Oeuvres complètes, Tom 2Deterville, 1796 |
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Strona 21
... vais encor me taire plus longtemps . De mon heureux rival j'accompagnai les armes ; J'espérai de verser mon sang après mes larmes , Ou qu'au moins , jusqu'à vous porté par mille exploits , Mon nom pourrait parler au défaut de ma voix ...
... vais encor me taire plus longtemps . De mon heureux rival j'accompagnai les armes ; J'espérai de verser mon sang après mes larmes , Ou qu'au moins , jusqu'à vous porté par mille exploits , Mon nom pourrait parler au défaut de ma voix ...
Strona 23
... vais , le cœur trop plein de votre image , Attendre , en vous aimant , la mort pour mon partage . Surtout ne craignez point qu'une aveugle douleur Remplisse l'univers du bruit de mon malheur ; Madame , le seul bruit d'une mort que j ...
... vais , le cœur trop plein de votre image , Attendre , en vous aimant , la mort pour mon partage . Surtout ne craignez point qu'une aveugle douleur Remplisse l'univers du bruit de mon malheur ; Madame , le seul bruit d'une mort que j ...
Strona 31
... vais , Paulin .... O ciel ! puis - je le déclarer ? Quoi , seigneur ? PAULI N. TITU S. Pour jamais je vais m'en séparer . Mon cœur , en ce moment , ne vient pas de se rendre : Si je t'ai fait parler , si j'ai voulu t'entendre , Je ...
... vais , Paulin .... O ciel ! puis - je le déclarer ? Quoi , seigneur ? PAULI N. TITU S. Pour jamais je vais m'en séparer . Mon cœur , en ce moment , ne vient pas de se rendre : Si je t'ai fait parler , si j'ai voulu t'entendre , Je ...
Strona 32
... ma voix ; Et je vais lui parler pour la dernière fois . PAUL I N. Je n'attendais pas moins de cet amour de gloire Qui partout , après vous , attacha la victoire . La Judée asservie , et ses remparts fumants , De 32 BÉRÉNICE ,
... ma voix ; Et je vais lui parler pour la dernière fois . PAUL I N. Je n'attendais pas moins de cet amour de gloire Qui partout , après vous , attacha la victoire . La Judée asservie , et ses remparts fumants , De 32 BÉRÉNICE ,
Strona 35
... vais annoncer ! Encore un coup , allons , il n'y faut plus penser . Je connais mon devoir , c'est à moi de le suivre " : Je n'examine point si j'y pourrai survivre . SCENE III . TITUS , PAULIN , RUTILE . RUTIL E. Bérénice , seigneur ...
... vais annoncer ! Encore un coup , allons , il n'y faut plus penser . Je connais mon devoir , c'est à moi de le suivre " : Je n'examine point si j'y pourrai survivre . SCENE III . TITUS , PAULIN , RUTILE . RUTIL E. Bérénice , seigneur ...
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Achille Acomat AGAMEMNON Allez amant âme amour Amurat ANTIOCH ANTIOCH US Arbate Arcas ARICI ARSA Arsace ATALIDE Bajazet BÉRÉNICE cacher Calchas CENONE cher chercher ciel CLY TEM NESTRE cœur courroux crime cruel déja dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE expirer fatal fille fils flâme funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas heureux Hippolyte hymen IPHIGÉNIE Ismène j'ai j'aime j'ose jamais jour l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux longtemps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même Monime mort mortels Mycène Orcan OSMI Osmin parler Paulin pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHED PHEDR Phénice pleurs prince prompt puis-je reine rival Romains Rome ROXA Roxane sais sang SCENE PREMIERE secret seigneur serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THÉ SÉ THÉRA MÈNE THÉRAMÈNE Thésée TITU Titus tragédie tremble trépas Trézène triste trouble vais venger veux vœux vois vous-même XIPHA Xipharès yeux ZAIRE ZATIM
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Strona 7 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Strona 429 - Cher ami, si mon père un jour désabusé « Plaint le malheur d'un fils faussement accusé , « Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive, « Dis-lui qu'avec douceur il traite sa captive : « Qu'il lui rende .. » A ce mot ce héros expiré N'a laissé dans mes bras qu'un corps défiguré : Triste objet où des dieux triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l'œil même de son père.
Strona 4 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie; il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Strona 394 - Ne vaudrait-il pas mieux , digne sang de Minos , Dans de plus nobles soins chercher votre repos, Contre un ingrat qui plaît recourir à la fuite, Régner, et de l'État embrasser la conduite? PHÈDRE. Moi , régner ! moi , ranger un État sous ma loi , Quand ma faible raison ne règne plus sur moi ! Lorsque j'ai de mes sens abandonné l'empire ! Quand sous un joug honteux à peine je respire ! Quand je me meurs!
Strona 428 - Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle : J'ai vu , seigneur, j'ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Strona 356 - Les faiblesses de l'amour y passent pour de vraies faiblesses. Les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause ; et le, vice y est peint partout avec des couleurs qui en. font connaître et haïr la difformité.
Strona 25 - Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence... Ciel! avec quel respect et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
Strona 25 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Strona 388 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche. Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi. Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Strona 62 - Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous , Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ; Que le jour recommence, et que le jour finisse, Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que, de tout le jour, je puisse voir Titus...