La nôtre, hélas ! languit abandonnée. A C Α Ν Τ Ε. Cette Dormène, & cette vieille Dame, COLETTE Quitte les tous. A C Α Ν Τ Ε. Je n'ose, mais enfin J'ai quelque espoir : que ton conseil m'affiste, Dis moi d'abord, Colette, en quoi consiste Ce fameux droit du Seigneur ? C Ο Ι Ε Τ Τ Ε, Oh! ma foi, z Secon Seconde moi; fais que je vienne à bout A C Α Ν Τ Ε. Ah! jy ferai mon possible. COLETTE. Ma mère ACANTE. Que de bon coeur j'en fais le facrifice ! pour l'avoir , moi pour ne l'avoir point, Tu gagneras assez à ce partage, Mais en perdant, je gagne davantage. А стE II. SCE N E I. LE BAILLIF, PHLIPE fon valer. LE BAILLIF. MA robe, allons — cu respect – vite Phlipe. robe, allons du . C'est en Baillif qu'il faut que je m'équipe. J'ai des cliens qu'il faut expédier. Je suis Baillif; je te fais mon huillier, Amene moi Colette à l'audiance. (il s'ajseye devant une table, & feuillette 1.7% grand livre.) (à Colette. ) Approchez vous, --- faites la revérence , Colette; il faut d'abord dire son nom, Co Colette. -- Il faut dire ensuite son âge. COLE TT E. Fi donc, Monsieur, j'ai vingt ans, tout au plus. LE BAILLIF (écrivant.) Ça, vingt ans, paile: -- ils sont bien révolus ? C Ο Ι. Ε Τ Τ Ε. L'âge, Monsieur, ne fait rien à la chose ; L E BAILI I F. COLETTE. J'ai cent raisons. LE Mais vous coupez le fil, A tout moment, de notre procédure. Oh tant! j'aurais plus d'un mari fans lui; LE BAILLI F. Il vous a fait sans doute des promesses? COLE TT E. Mille pour une , & pleines de tendresses. |