Revue du Lyonnais, Tom 23L. Boitel., 1861 |
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Strona 8
... aurait plus rien à lui apprendre . C'est donc un sentiment tout simple de la mesure de nos forces qui nous invite à croire au perpétuel progrès de la science . On ne fait qu'assortir en cela le jugement de la philosophie avec l'oracle ...
... aurait plus rien à lui apprendre . C'est donc un sentiment tout simple de la mesure de nos forces qui nous invite à croire au perpétuel progrès de la science . On ne fait qu'assortir en cela le jugement de la philosophie avec l'oracle ...
Strona 9
... aurait - il un degré plus élevé de l'esprit qui tout à coup forcerait les barrières d'un monde nouveau , qui nous ferait gravir jusqu'au surnaturel , qui , par cette ascension merveilleuse , nous conduirait à une vie plus parfaite que ...
... aurait - il un degré plus élevé de l'esprit qui tout à coup forcerait les barrières d'un monde nouveau , qui nous ferait gravir jusqu'au surnaturel , qui , par cette ascension merveilleuse , nous conduirait à une vie plus parfaite que ...
Strona 10
... aurait grand besoin d'être remise sous le balancier et refrappée avec une légende plus exacte que celle de Colbert ; car , le progrès qui y est donné pour devise à la noble Académie ne serait plus qu'un mensonger symbole , qu'un augure ...
... aurait grand besoin d'être remise sous le balancier et refrappée avec une légende plus exacte que celle de Colbert ; car , le progrès qui y est donné pour devise à la noble Académie ne serait plus qu'un mensonger symbole , qu'un augure ...
Strona 11
... aurait - on pu demander au XVIIIe siècle d'où nous sortons ? Le siècle hésitait en effet sur sa direction véritable . D'un côté , retentissaient ces fortes maximes de justice , d'humanité , de liberté civile qui paraissaient faire ...
... aurait - on pu demander au XVIIIe siècle d'où nous sortons ? Le siècle hésitait en effet sur sa direction véritable . D'un côté , retentissaient ces fortes maximes de justice , d'humanité , de liberté civile qui paraissaient faire ...
Strona 12
... aurait avec Dieu une communication immédiate et complète ; pendant qu'en Bavière Gassner appliquait gravement l'exorcisme du démon au traitement des maladies , c'était en France l'expé- rience que Delisle affrontait , à l'Hôtel des ...
... aurait avec Dieu une communication immédiate et complète ; pendant qu'en Bavière Gassner appliquait gravement l'exorcisme du démon au traitement des maladies , c'était en France l'expé- rience que Delisle affrontait , à l'Hôtel des ...
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Popularne fragmenty
Strona 15 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul! Comment lire en son sein! Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles!
Strona 15 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes!
Strona 482 - Non, tu n'interdis pas ces sommets à ton fils ; Aux maîtres les plus fiers devant moi tu t'y mêles, Et ta voix me commande, au pied du crucifix, D'aller chercher partout des armes et des ailes ! Les hauts lieux m'ont ouvert leur magique arsenal, Je m'y suis revêtu de granit et de chêne ; Leur souffle en moi s'agite et leur feu s'y déchaîne, Et mon cœur débordant n'attend plus qu'un signal.
Strona 416 - Parti de trois traits, coupé d'un, ce qui donne huit quartiers : au i, fascé d'argent et de gueules de huit pièces, qui est de Hongrie; au 2...
Strona 27 - II n'ya pas de surnaturel. Depuis qu'il ya de l'être, tout ce qui s'est passé dans le monde des phénomènes a été le développement régulier des lois de l'être, lois qui ne constituent qu'un seul ordre de gouvernement, la nature, soit physique, soit morale. Qui dit au-dessus ou en dehors des lois de la nature dans l'ordre des faits dit une contradiction, comme qui dirait surdivin dans l'ordre des substances.
Strona 189 - De mille appâts, de mille pièges Tu préserves mon cœur, mes oreilles , mes yeux. Ton asile est un ciel d'où je m'élève aux cieux : Où je change en printemps l'hiver dont tu m'assièges, Où, parmi les rocs et les neiges, La nuit entend gémir tes chants mystérieux. Sois mille fois béni , désert qui me protèges ! Que ma vie et ma mort se renferme en ces...
Strona 323 - Histoire des ducs de Bourbon et des comtes de Forez, en forme d'annales sur preuves authentiques, servant d'augmentation à l'histoire du pays de Forez et d'illustration à...
Strona 188 - Où l'Éridan, chanté par cent muses rivales, Roule ses eaux royales, Fier d'enlever Clotilde à nos fleuves jaloux. Sous quel ciel merveilleux l'Amour va vous conduire ! Ces Alpes, ces rochers parlent pour vous instruire; Ils sont pleins d'Annibal et pleins de vos aïeux.
Strona 189 - La nuit entend gémir tes chants mystérieux. Sois mille fois béni, désert qui me protèges! Que ma vie et ma mort se renferme en ces lieux ; Garde bien mes soupirs, mes pas silencieux, Mon humble toit religieux, Le jardin de ma jeune abeille, Mon doux repos quand je sommeille, Ma conscience, quand je veille, Et la paix de mon âme, et son vol vers les cienx.
Strona 346 - ... en français pour ne point exposer sa réputation à l'ignorance du peuple; car il n'est pas croyable combien ses écrits en langue vulgaire , où il découvre les secrets de la nature et les parties du corps humain les plus cachées, avec la liberté que se donnent les médecins...