FablesPellerin et compagnie Imp.-édit. Imagerie d'Epinal, 1863 - 448 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 31
Strona
... père , celui des mortels qui avait le plus de communication avec les dieux . Je ne sais comme ils n'ont point fait des- cendre du ciel ces mêmes fables , et comme ils ne leur ont point assigné un dieu qui en eût la direc- tion , ainsi ...
... père , celui des mortels qui avait le plus de communication avec les dieux . Je ne sais comme ils n'ont point fait des- cendre du ciel ces mêmes fables , et comme ils ne leur ont point assigné un dieu qui en eût la direc- tion , ainsi ...
Strona
... Plutarque aurait voulu imposer à la postérité dans ce traité - là lui qui fait profession d'être véritable partout ailleurs , et de conserver à chacun son caractère . Je chante les héros dont Esope est le père : DE LA FONTAINE .
... Plutarque aurait voulu imposer à la postérité dans ce traité - là lui qui fait profession d'être véritable partout ailleurs , et de conserver à chacun son caractère . Je chante les héros dont Esope est le père : DE LA FONTAINE .
Strona
Jean de La Fontaine. Je chante les héros dont Esope est le père : Troupe de qui l'histoire , encor que mensongère , Contient des vérités qui servent de leçons . Tout parle en mon ouvrage , et même les poissons : Ce qu'ils disents'adresse ...
Jean de La Fontaine. Je chante les héros dont Esope est le père : Troupe de qui l'histoire , encor que mensongère , Contient des vérités qui servent de leçons . Tout parle en mon ouvrage , et même les poissons : Ce qu'ils disents'adresse ...
Strona 13
... père , un bon bourgeois ; lui , sans autre mérite : Matière infertile et petite . Le poète d'abord parla de son héros . Après en avoir dit ce qu'il en pouvait dire , Il se jette à côté , se met sur le propos De Castor et Pollux ; ne ...
... père , un bon bourgeois ; lui , sans autre mérite : Matière infertile et petite . Le poète d'abord parla de son héros . Après en avoir dit ce qu'il en pouvait dire , Il se jette à côté , se met sur le propos De Castor et Pollux ; ne ...
Strona 41
... père : Ce que disait le testament . Le peuple s'étonna comme il se pouvait faire Qu'un homme seul eût plus de sens Qu'une multitude de gens . ' FIN DU DEUXIÈME LIVES . LIVRE TROISIÈME . FABLE I. Les membres et l'Estomac . LIVRE II .
... père : Ce que disait le testament . Le peuple s'étonna comme il se pouvait faire Qu'un homme seul eût plus de sens Qu'une multitude de gens . ' FIN DU DEUXIÈME LIVES . LIVRE TROISIÈME . FABLE I. Les membres et l'Estomac . LIVRE II .
Inne wydania - Wyświetl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Adieu Amour animaux Apollon assez Baucis baudet beau belette belle berger bête bois bout C'était cent Cérès cerf chasseur chat cheval chien chose ciel cœur conte corbeau cormoran coup crier crut Dieu dieux dire dit-il dit-on donne doux encens enfants enfin Esope esprit eût FABLE IX FABLE VII FABLE XI FABLE XII fais femme fendre du bois Fortune gåte gens Grenouilles Hippocrate homme hôte J'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse lièvre lion logis loup MADAME DE MONTESPAN maint maître malheureux maltre manger messieurs mieux monde mort mouche mouton n'en neuf sœurs pareils passer pauvre peine père peuple Phèdre pieds Pilpay plaisir Pluton prendre prince qu'à qu'un queue raison renard repartit rien s'en sage Scythe seigneur seul singe sire Socrate sœur soins sort souris Styx tête Tircis tortue trésor trouva Ulysse veux vient voilà voleurs
Popularne fragmenty
Strona 144 - LE SAVETIER ET LE FINANCIER. Un savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance.
Strona 50 - JE ne suis pas de ceux qui disent : « Ce n'est rien : C'eSt une femme qui se noie. » Je dis que c'est beaucoup; et ce sexe vaut bien Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Strona 118 - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Strona 200 - Ne pleurez point ; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai : J'étais là ; telle chose m'advint : Vous y croirez être vous-même.
Strona 5 - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Strona 201 - J'ai quelquefois aimé : je n'aurais pas alors Contre le Louvre et ses trésors, Contre le firmament et sa voûte céleste, Changé les bois, changé les lieux Honorés par les pas, éclairés par les yeux De l'aimable et jeune bergère Pour qui, sous le fils de Cythère, Je servis, engagé par mes premiers serments.
Strona 145 - Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an ! ma foi, Monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gaillard savetier, ce n'est point ma manière De compter de la sorte; et je n'entasse guère Un jour sur l'autre: il suffit qu'à la fin J'attrape le bout de l'année; Chaque jour amène son pain.
Strona 241 - C'est ainsi que ma muse, aux bords d'une onde pure, Traduisoit en langue des dieux Tout ce que disent sous les cieux Tant d'êtres empruntant la voix de la nature.
Strona 118 - Au dire de chacun, étaient de petits saints. L'âne vint à son tour, et dit: «J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la krgeur de ma langue; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Strona 38 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.