Fables choisies accompagnées de notes par A. de Closset1867 - 607 |
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ABSTEMIUS æthere alloit Allusion animaux Apollon apologue assez avoit beau belette bête BOILEAU c'est-à-dire C'étoit cerf Chamfort chat cheval chien chose conte corbeau dérive désigner Dieu dieux dire dit-il donne éditions modernes Ellipse enfants ÉSOPE étoit eût Expression familière FABLE VII FABLE XIV faisoit Fontaine fortune gens Geruzez Grecs Grenouilles hémistiche homme J'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'âne l'apologue l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse langue romane latin lièvre lion LOUANDRE Louis XIV loup maint maître manger MAROT mieux Molière morale mort mouche moutons mythologie grecque n'en oiseaux Pantagruel passé pauvre pensée peuple PHÈDRE pieds Pilpay plaisir poëte poétique prince proverbe qu'un queue RABELAIS Racan raison REGNIER renard rien rime romane s'en sage seigneur semble sens seul signifie singe sorte souris style familier suivant sujet suprà suranné tête tour trouve verbe vieillard vient vieux VIRGILE Voilà YSOPET
Popularne fragmenty
Strona 4 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Strona 58 - L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Strona 7 - Hé, bonjour, monsieur du Corbeau Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Strona 519 - J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Strona 291 - L'attelage suait, soufflait, était rendu. Une mouche survient, et des chevaux s'approche, Prétend les animer par son bourdonnement, Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment Qu'elle fait aller la machine. S'assied sur le timon, sur le nez du cocher.
Strona 272 - Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse. Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur; Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Strona 57 - Vous avez bien sujet d'accuser la nature; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil , Brave l'effort de la tempête.
Strona 15 - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Strona 272 - Ainsi dit le renard ; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.
Strona 25 - LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D'une façon fort civile, A des reliefs d'Ortolans. Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis.