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sauver tous les hommes, p. 651 et suiv. Autre explication, p. 652. Péché originel, p. 654. Autres preuves du péché originel, p. 655 et suiv. Mort de Jésus-Christ pour tous les hommes, p. 653, 654. Jésus-Christ n'est point né avec le péché originel, p. 657, 658. Les enfants des fidèles contractent le péché originel, p. 658. Comment le péché originel se transmet des pères aux enfants, p. 638, 659. État des enfants qui meurent sans Baptême, p. 659 et suiv. Objection des semipélagiens, p. 661, 662.- Prédestination, p. 662, 663. Jésus-Christ est le modèle de la prédestination des élus, p. 663, 664. Prédestination gratuite dans les enfants, p. 664, 665; dans les adultes, p. 665. La prédestination est un secret même pour les élus, p. 666 et suiv. Certitude du salut des prédestinés, p. 668, 669. Moyens par lesquels Dieu accomplit le décret de la prédestination, p. 669. Les réprouvés vivent pour l'utilité des prédestinés, p. 670. Réprobation, ibid. et suiv. Manière de prêcher la prédestination, p. 672 et suiv. Grâce et libre arbitre du premier homme, p. 675, 676. Si Adam avait reçu le don de la persévérance, p. 676 et suiv. Grâce des deux états, p. 681 et suiv. Nos bonnes pensées viennent de Dieu, p. 686. Dieu nous inspire le désir du bien. p. 687. Réponse aux objections des pélagiens, p. 687. Nécessité de la grâce pour les actions de piété et la fuite du mal, p. 689. Nécessité de la grâce contre les tentations, p. 689 et suiv. Nécessité de la grâce pour la pénitence et la conversion du pécheur, p. 691, 692: pour aimer Dieu, p. 692 et suiv. Possibilité des commandements de Dieu, p. 694 Nécessité de la grâce pour les accomplir. ibid. et suiv. Demander à Dieu ce qu'il nous commande, p. 696 et 697. La foi est un don de Dieu, p. 697 et suiv. La foi n'est pas accordée à tous, p. 700. La prière est un don de Dieu, ibid. La persévérance est un don de Dieu, p. 701 et suiv. La nature est commune à tous et non la grâce, p. 704, 705. La grâce est donnée gratuitement, p. 705, 706. Nos mérites sont des dons de Dieu, ibid. et 707. Réponse aux objections des pélagiens contre la grâce gratuite, p. 707 et 708. La grâce ne suit pas, mais précède la volonté, p. 708, 709. En quoi consiste la grâce, p. 709, 710. Comment elle agit, p. 710 et suiv. Force de la grâce, p. 714, 715. Pouvoir de Dieu sur la volonté des hommes, p. 715, 716. Réponse aux objections, p. 716, 717. Suite des objections touchant le pouvoir de Dieu sur la volonté des hommes, p. 717 et suiv. Comment Dieu prépare la volonté de l'homme, et comment l'homme se prépare, p 720 Comment Dieu opère et coopère avec nous, ibid. Accord du libre arbitre avec la grâce, p. 720 et suiv. La grâce ne détruit pas le libre arbitre, et n'introduit pas le destin, p. 723, 724. Explication de ces paroles: Cela ne dépend pas de celui qui veut, ni qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde, p. 724, 725. Vocation, p. 725 et 726. Pourquoi les Tyriens et les Sidoniens n'ont pas cru en Jésus-Christ, p. 726, 727. — Libre arbitre, p. 727 et suiv. Il est libre àl'homme de consentir

ou de ne pas consentir aux suggestions du démon, p. 729, 730. Sentiment des pélagiens sur le libre arbitre, p. 730, 731. Quelle liberté avonsnous perdue par le péché du premier homme, p. 731 et suiv. La nature humaine est rétablie dans le bien qu'elle a abandonné, p. 733, 734. Liberté des bienheureux, p. 774. Sur les anges, p. 734 et sulv. Sainte-Vierge, p. 737, 738. Sacrements. Différence entre les sacrements de la loi ancienne et de la loi nouvelle, p. 738. Circoncision. ibid. et 739. Baptême de saint Jean, p. 739 et suiv. Nécessité du baptême, 740, 741. Effets du baptême, p. 741, 742. Matière et forme du baptême, p. 742, 743. Ministre du baptême, p. 743, 744. Rebaptisation, p. 744, 745. Exorcismes et autres cérémonies du baptême, p. 745 et suiv. Confirmation, p. 747. Présence réelle dans l'Eucharistie, p. 747 et suiv. Les méchants comme les bons reçoivent le corps de Jésus-Christ, p. 750, 751. La chair de Jésus-Christ dans l'Eucharistie est adorable. Comment les fidèles la mangent, p. 752. Objections contre la présence réelle, ibid. et suiv. Sacrifice de la nouvelle loi, p. 760 et suiv. Le sacrifice n'est dû qu'à Dieu, p. 762, 763. Sacerdoce de la loi nouvelle, p. 763, 764. Sacrifices et prières pour les morts, p. 764 et suiv. Cérémonies du sacrifice, p. 766 et suiv. Fréquente communion, p. 768 et suiv. Disposition pour recevoir l'Eucharistie, p. 669, 670. Si l'on doit donner l'Eucharistie aux pécheurs occultes, p. 770. Nécessité de l'Eucharistie, p. 771, 772. Pénitence, p. 772, 773. Confession faite à Dieu et à ses ministres, p. 773, 774. Satisfaction, p. 774. Trois sortes de pénitences, p. 775 et suiv. Péchés soumis à la pénitence publique, p. 777 et suiv. Excommunication, p. 780 et suiv. Ordre, p. 782, 783 : évêques, p. 783, 784: diacres et autres clercs, p. 784: célibat des clercs: vœu de virginité, p. 785. Moines, ibid. et suiv. Mariage, p. 787. Fait singulier sur le mariage, p. 788, 789. Images de la croix et des saints, p. 789 et suiv. Sur les reliques, p. 791, 792. Superstitions, p. 792, 793. Augures et astrologie judiciaire, p. 793 et suiv. Autres superstitions, p. 795. Usage des sorts, p. 795. Miracles, ibid. et 796. État des âmes au sortir du corps, p. 796. Leur bonheur, ibid. et 797. Purgatoire, 797, 798. Éternité des peines des damnés, p. 798 et 799. Schisme et hérésie, p. 799 et suiv. Puissance temporelle, p. 802, 803. Personne sacrée des rois, p. 803. En quoi consiste le bonheur des rois, ibid. et 804. Abstinence et jeûne, p. 804, 805. Quelques points de discipline, p. 805. Sentiments des académiciens sur la probabilité, ibid. et 806. Crainte, p. 808, 807. Amour de Dieu, p. 807, 808. Jugement des ouvrages de saint Augustin touchant la philosophie et la religion chrétienne, p. 808. Ses lettres, ibid. Ses commentaires, p. 809. Ses discours, ses œuvres morales, ibid. Ses livres pour la défense de la religion, ibid. et 810. Ses ouvrages sur la grâce, p. 810 et suiv. Editions particulières des Œuvres de saint Augustin. Sa Cité de Dieu, p. 812. Ses Confessions, p. 852, 815. Ses Commentaires sur les Psaumes, p. 813. Ses Dis

cours sur l'Ecriture, p. 813. Les Opuscules, ibid.
et 814. Les Lettres, p. 815. Editions générales
d'Amerbach, d'Erasme et de Louvain, ibid. Édi-
tions des Bénédictins de saint Maur, ibid. et suiv.
Édition d'Anvers en 1700, p. 818. Autres éditions
générales, ibid et 819. Supplément à Saint Au-
gustin, p. 328 et suiv.

AUMONE des gens mariés, p. 190. Aumône re-
commandée, p. 192. Instruction sur l'aumône,
p. 19, 234. Comment elle efface les péchés, p. 323.
AURÈLE, évêque de Carthage. Saint Augustin
lui écrit, p. 12. Saint Augustin lui fait des repro-
ches d'avoir élevé un moine à la cléricature,

BAISER. Les chrétiens se donnaient les uns
aux autres le saint baiser qui n'était qu'une fi-
gure de la paix intérieure qu'ils devaient conser-
ver entre eux, p. 768.

BAPTEME des apôtres, p. 191. Baptême des do-
natistes, p. 72 et 82; des maximianistes, p. 82;
des hérétiques, p. 313; des schismatiques, p.38.
Ministre du baptême, p. 95. La nécessité du bap-
tême, p. 139. La vertu du baptême, p. 103. Dispo-
sitions pour le baptême, p. 257. Quand le bap
tême est valide, p. 384, 385. Il est inutile aux
hérétiques, p. 386. Unité du baptême, p. 402
et suiv. Baptême de saint Jean, différent de celui
de Jésus-Christ, p. 386, 387, 739 et 740. Nécessité
du baptême, p. 740, 741. Effets du baptême,
p. 476, 480. Matière et forme du baptême. p. 742,
743. Ministre du baptême, 743, 744. Reba, tisation,
p. 744, 745. Exorcismes et autres cérémonies du
baptême, p. 745 et suiv. Les parrains faisaient
le renoncement au péché au nom de l'enfant,
p. 550. Baptême des enfants, p. 103, 139, 206.
L'usage de baptiser les enfants est fondée sur la
tradition des apôtres, p. 618, 619. Les péla-
giens soutenaient que l'on baptisait les enfants
afin d'effacer les péchés qu'ils auraient commis
dans cette vie, p. 419. La validité du baptême
donné par les hérétiques tire son origine de la
tradition, p. 618. En quoi consiste la sanctifica-
tion du corps par le baptême, p. 511. Les péla-
giens reprochaient aux catholiques de dire que
le baptême ne remet pas tous les péchés, p. 476.
BASILE (saint) cité par saint Augustin contre
Julien, p. 486.

CABARSUSSE, ville de la Bizacène, p. 373. As-
semblée qui s'y tint, ibid.

CAINISTES (hérétiques) ils composent un
livre infame qu'ils attribuent à saint Paul,
p. 577.

CALAME. Les païens y persécutent les chré-
tiens, p. 96. Cette ville d'Afrique est prise par les
Vandales en 403, p. 563.

B.

p. 87. Saint Augustin lui adresse le livre des Actes
de Pélage, p. 443.

AUTORITÉ de l'Écriture établie parmi tous les
peuples de la terre, p. 31. Autorité de l'Église,
p. 111 et 334.

AVIS. Il ne faut pas tant compter les avis que
les peser. Parole de Julien approuvée par saint
Augustin, p. 491.

AVITE, prêtre espagnol, obtient des reliques
de saint Étienne, p. 327.

C.

AUXILIUS, évêque d'Afrique, excommunie le
magistrat Classicien, p. 15. Saint Augustin lui
écrit, p. 188.

BÉATITUDE parfaite, p. 306. Béatitude éter-
nelle, p. 323 et sui7.

BÉNÉDICTINS (les Pères), de la Congrégation
de Saint-Maur, donnent une édition très-correcte
des ouvrages de saint Augustin, p 815. Ce qu'en
pense Fénélon, p. 836 et suiv.

BÉNÉNATUS. Saint Augustin lui écrit au sujet
d'une orpheline, p. 189.

BÉRANGER combat la réalité du corps de
Jésus-Christ dans le sacrement de l'Eucharistie,
p. 751 et suiv.

BÊTES. Comment transformées dans les îles,
p. 314.

BIEN. Quel est le souverain bien, p. 111, 357.
L'opinion des philosophes sur le souverain bien
réfutée, p. 319. Dieu fait dans l'homme beaucoup
de bien, que ne fait pas l'homme; mais l'homme
n'en fait aucun que Dieu ne le lui fasse faire,
P, 479. Comme personne ne peut achever le bien
sans le Seigneur, de même personne ne peut le
commencer sans le Seigneur, ibid. Biens des
moines, p. 92.

BLAMPIN (dom Thomas), bénédictin de Saint-
Maur, célèbre par l'édition des ouvrages de saint
Augustin, p. 816.

BONIFACE, un des plus grands hommes de
l'Empire romain, p. 18, 179: il veut se retirer
pour vivre en moine, ibid. : saint Augustin répond
à ses difficultés, p. 103.

BONIFACE (saint), pape. Saint Augustin lui
adresse quatre livres contre les pélagiens, p.
474.

CANTIQUE. Sermon sur le nouveau Cantique.
p. 284.

CAPTIVITÉ de Babylone, son époque, p. 317.
CARÈME. Conduite qu'on doit y tenir, p. 239.
Jeûne des chrétiens fixé en un temps qui aboutit
à la Passion de Jésus-Christ. Pourquoi, p. 804.
CARNÉADES, philosophe académicien. p. 38.
CARTHAGE, saint Augustin y étudie la rhéto-

rique, p, 2: y enseigne, p. 4. Concile de Carthage, en 349, p. 11. Cette ville est prise par les Vandales, p. 564.

CASSIODORE, estime qu'il fait des livres des Rétractations, p. 24. Des deux livres sur la Genèse contre les manichéens, p. 55.

CASTORIUS. Saint Augustin l'exhorte à accepter l'épiscopat, p. 90. Il devient évêque de Vagine, ibid.

CASULAN, prêtre, ami de saint Augustin, consulte sur le jeûne du samedi, p. 77.

CATÉCHUMÈNES. Instructions qu'on leur adresse, p. 257. Comment on les préparait au baptême, p. 745, 746. Les lectures et le discours de l'évêque achevés, on renvoyait les catéchumènes, p. 766⚫ CATHOLIQUE. Le terme de catholique est moins un nom de doctrine et de croyance qu'un nom de communion, p. 624.

CATON, son éloge, p. 505. Ce qu'il répondit à un homme qui l'avait consulté sur ce que les souris avaient rongé ses souliers, p. 793.

CÉCILIEN, gouverneur de Numidie, p. 9. CÉCILIEN, vicaire d'Afrique, p. 16. Condamné par le concile de Carthage, p. 19. Nullité de la procédure, ibid. Déclaré innocent, p. 80. CÉCILIEN, évêque de Carthage est déclaré absous dans un concile de Rome, p. 485.

CÉDICIE. Saint Augustin lui donne des instructions sur les devoirs des femmes envers leurs maris, p. 190 191.

CEILLIER, (dom), lettre au R. P. D. Celllier, sur un passage de Saint Augustin, p. 820.

CÉLER, instruit par saint Augustin, p. 86. CÉLESTIN, saint Augustin lui écrit, p. 69, 162,

171.

CÉLESTIUS, Pélagien, est condamné dans un concile de Carthage, p. 417 et 453. Il présente une profession de foi au pape Zozime, p. 553. Erreurs de Célestius sur le péché originel, sur la grâce, p. 446, 447, 453. Ses écrits réfutés par saint Augustin, p. 440 et suiv.

CÉLIBAT. Sentiment de saint Augustin sur le célibat des clercs, p. 785.

CÉLICOLES, ce que c'est, p. 81. Loi contre eux, ibid.

CELSE, vicaire d'Afrique, p. 416.

CÉRÉTIUS, lettre contre les priscillianistes, p. 185.

CHAIR. Comment Jésus-Christ est connu selon la chair, p. 342. La chair de tous les hom-mes à l'exception de celle de Jésus-Christ est une chair de péché, p. 506, 507.

CHAIRE de saint Pierre, p. 635, 636. CHARITÉ. Exhortation à faire la charité, p. 113. Inspirée de Dieu, p. 159. Bien qu'elle opère, p. 160. Devoirs de la charité, p. 162. Charité faite avec le bien de l'Église, p. 192. Excellence de la charité, p. 227, 263. La charité commencée est une justice commencée; la justice avancée est une charité avancée, etc., p. 440. La charité des plus justes n'est point entièrement parfaite durant cette vie, p. 437. Julien le pélagien ne comptait jamais parmi le secours de la grâce 1

charité, p. 552. Sans la charité personne ne vit dans la piété, et avec elle personne ne vit sans la piété, p. 552.

CHASTETÉ, don de Dieu, p. 127, 128, 457. La chasteté des personnes mariées, des veuves et des vierges, n'est pas une véritable chasteté, à moins qu'elle ne soit accompagnée de la véritable foi, p. 458.

CHOSES. La connaissance de la nature et de la propriété des choses est très-utile pour l'intelligence de l'Écriture sainte, p. 605, 606.

CHRISIME (dame), saint Augustin la console, p. 187.

CHRISTINUS Saint Augustin lui écrit, p. 189. CHRYSOSTOME (saint), allégué mal à propos par Julien, p. 485. En quel sens il a dit que les enfants n'ont pas de péché, ibid. Ce qu'il enseigne sur le péché originel, ibid. Sa lettre à Olympiade citée par saint Augustin, ibid.

CHUTE de saint Augustin, p. 2, 28. Cause de la chute des anges, p. 62 et 260.

CICERON a vu le joug qui accable les enfants d'Adam, mais il n'en a pas connu la cause, p. 501. Saint Augustin dans sa jeunesse ne trouvait rien dans l'Écriture qui fut comparable à l'éloquence de Cicéron, p. 596. Cicéron se moque des augures, p. 795.

CIEL. Les ignorants ravissent le ciel, p. 7. Ce que saint Augustin entend par la création du ciel, p. 35.

CIRCONCELLIONS. Leur irruption dans l'Église d'Hippone, p. 75. Leur cruauté, p, 95, 120.

CIRCONCISION, ce que c'est, p. 313. Peine du péché originel, p. 655. Elle l'effaçait dans les enfants, p. 739. La circoncision était la figure du baptême, p. 470 et 739.

CIRTHE, ville d'Afrique prise par les Vandales, p. 564.

CITÉ. Livre de la Cité de Dieu, p. 288. Occasion de ce livre, ibid. et p. 289. Les deux cités, p. 305. En quoi consiste leur différence, p. 312. CLASSICIEN, magistrat excommunié par l'évêque Auxilius, p. 15.

CLAUDE, évêque à qui saint Augustin adresse ses livres contre Julien, p. 484.

CLAUDE (le ministre), réfuté, p. 755 et suiv. CLÉMENT XI. Bref de ce pape, qui met l'édition de saint Augustin, comme toutes les autres qui sont sorties de la Congrégation de SaintMaur, à couvert de toute contradiction, p. 817.

CLERC (Jean le), ses animadversions sur les ouvrages de saint Augustin, où il n'oublie rien pour décréditer, soit les écrits, soit la personne de ce saint docteur, p.817.

CLERCS. Ils ne peuvent passer d'une Église à une autre, p. 89. Mœurs des clercs, p. 212,243. S'ils étaient soumis à la pénitence publique, p. 779. Clercs inférieurs, p. 784, 785.

COLÈRE, p. 219, 220.
COMBAT chrétien, p. 263.

COMBAT de l'esprit et de la chair: ce combat n'aurait pas eu lieu dans le paradis terrestre, si personne n'eût péché, p. 541. Il n'y aura plus

de combat, quand il ne restera plus de faiblesse dans l'homme, p. 499. Combat des vierges contre la concupiscence, p. 493. Combat dans l'état du mariage, ibid. et 494.

COMMANDEMENTS (les) de Dieu ne sont pas impossibles, p. 438, 694. Sur l'observation des commandements de Dieu, p. 227. Nécessité de la grâce pour les accomplir, p. 694 et suiv. Il y a, selon Pélage, trois choses à distinguer par rapport à l'accomplissement des commandements de Dieu, savoir la possibilité, la volonté et l'action, p. 449. Il faut demander à Dieu ce qu'il nous commande, p. 696 et suiv. Saint Augustin dit souvent à Dieu Seigneur, donnez-moi ce que vous commandez, et commandez ce que vous voudrez, p, 696. Cette prière déplaît à Pélage, ibid. Celui qui veut accomplir les commandements de Dieu, et qui ne le peut, a déjà, à la vérité, une bonne volonté, mais petite et faible, il le pourra néanmoins quand il l'aura grande et forte, p. 517, 696.

COMMENTAIRES de saint Augustin sur les Psaumes, p. 229 et suiv.

COMMUNION avec les méchants, p. 377.

COMMUNION. Sentiment de saint Augustin sur la fréquente communion, p. 768, 769. Les fidèles communiaient à jeûn, p. 768.

CONCILE de Carthage, défauts de ce concile, p. 79. Concile de Rome, ibid. L'autorité des conciles généraux ou pléniers est très-grande et très-salutaire dans l'Église, p. 621. En quel sens saint Augustin dit que les conciles pléniers sont corrigés par d'autres conciles, ibid. Cause des pélagiens finie sans concile universel, ibid. et p. 622. La dispute du baptême des hérétiques entre saint Étienne et saint Cyprien ne put être terminée que par un concile plénier, p. 622, c'est-à-dire par le concile d'Arles, p. 623. Après le jugement rendu contre les donatistes, il leur restait encore le concile plénier de l'Église universelle, p. 623.

CONCUPISCENCE, suite du péché de nos premiers parents, p. 311. Combien de sortes de concupiscence, p. 33. On appelle concupiscence les désirs de la chair qui combattent ceux de l'esprit, p. 553. La concupiscence de la chair est mauvaise, et elle n'a point été donnée à l'homme par le Créateur, ibid. Elle n'était point avant le péché du premier homme, p. 558. Elle n'aurait pas eu lieu dans le paradis terrestre, p. 466. Tous les hommes naissent avec la concupiscence, et le crime n'en est remis qu'à ceux qui renaissent par le baptême, p. 558. Elle reste dans les baptisés, p. 422; mais elle n'est plus péché, pourvu qu'ils ne consentent point à ses mouvements, quand elle porte à des actions mauvaises. p. 460. Comment la concupiscence peut-elle demeurer dans celui qui est régénéré? Ibid. D'où vient que le mal de la concupiscence pas entièrement déraciné de la chair des saints qui vivent dans la continence? p. 495. Le désordre de la concupiscence, qui est le principe de la transmission du péché originel ne doit pas

n'est

être imputé au mariage, p. 457. La concupiscence est d'autant plus difficile à vaincre qu'elle est plus fortifiée par l'habitude, p. 511.

CONFÉRENCES avec les manichéens, p. 349 et suiv.; avec les ariens, p. 359; avec Émérite, sur l'unité de l'Église, p. 410 et suiv.; entre les catholiques et les donatistes. On en publie les actes, p. 492.

CONFESSER, Dieu est dans le cœur de ceux qui confessent leur misère, p. 30.

CONFESSION faite à Dieu et à ses ministres, p. 773, 774. La confession des péchés est une marque que l'on est déjà ressuscité, p. 238.

CONFESSIONS. Le but de ces livres, p. 24. Quand ils furent écrits, p. 205. Leur division, ibid. De la grandeur de Dieu dans le premier livre, p. 25 et suiv. Dans le second livre Saint Augustin déplore les dérèglements de sa jeunesse, p. 27. Dans le troisième il dit ses inclinations, p. 27 et suiv.Dans le quatrième, le temps qu'il a passé dans l'erreur des manichéens, p. 29. Le cinquième comprend l'histoire de ce qui lui arriva la vingtneuvième année de son âge, p. 29, 30. Dans le sixième il traite des oblations qu'on faisait sur les tombeaux des saints, p. 30, 31. Dans le septième, on connaît la situation de saint Augustin à la trentième année de son âge, p. 31, 32. Dans le huitième, se trouve l'histoire de sa conversion, p. 32. Dans le neuvième, il rend grâces à Dieu de sa conversion, p. 32, 33. Dans le dixième, il dit ce qu'il était en écrivant ses Confessions, son motif, p. 33, 34. Dans le onzième, il demande l'intelligence de l'Écriture sainte, p. 34, 35 Dans le douzième, il explique la Genèse, p. 35. 36. Dans le treizième, il fait voir que l'on trouve les trois personnes de la Trinité dans les premiers versets de la Genèse, p. 38, 39.

CONFIRMATION. Sentiment de saint Augustin sur la confirmation, p. 747.

CONNAISSANCE. Défaut de nos connaissances, p. 350. Connaissance des anges, p. 204 et 205. CONSCIENCE. Liberté de conscience accordéo par Honorius, p. 107.

CONSENTIUS, homme d'étude, adresse scs ouvrages à saint Augustin, p. 111. Il demande d'être instruit, p. 112 et 170. Saint Augustin lui écrit, p. 170, et lui adresse les deux livres du Mensonge, p. 274.

98.

CONSOLATION. Lettre de consolation, p. 97 et

CONSTANTINOPLE, menacée du feu du ciel, p. 285, 286.

CONSTANTIN, ami de saint Augustin, p. 403. CONSTANTIUS, évêque à qui Pélage écrit,p.452. CONSUBSTANTIALITÉ du Père et du Fils, p. 558

et 559.

CONTINENCE entre gens mariés, p. 115 et 134. La continence est un don de Dieu, p. 159. Livre de la Continence, p. 266 et suiv. Quand la continence est une vertu. p. 314. Elle est un don de Dieu, en même temps qu'elle est l'effet du libre arbitre, p. 514. On exhortait les personnes mariées à vivre en continence pendant le carême, p. 804, 805.

CONVERSION. Notre conversion à Dieu est un don de Dieu, p. 314.

CORNEILLE. Saint Augustin lui écrit sur ses débauches, p. 189, 190.

CORNEILLE (le centenier), avait déjà un commencement de foi, quand il priait et qu'il faisait des aumônes, p. 529.

CORRECTION. Livre de saint Augustin de la Correction et de la grâce. On l'a regardé comme la clé de toute sa doctrine sur la grâce, p. 519. CORRECTION fraternelle, p. 171, 172. Comment elle se doit faire, p. 226. Correction des pécheurs, p. 228. Elle doit se faire suivant la qualité des fautes, p. 238.

CORRUPTION. Peine du péché, p. 310.

CRAINTE, celle qui est salutaire, p. 144. Son utilité, p. 227. Sentiment de saint Augustin sur la crainte, p. 439, 476, 806, 807. On n'observe point véritablement les préceptes par la seule crainte, p. 428..

COUTANT (dom) fait la critique et les tables des sermons faussement attribués à saint Augustin, p. 816.

CRÉATION. Quelle était la vue de Dieu dans la création. p. 68.

CREDIBILITÉ. Motifs de crédibilité, p. 255, 334, 335.

CRESCENT, évêque de Syracuse, p. 416. CRESCONIUS, à qui saint Augustin écrit, p. 110. CRESCONIUS, donatiste, p. 399 et suiv.; propose des difficultés sur le baptême, ibid. CRESCONIUS, moine d'Adrumet, va trouver

DAMNÉS. De l'éternité des peines des damnés, p. 321, 322, 798, 799. On ne peut offrir le saint sacrifice pour eux, p. 765.

DARDANUS, saint Augustin répond à ses difficultés, p. 158, 159.

DARIUS (le comte), écrit à saint Augustin, p. 183, 575. Saint Augustin lui répond, p. 183. DÉBAUCHES, p. 189, 190.

DÉCALOGUE. Tous les commandements du décalogue, hors l'observation du sabbat, regardent également les chrétiens et les juifs, p. 428.

DÉLECTATION. Dieu répand dans notre cœur une délectation céleste qui nous fait surmonter toutes les délectations terrestres, p. 711. Délectation victorieuse, ibid.

DELFAU (dom François) de la Congrégation de Saint-Maur, p. 815.

DÉLUGE. Son temps, p. 313.

DÉMÉTRIADE (fille d'Olybrius), consul, reçoit le voile de l'évêque Aurèle, p. 17. Pélage lui écrit, p. 159.

DEMI-PÉLAGIENS. Ils abusent d'une expression de saint Augustin, p. 106: leurs erreurs, p. 176. DÉMOCRATE, maître de rhétorique de saint Augustin, p. 2.

DÉMON (le) ou le diable n'a eu d'autre part dans le péché du premier homme que la persuasion,

D.

saint Augustin à Hippone, qui l'instruit sur la matière de la grâce, p. 513.

CRIME. Plusieurs d'entre les fidèles sont exempts de crime, mais on n'est pas exempt du péché durant cette vie, p. 476.

CRIMINELS. Si les évêques peuvent intercéder pour eux, p. 134, 135.

CRISPIN, évêque donatiste, contraint les catholiques à se laisser rebaptiser, p. 89. Possidius entre avec lui en conférence publique, p. 563.

CROIX. Le signe de la croix, p. 790: il opère des miracles, ibid. On l'employait dans les cérémonies les plus saintes, ibid. Le saint sacrifice ne s'offrait pas sans le signe de la croix, p. 767. L'eau du baptême est sanctifiée par le signe de la croix, p. 511.

CRUAUTÉ des habitants de Suffecte, p. 82.

CULTE des reliques, p. 59. 324 et suiv.; des idoles, p. 184, 220; culte des saints, p. 240; à qui le culte de latrie est dû, p. 303; culte des martyrs justifiés, ibid.

CUPIDITÉ (la) est seule la racine des mauvaises œuvres, comme la charité est la racine des bonnes, p. 451.

CYPRIEN (saint). Ce qu'en pense saint Augustin, p. 387; saint Augustin excuse son erreur sur la rebaptisation, p. 634. Il le cite contre les sémipélagiens, p. 532, et contre Julien, p. 486, 489. 490. Il l'invoque comme régnant dans le ciel, p. 792.

CYR (saint), évêque de Carthage, p. 561.

p. 466; il est libre à l'homme de consentir ou de ne pas consentir aux suggestions du démon, p. 729. Le diable ne peut faire à l'égard de l'homme que ce que Dieu lui permet, etc., p. 499; en quel sens le diable est cause de la mort, et en quel sens Dieu en est l'auteur, p. 505. Le diable n'a plus le pouvoir de ne point pécher; il jouissait de ce pouvoir avant sa chute, p. 554; enfants du diable: tous les hommes qui sont enfants du diable sont aussi enfants du siècle, mais tous les enfants du siècle ne sont pas enfants du diable, p. 480. Supplice des diables, p. 321, 322. Comment les démons peuvent agir sur notre âme, p. 67. Avant leur chute ils avaient des corps célestes, mais depuis leur révolution il sont revêtus de corps aériens, p. 737. La foi nous enseigne que le supplice des démons sera éternel, p. 321, 799.

DÉOGRATIAS, prêtre, saint Augustin lui écrit,

p. 104.

DÉOGRATIAS. Quand les moines rencontraient quelqu'un de leur profession ou de leur connaissance, ils disaient: Deo gratias, p. 787.

DÉSIR. Le premier désir du bien vient de Dieu, p. 478, 687. Différence qu'il y a entre sentir de mauvais désirs, et suivre les mauvais désirs, p. 504.

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