Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire: Ouvrages dramatiques, avec les piéces relatives à chacun. T. 7-10 |
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Strona 38
Ce fut lui qui du prince à ses yeux massacré Raporta dans nos murs le corps
défiguré : Percé de coups lui - même il se trainait à peine . Il tomba tout sanglant
aux genoux de la reine . ▻ Des inconnus , dit - il , ont porté ces grands coups : »
Ils ...
Ce fut lui qui du prince à ses yeux massacré Raporta dans nos murs le corps
défiguré : Percé de coups lui - même il se trainait à peine . Il tomba tout sanglant
aux genoux de la reine . ▻ Des inconnus , dit - il , ont porté ces grands coups : »
Ils ...
Strona 190
H E ROD E. Eh ! quoi ! mes transports furieux , Ces pleurs que mes remords
arrachent de mes yeux , Ce changement soudain , cette douleur mortelle , Tout
ne te dit - il pas que je viens d'auprès d'elle ? Toujours troublé , toujours plein de
...
H E ROD E. Eh ! quoi ! mes transports furieux , Ces pleurs que mes remords
arrachent de mes yeux , Ce changement soudain , cette douleur mortelle , Tout
ne te dit - il pas que je viens d'auprès d'elle ? Toujours troublé , toujours plein de
...
Strona 208
D'un trait fi généreux ton cæur seul est capable : Plus Hérode à tes yeux doit
paraître coupable , Plus ta grandeur éclate à respecter en moi Ces noeuds
infortunés qui m'unissent à toi . Tu vois où je m'emporte , & quelle est ma
faiblesse ...
D'un trait fi généreux ton cæur seul est capable : Plus Hérode à tes yeux doit
paraître coupable , Plus ta grandeur éclate à respecter en moi Ces noeuds
infortunés qui m'unissent à toi . Tu vois où je m'emporte , & quelle est ma
faiblesse ...
Strona 370
Rome , mes yeux sur toi seront toujours ouverts ; Ne me reproche point des
chaînes que j'abhorre . Mais quel autre billet à mes yeux s'offre encore ? Non , tu
n'es pas Brutus . Ah ! reproche cruel ! Cesar ! tremble , tyran , voilà ton coup
mortel .
Rome , mes yeux sur toi seront toujours ouverts ; Ne me reproche point des
chaînes que j'abhorre . Mais quel autre billet à mes yeux s'offre encore ? Non , tu
n'es pas Brutus . Ah ! reproche cruel ! Cesar ! tremble , tyran , voilà ton coup
mortel .
Strona 388
De mes stosques yeux des larmes ont coulé . Après l'affreux serment , que vous
m'avez vû faire , Prêt à servir l'état , mais à tuer mon père , Pleurant d'être son fils
, honteux de ses bienfaits , Admirant ses vertus , condamnant ses forfaits ...
De mes stosques yeux des larmes ont coulé . Après l'affreux serment , que vous
m'avez vû faire , Prêt à servir l'état , mais à tuer mon père , Pleurant d'être son fils
, honteux de ses bienfaits , Admirant ses vertus , condamnant ses forfaits ...
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
acte affreux aime ainſi amour ARON arrêté aſſez aujourd'hui bras Brutus c'eſt cæur Ceſar cher chercher ciel coeur Corneille coupable coups cour craint crime cruel demande deſtin devant devoir dieux digne dipe dire doit donner doute EGIN enfin ennemis époux eſt fais fang fans fers fils font funeſte fureur gloire Grecs haine Hélas héros homme j'ai Jocaſte jour l'amour l'autre Laïus liberté lieux loin loix madame mains maître malheureux Mariamne mère mort n'en n'eſt ouvrage parler père peuple peut-être piéce pleurs porte pouvoir premier qu'à qu'un régner reine reſte rien rois Romains Rome s'il ſang ſans SCENE ſecret ſeigneur ſénat ſes ſeul Sohême ſoit ſon ſont ſous ſuis ſujet ſur tems terre théâtre Titus tragédie traits trouve Tullie tyrans venger vertu veut veux Voilà voyez yeux
Popularne fragmenty
Strona 24 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Strona 92 - Un dieu plus fort que toi m'entraînait vers le crime ; Sous mes pas fugitifs il creusait un abîme ; Et j'étais, malgré moi, dans mon aveuglement, D'un pouvoir inconnu l'esclave et l'instrument.
Strona 130 - Aux crimes malgré moi l'ordre du ciel m'attache: Pour m'y faire tomber à moi-même il me cache; II offre, en m'aveuglant sur ce qu'il a prédit, Mon père à mon épée, et ma mère à mon lit. Hélas! qu'il est bien vrai qu'en vain on s'imagine Dérober notre vie à ce qu'il nous destine ! Les soins de l'éviter font courir au-devant, Et l'adresse à le fuir y plonge plus avant.
Strona 153 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 269 - Destructeurs des tyrans, vous qui n'avez pour rois Que les dieux de Numa, vos vertus et nos lois, Enfin notre ennemi commence à nous connaître. Ce superbe Toscan qui ne parlait qu'en maître, Porsenna, de Tarquin ce formidable appui...
Strona 117 - Tu fais rentrer ce sang dont tu m'avais formé ; Et par là tu produis et des fils et des pères , Des frères , des maris, des femmes et des mères, Et tout ce que du sort la maligne fureur Fit jamais voir au jour et de honte et d'horreur.