Revue de Paris, Tom 13Bureau de la Revue de Paris., 1840 |
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Strona 6
... beau résultat : le massacre de ce vieux fermier et de sa femme ! - - Au Ne m'en parlez pas , capitaine , dit le sergent en haussant les épaules . Ça été une sotte imagination de cet entêté de Robin - le - Mo- risque ; il se figurait ...
... beau résultat : le massacre de ce vieux fermier et de sa femme ! - - Au Ne m'en parlez pas , capitaine , dit le sergent en haussant les épaules . Ça été une sotte imagination de cet entêté de Robin - le - Mo- risque ; il se figurait ...
Strona 11
... beau les rouer de coups , ils con- tinuent de chanter ; seulement à chaque bourrade ils détonnaient à vous rendre sourds . Le psaume fini , le prédicant , que deux de mes cavaliers commençaient à ficeler , se met à dire à M. le marquis ...
... beau les rouer de coups , ils con- tinuent de chanter ; seulement à chaque bourrade ils détonnaient à vous rendre sourds . Le psaume fini , le prédicant , que deux de mes cavaliers commençaient à ficeler , se met à dire à M. le marquis ...
Strona 44
... beau revenu lorsque vers la fin du printemps de 1810 , en surveillant le débarque- ment d'une tartane qui lui avait été expédiée de Marseille , il aperçut à la fenêtre - d'un ferblantier , dont la petite maison donnait sur.
... beau revenu lorsque vers la fin du printemps de 1810 , en surveillant le débarque- ment d'une tartane qui lui avait été expédiée de Marseille , il aperçut à la fenêtre - d'un ferblantier , dont la petite maison donnait sur.
Strona 45
... beau , son amour était ardent , sa passion éloquente , il pouvait donc espérer . En effet , du moment que Faustine le vit à ses pieds , et qu'elle se crut sincèrement aimée , elle l'aima . Ce n'était point assez pour Lorenzo d'avoir ...
... beau , son amour était ardent , sa passion éloquente , il pouvait donc espérer . En effet , du moment que Faustine le vit à ses pieds , et qu'elle se crut sincèrement aimée , elle l'aima . Ce n'était point assez pour Lorenzo d'avoir ...
Strona 48
... dire , à la suite de leurs complimens : Que Dieu la bénisse ! Or , tout oubli de cette espèce est un présage infaillible de malheur . Dire d'un en- fant qu'il est beau sans dire que Dieu le bénisse 48 REVUE DE PARIS .
... dire , à la suite de leurs complimens : Que Dieu la bénisse ! Or , tout oubli de cette espèce est un présage infaillible de malheur . Dire d'un en- fant qu'il est beau sans dire que Dieu le bénisse 48 REVUE DE PARIS .
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amour anatomiques André Vésale assez avaient Bâville beau belle bientôt c'était cabinet camisards capitaine Cavalier Cevennes Cevenol chambre chant charme château chef chose Claude cœur courage devant Dieu dire donner DOUGLAS doute Dufaure enfant Éphraïm Espère-en-Dieu esprit eût Exotique Faustine femme Fezenzac Florac Florian force Frégier frère Fresnes Galien gens Gérondif Gersain grace guerre Guizot homme Isabeau j'ai jamais Jean Cavalier jeune fille jour l'archiprêtre l'homme laisse livre long-temps Lorenzo Ludwigslust MAC-GRÉGOR main maître Janet malheureux maréchal maréchal de Villars Marliani marquise Mecklembourg médecine ment ministère monde monsieur Nîmes noble pain d'épices parler paroles passé passions pauvre pensée pianiste piano politique porte premier presque Psyché qu'un raison RATCLIFF Raymon regard reprit reste rien Roche-Noire s'écria s'est s'était s'il Schwangau Seigneur semble sentimens sentiment serait seul sigisbé Simon Bernard sorte Stambs Taboureau tête Tielbourg tion Toinon troupes trouve Vésale Vignolle Villars voilà voix yeux
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Strona 107 - Notre Père qui êtes aux cieux ; que votre nom soit sanctifié ; que votre règne arrive ; que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour ; pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; et ne nous laissez pas succomber à la tentation ; mais délivrez-nous du mal.
Strona 61 - Il est vrai que dans les démocraties le peuple paraît faire ce qu'il veut 1 ; mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l'on veut. Dans un État, c'est-à-dire dans une société où il ya des lois, la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir.
Strona 133 - Evidemment ce jour était venu où le pouvoir perd son droit à la fidélité, où naît pour les peuples celui de se protéger eux-mêmes par la force, ne trouvant plus dans l'ordre établi ni sûreté, ni recours. Jour redoutable et inconnu, que nulle science humaine ne saurait prévoir, que nulle constitution humaine ne peut régler, qui pourtant se lève quelquefois, marqué par la main divine. Si l'épreuve qui commence alors était absolument interdite, si du point mystérieux où il réside,...
Strona 282 - Le mal est fait; il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout ^ <( à coup, ne sais comment , vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil.
Strona 282 - D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout-à-coup, ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil.
Strona 255 - J'ai toujours eu un objet en composant toutes ces pièces. Des occasions différentes me l'ont fourni ; ainsi les titres répondent aux idées que j'ai eues; on me dispensera d'en rendre compte.
Strona 211 - L'escrivaillerie semble estre quelque simptome d'un siecle desbordé. Quand escrivismes nous tant que depuis que nous sommes en trouble ? quand les Romains tant que lors de leur ruyne...
Strona 277 - Ce qui m'excite à t'aimer, ô mon Dieu, Ce n'est pas l'heureux ciel que mon espoir devance , Ce qui m'excite à t'épargner l'offense , Ce n'est pas l'enfer sombre et l'horreur de son feu ! C'est toi , mon Dieu , toi par ton libre vœu Cloué sur cette croix où t'atteint l'insolence ; C'est ton saint corps sous l'épine et la lance , Où tous les aiguillons de la mort sont en jeu. Voilà ce qui m'éprend, et d'amour si suprême...
Strona 282 - Elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription.
Strona 35 - Il attira tellement l'attention de Louis xiv que ce prince dit en le voyant charger l'ennemi : « On ne peut tirer un coup de fusil « quelque part, que ce petit garçon ne sorte de terre pour s'y trouver.