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MIZ HA BUEZ

SANTES ANNA

Sur le rapport qui nous a été fait par M. l'abbé MORVAN, chanoine de notre cathédrale, Nous permettons l'impression de cet ouvrage.

Quimper, le 16 Mars 1877.

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Je vous remercie du volume que vous m'avez envoyé. Malgré mes quinze ans de séjour et ma bonne volonté, je suis encore bien peu fort en Brezonnek, quoique j'aime cet idiome si caractéristique.

J'ai lu pourtant quelques chapitres et ils m'ont paru aussi bien pensés que bien écrits. Je bénis l'œuvre et l'auteur.

+ AUGUSTIN,

Evêque de St-Brieuc et Tréguier.

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EXTRAIT d'une lettre de M. GUILLOUZO, chapelain de Sainte-Anne d'Auray.

Sainte-Anne, 24 Août 1877.

J'ai reçu votre Miz Santes Anna et je prie sainte Anne de bénir vos efforts. Je suis si satisfait de votre livre que je ne puis m'empêcher de vous dire que je voudrais le voir répandu partout et le mois de sainte Anne inauguré dans toute la Bretagne.

GUILLOUZO,

Chapelain de Sainte-Anne.

M.hhé Chatton, chanoine titulaire et vicaire général honoraire de Saint-Brieuc, a adressé la lettre suivante à M. l'abbé Péron, vicaire à Cast, auteur du livre breton intitulé : Buez ha Miz Santes Anna.

Saint-Brieuc, le 31 Août 1877.

Monsieur l'Abbé,

Aucun livre breton n'était plus à désirer que celui que vous venez de publier: la sainte aïeule de Notre-Seigneur, dont le culte est si populaire en Bretagne, devait avoir son histoire dans notre idiome national. Vous avez donc eu une bonne et sainte pensée en écrivant Miz ha Buez Santes

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Anna, et, laissez-moi vous le dire, vous vous êtes très heureusement acquitté de cette tâche. Pour faire connaître aux fidèles les principales circonstances de la vie de sainte Anne, sur laquelle l'Ecriture garde un mystérieux silence, vous avez puisé aux meilleures sources de la Tradition et suivi les révélations les plus autorisées vos petits traités sur les vertus de la Sainte contiennent aussi, avec une doctrine sûre, d'excellentes règles de conduite pour les différentes conditions de la vie, et vous avez su donner un charme nouveau à ces pieuses lectures en les accompagnant d'exemples qui ne peuvent qu'augmenter la confiance et l'amour des Bretons envers leur sainte patronne,

Quant à la forme de votre be, elle me semble aussi digne d'éloge que le fond : vous avez fait un livre bien breton; le style en est facile, élégant et toujours correct, et la lecture en sera, non seulement intelligible, mais attrayante aux populations des différentes régions de la Bretagne.

Je souhaite donc que Miz Santes Anna se répande dans toutes nos familles bretonnes; et, en vous remerciant de l'exemplaire que vous avez eu la bonté de m'adresser, je vous prie, Monsieur l'abbé, d'agréer l'assurance de mes sentiments les plus distingués.

A. CHATTON, ch., vic. gén.

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