOGIE, I, 82.

GUERRE. Ses causes et ses moyens

justes. III. 1337.

GUILLAUME DE CHAMPEAUX.

- Son
réalisme; réfutation. I. 304.
HABITUDE. I. 500. -L'habitude est
nécessaire. 501. Les habitudes.
Leur nature, leur nécessité. II.
984. L'habitude est une seconde
nature. 985. L'habitude et l'ac-
te, 986.-L'habitude et l'hérédité,
987. - L'habitude est fondée sur
la nature, 988. Division des
habitudes, 989. Habitude, prin-
cipe des actes humains, III, 1198
(v. vertu, science).
HALLUCINATION, II, 846 (v. imagi-
nation). Hallucination et fasci-

-

nation, 974 (v. hypnotisme).
HASARD, I, 541.
HEGEL. Son panthéisme, I, 307;
II, 576, etc. Sa négation du
principe de contradiction, I, 322.
Sa méthode, I, 362, 363.
HERDER. Ses vues sur la philoso-
phie de l'histoire, III, 1351.
HÉRÉDITÉ. L'habitude et l'héré-
dité, II, 987. La vertu et l'hé-
rédité, III, 1200.

HISTOIRE. Utilité de l'histoire de
la philosophie, I, 191. — Histoire :
monuments, documents, etc., 275.

Le scepticisme et le demi-scep-
ticisme historique, 282, 283.
Nécessité de la critique historique,
284. Toute science plonge ses
racines dans l'histoire, 351.
Méthode historique, 384. Ses
règles générales, 385. Injustice
du scepticisme historique, 386.
Règles particulières de la critique
historique, 387. Philosophie de
l'histoire, III, 1340.- Quelques
lois générales de l'histoire, 1341,
etc.
HOBBES. Son opinion sur le cri-
terium de moralité, III, 1172.
Son utilitarisme, 1232.
opinion sur l'origine de la société,
1307 (v. matérialisme).
HUMANITÉ. Origine et fin de l'hu-
manité, III, 1349, 1350, etc.
HYPNOSE et HYPNOTISME, II, 643 et
975, etc. Suggestion, 977, 978.
L'hypnotisme et le droit natu-
rel, III, 1274.

Son

HYPOSTATIQUE (L'union) et l'union
de l'âme et du corps, II, 769.
HYPOTHESE. I. 369 (v. méthode).
IDEAL. 1. 543. - Le beau idéal. 552.
IDÉALISME. Réfutation. I. 227-

937.
IDEE, I. 35. Compréhension et
extension de l'idée, 36. L'idée
n'est pas l'image sensible. 37.
L'idée et l'appréhension. 39.
Caractère de l'idée subjectivité
et objectivité, 40. Sources des
idées, 42-44. Idée positive, né-
gative, 45; simple, composée, 46;
géométrique, pure, 47; sensible,
intellectuelle, 48; concrète, abs-
traite, 49; réelle, logique, 50;
singulière, universelle, particu-
lière, collective, 51; univoque,
analogues, 52. - Principales idées
analogues, 53. — - Principales idées
univoques, 54, etc. Idée claire,
idée obscure, 66. Eclaircir et
accorder les idées, 67. Idée
distincte, idée confuse, 68; com-
plète, incomplète; adéquate, ina-
déquate, 69. Idées vraies, idées
fausses, 70. Idées identiques,

-

-

-

-

71. Idées associées, 72. — Idées
compatibles, idées incompatibles,
73; intuitives, abstractives; di-
rectes, réfléchies; innées, adven-
tices, factices, 74. Idées faus-
ses, 199.
L'idée claire et dis-
tincte de Descartes, 268. L'Idée
de Dieu, d'infini et d'être, 466.
Origine de l'idée de cause, 524.
Les idées-forces, II, 883. - Rôle
de l'idée dans la connaissance :
elle unit l'objet au sujet, 933.
Elle détermine l'esprit à connaître
934. Elle procède des sens et
de l'esprit, 937.- Elle est à l'ima-
ge de l'homme, 938. Systèmes
de l'homme, 938. Systèmes de
l'origine des idées, 739, etc.
Les innées innées, 944. Des-
cription de l'origine des idées, 952.
Objectivité des idées, 953.
Les premiéres idées sont les plus
générales, 962. La première
idée, 965. Développement des
idées, 966. Les idées divines,,
III, 1099. Les idées dans Pla-
ton, 1101 (v. association des idées).
IDÉE-FORCE, II, 843, 883.
IDENTITE et DISTINCTION, I, 437.
IDÉOLOGIE, II, 712.

-

IDOLES Ou causes d'erreurs selon
Bacon, I, 186.
IGNORANCE, I, 178.
IMAGINATION, II, 833.

Elle est

INFINI.

L'infini de l'être n'est
pas dans le nombre de la dimen-
sion, mais plutôt dnas l'unité et
la perfection, I, 434. Le fini
suppose l'infini, 464. - Origine de
la notion d'infini, 465. La
créature peut-elle être infinie ?
470. La multitude infinie et la
grandeur infinie répugnent, 471-
473. Le parfait et l'infini: re-
latifs ou absolus, III, 1057.
INSTINCT. L'instinct aveugle,
comme critérium, I, 261. Des-
cartes et l'instinct des animaux,
II, 851. Actes instinctifs, 853.
Instincts, 905 (v. estimative).
INTELLIGENCE. Elle est infailli-
ble, I, 242, etc. L'intelligence
est immatérielle, II, 739.
définitions de l'intelligence, 864
bis. - Différence de l'intelligence
et des sens, 865. Les deux in-
tellects agent et patient, 866.
etc.
La lumière intellectuelle,
869. Autres facultés intellec-
tuelles mémoire, raison, 872, 873
(v. ces mots). - Objection contre
l'unité d'intelligence, 877. -Les
actes de l'intelligence, 879, etc.
L'intelligence connaît comme

Deux

Reconnaît l'universalité
de la philosophie, I, 2. Définit
mal la philosophie, 4.- Il la fon-
de sur toute la psychologie, 11,
12. S'exprime mal sur la cons-
cience, 239. Son panenthéisme,
306, et III, 1036.

-

-

JEU. Biens acquis par le jeu, III,
1289 (v. spéculation).
JOUFFROY. Entend mal la philo-
sophie, I, 2, 4. Son scepticisme,
260. Son vitalisme, II, 775.
JUGEMENT. Sa nature, I, 115.
Le jugement n'est pas une opéra-
tion première, 116. Espèces de
jugements. Rapports des deux
termes, 117, Jugement analy-
tique, synthétique, 118. Les
jugements synthétiques a priori,
119. Règles des jugements, 120
La proposition (v. ce mot).
La vérité et l'erreur sont dans le
jugement, 198.-La connaissance
s'achève par le jugement, 200.-
La vérité n'est possédée que par
un jugement objectivement cer-
tain, 203. Jugements suprêmes
ou premiers principes, 312, etc.
Le jugement, acte de l'intelli-
gence, II, 880. Le dernier juge-
ment pratique, 929.
JURIDIQUE.-L'ordre juridique ren-
tre dans l'ordre moral, III, 1243.
JUSTICE. Le droit et la justice,
III, 1240.

-

KANT. Ses jugements synthéti-
ques a priori, I, 119 et 325.- Son
erreur sur la perception, 233. -
Son conceptualisme, I, 299.
Son opinion sur le principe de
contradiction, 319; sur le prin-
cipe de causalité, 325. Kant et
les catégories, 477. -Son opinion
sur l'espace, 508. Lois du beau
d'après Kant, 550. Son dyna-
misme, II, 654. Son scepticisme
en psychologie, II, 728. Ses ob-
jections contre les preuves de
l'existence de Dieu, III, 1016.

-

Réflexions sur l'origine
du langage, I, 86. Analyse du
langage. Grammaire générale, 87.

92.

-

Parties matérielles et parties
formelles, 88. Le mot, le nom,
l'adjectif, le verbe. Les éléments
premiers du langage; rapports du
sujet et l'attribut, 89-91.
Formation et histoire des mots,
Clarté du français, 97.
La langue philosophique, 105.
Philosophie du langage, II, 991.
L'origine du langage, 992, etc.
Mutisme des animaux, 997.
Opinion traditionnelle, 998 (v.pa-
role).
LEIBNIZ. Son opinion sur les pre-
miers principes, I, 332; sur les
indiscernables, 439; sur l'infini,
470; sur les accidents, 490; sur
l'espace, 508; sur la continuité des
espèces, II, 616. Son optimisme
II, 588. Son dynamisme, 652.
-Son opinion sur les qualités, II,
682, sur la vie, 692. Critique

-

-

de sa psychologie, 732 et 763.
L'harmonie préétablie, 782.- Son
déterminisme, 927. Leibniz et
l'origine des idées, 946. Leibniz
et la preuve de l'existence de
Dieu, III, 1001 et 1019.
LIBERALISME V. liberté de conscien-
ge, des cultes, etc., III, 1329.
LIBERTE, II, 909 (v. volonté).

-

La liberté est plus qu'une spon-
tanéité, 910. La liberté de pé-
cher, 911. La liberté d'indiffé-
rence, 912.
La question de l'é-
tendue de la liberté, 913. Preu-
ves du libre arbitre, 914, etc.
Examen de l'argument métaphy-
sique. La flexibilité de la raison et
de la volonté, 919. La liberté
est-elle expérimentée ? 921. - Le
destin et la liberté, 922. Le
principe de causalité et la liberté,
923. La prescience divine, 924
(v. encore déterminisme). Rap-
port de la liberté avec l'intelli-
gence, 928.
Les inclinations,
le milieu social, etc., 930, 931.
La prescience de Dieu et la liberté
humaine, 1094, etc. Le volon-
taire libre et la crainte, 1182; et
la passion, 1183; et l'ignorance,

-

-

-

LOCKE. Son erreur sur la per-
ception, I, 233. Son demi-scep-
ticisme, 283. Son erreur sur les
essences et les définitions, 408;
sur la substance, 484 sur la per
sonnalité, I, 489; sur les espèces,
II, 604. Son hypothèse d'une
matière pensante, 741. Locke
et l'origine des idées, 940.
Locke et les scolastiques, 950.
LOGIQUE, I, 18, etc. La logique
est-elle une science ou un art ? 24.

Logique naturelle, logique ar-
tificielle, 25. La nécessité de la
logique scientifique, 26. La lo-
gique d'Aristote et ses détracteurs,
28. La logique est une science
distincte, 30, 31. Rapports de
la logique et de la grammaire, 32.
Nécessité de la logique, 33.
Utilité de certains détails de logi-
que, 139. Tentatives des logi-
ciens anglais contre la logique
d'Aristote. Critique, 152, 153.
La logique de chaque science et
la philosophie, 373. Histoire
des découvertes, logique appli
quée, 380.
LOI, III, 1213.

Elle est un acte

de raison, 1214. Elle est pour
le bien général, 1215. L'auto-
rité législative, 1216. La pro-
mulgation, 1217. La loi éter-
nelle, 1218, etc. La loi naturelle
1220, etc. Son immutabilité,
1223. Sa sanction, 1225, etc.
Les lois positives, 1227, etc.
Obligation de la loi, 1229. Lois
pénales, 1230. Les coutumes et
la loi, 1231. Préceptes négatifs
de la loi naturelle, 1246. Pré-
ceptes positifs, 1247.
MAINE DE BIRAN. La notion de
substance d'après Maine de Biran,
I, 482. La notion de cause, 524.
Son vitalisme, II, 775.
MAL, I, 454. Pas de mal absolu.
Réfutation des manichéens, 456.
Origine du mal, 457.
Dieu
permet le mal pour un plus grand
bien, III, 1054. Cause du mal
physique, 1056 (v. péché).
MALADIES de la mémoire, de la per-
sonnalité, etc., I, 489.