Principes de la littérature, Tom 5chez Desaint [et] Saillent, 1775 - 333 |
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... - fauts qui fe trouvent dans les différentes fortes de poëmes , ne peuvent être que des conféquences du principe de l'imita- tion . Ce fil nous conduira heureusement Tome II . A. dans toutes les routes que nous avons à parcourir ;
... - fauts qui fe trouvent dans les différentes fortes de poëmes , ne peuvent être que des conféquences du principe de l'imita- tion . Ce fil nous conduira heureusement Tome II . A. dans toutes les routes que nous avons à parcourir ;
Strona 10
... tion . Il y a cependant des fables où La Fontaine prend l'effor : mais cela n'arrive que quand les perfonnages ont de la grandeur & de la nobleffe . D'ailleurs cette élévation ne détruit point la fim- plicité , qui s'accorde , on ne ...
... tion . Il y a cependant des fables où La Fontaine prend l'effor : mais cela n'arrive que quand les perfonnages ont de la grandeur & de la nobleffe . D'ailleurs cette élévation ne détruit point la fim- plicité , qui s'accorde , on ne ...
Strona 11
... tion qui fait image . Ainfi en parlant d'un fanglier dur à tuer : La Parque & fes cifeaux Avec peine y mordoient . • La Font . Le gracieux fe place ordinairement dans les defcriptions qu'on jette de tems en tems dans les récits . Il ...
... tion qui fait image . Ainfi en parlant d'un fanglier dur à tuer : La Parque & fes cifeaux Avec peine y mordoient . • La Font . Le gracieux fe place ordinairement dans les defcriptions qu'on jette de tems en tems dans les récits . Il ...
Strona 58
... tion le fonds eft à lui auffi - bien que la forme . Il s'engagea à faire cent Fables : & il a tenu parole . Dans toutes il y a du fens , de l'efprit .. Il y en a même plu- fieurs qui font fort eftimées . Nous nous contenterons de mettre ...
... tion le fonds eft à lui auffi - bien que la forme . Il s'engagea à faire cent Fables : & il a tenu parole . Dans toutes il y a du fens , de l'efprit .. Il y en a même plu- fieurs qui font fort eftimées . Nous nous contenterons de mettre ...
Strona 65
... tion . C'est le regne de la liberté des plaifirs innocens , de la paix , de ces biens pour lefquels tous les hommes fe fentent nés , quand leurs paffions leur laiffent quelques momens de filence pour fe reconnoître . En un mot , c'eft ...
... tion . C'est le regne de la liberté des plaifirs innocens , de la paix , de ces biens pour lefquels tous les hommes fe fentent nés , quand leurs paffions leur laiffent quelques momens de filence pour fe reconnoître . En un mot , c'eft ...
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Achille acteurs action Adonis affez Agamemnon aifé Ainfi Ajax allégorique auffi auffitôt auroit avoit befoin Bergers bleffé c'eft c'eſt c'étoit caractere caufes chante chofes choifi combat conféquent d'Homere DAPH Daphnis déeffe dieux difcours divinité effentielle efpece eft vrai Eglogues Enée enfuite eſt étoient étoit expreffions fable fage fang fans feconde felon femble fens fentiment feroit fervir feul fimple foient foit fonge font Fontaine fous ftyle fuit fujet fuppofe furnaturelles goût Grecs Hector héros Homere hommes idées intéreffante Ipfa jufte Junon Jupiter l'action l'Agneau l'Apologue l'efprit l'Eglogue l'Enéïde l'entrepriſe l'Epopée l'hiftoire l'Iliade laiffe Loup maniere Ménélas ment mœurs n'eft n'eſt nature Neftor Obfervation paffe paffions paftorale par-tout paroît Patrocle peint penfées Pere le Boffu perfonne Phedre plaifir plufieurs Poéfie Poëme épique Poëte poëtique préfente prefque premiere Priam puiffe raifon récit refte Renard ruiffeau tems Théocrite tion Troyens Turnus Ulyffe vaiffeaux Vénus veut Virgile Voilà
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Strona 12 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée : Le lait tombe ; adieu, veau, vache, cochon, couvée.
Strona 259 - Vénus la beauté. Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible aux yeux des matelots, C'est Neptune en courroux qui gourmande les flots ; Echo n'est plus un son qui dans l'air retentisse, C'est une nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse.
Strona 44 - Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non.
Strona 130 - Agréables déserts, séjour de l'innocence, Où loin des vanités, de la magnificence, Commence mon repos et finit mon tourment, Vallons, fleuves, rochers, plaisante solitude, Si vous fûtes témoins de mon inquiétude, Soyez-le désormais de mon contentement!
Strona 43 - Le lion tint conseil, et dit : Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune • Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Strona 198 - Le merveilleux de l'Epopée , s'il eft fenfé & raifonnable , fe reduit donc à tirer le voile qui couvre les machines qui font jouer la nature , & à repréfenter la conduite de Dieu par rapport aux chofes humaines. Quand il pane ces limites , ce n'eft plus qu'un vain emportement d'une imagination égarée.
Strona 130 - S'il ne possède point ces maisons magnifiques, Ces tours, ces chapiteaux, ces superbes portiques Où la magnificence étale ses attraits, II jouit des beautés qu'ont les saisons nouvelles, II voit de la verdure et des fleurs naturelles, Qu'en ces riches lambris on ne voit qu'en portraits.
Strona 72 - Qu'en ses plus beaux habits l'Aurore au teint vermeil Annonce à l'univers le retour du soleil, Et que devant son char ses légères suivantes Ouvrent de l'Orient les portes éclatantes ; Depuis que ma bergère a quitté ces beaux lieux, Le ciel n'a plus ni jour ni clarté pour mes yeux.
Strona 130 - Et ne recherche point pour honorer sa vie De plus illustre mort ni plus digne d'envie Que de mourir au lit où ses pères sont morts.
Strona 6 - Voyez-vous ce large chemin ? Nous vous voiturerons par l'air en Amérique, Vous verrez mainte république, Maint royaume, maint peuple, et vous profiterez Des différentes mœurs que vous remarquerez. Ulysse en fit autant.