Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire: Ouvrages dramatiques, avec les piéces relatives à chacun. T. 7-10 |
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Wyniki 1 - 5 z 5
Strona 7
J'ai eu soin d'effacer , autant que je l'ai pù , les couleurs fades d'un amour
déplacé , que j'avais mêlées malgré moi aux traits mâles & terribles que ce sujet
exige . Je veux d'abord que vous sachiez , pour ma justification , que tout jeune
que ...
J'ai eu soin d'effacer , autant que je l'ai pù , les couleurs fades d'un amour
déplacé , que j'avais mêlées malgré moi aux traits mâles & terribles que ce sujet
exige . Je veux d'abord que vous sachiez , pour ma justification , que tout jeune
que ...
Strona 148
Cette comparaisoni me paraît affez juste ; car ma poësie pourait bien être aussi
relâchée que la morale d'Escobar ; & il y a quelques traits dans la fatyre de ma
piéce , qui font peut - être dignes des lettres provinciales , du moins par la ...
Cette comparaisoni me paraît affez juste ; car ma poësie pourait bien être aussi
relâchée que la morale d'Escobar ; & il y a quelques traits dans la fatyre de ma
piéce , qui font peut - être dignes des lettres provinciales , du moins par la ...
Strona 227
Que lui lancer les traits qu'a préparés sa main . Tu te souviens allez de ce tems
plein d'allarmes , Lorsqu'un bruit si funeste à l'espoir de nos armes , Apprit à l'
orient étonné de son fort , Qu'Auguste était vainqueur , & qu'Antoine était mort .
Que lui lancer les traits qu'a préparés sa main . Tu te souviens allez de ce tems
plein d'allarmes , Lorsqu'un bruit si funeste à l'espoir de nos armes , Apprit à l'
orient étonné de son fort , Qu'Auguste était vainqueur , & qu'Antoine était mort .
Strona 228
Mais la fureur encor flatait peu mes souhaits : L'amour qui la caufait en repousait
les traits . De ce fatal objet telle était la puisance ; Un regard de l'ingrate arrêtait
sa vengeance . Je presai son départ ; il partit , & depuis Mes lettres chaque jour ...
Mais la fureur encor flatait peu mes souhaits : L'amour qui la caufait en repousait
les traits . De ce fatal objet telle était la puisance ; Un regard de l'ingrate arrêtait
sa vengeance . Je presai son départ ; il partit , & depuis Mes lettres chaque jour ...
Strona 245
Imitez son exemple , asurez votre vie . Tout condamne la reine , & tout vous
justifie . i Ne montrez qu'à des yeux éclairés & difcrets Un cæur encor percé de
ces indignes traits . Q3 ACTE A CT E V. SCENE SI XI É ME . TRAGE DI E. 245 ..
Imitez son exemple , asurez votre vie . Tout condamne la reine , & tout vous
justifie . i Ne montrez qu'à des yeux éclairés & difcrets Un cæur encor percé de
ces indignes traits . Q3 ACTE A CT E V. SCENE SI XI É ME . TRAGE DI E. 245 ..
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
acte affreux aime ainſi amour ARON arrêté aſſez aujourd'hui bras Brutus c'eſt cæur Ceſar cher chercher ciel coeur Corneille coupable coups cour craint crime cruel demande deſtin devant devoir dieux digne dipe dire doit donner doute EGIN enfin ennemis époux eſt fais fang fans fers fils font funeſte fureur gloire Grecs haine Hélas héros homme j'ai Jocaſte jour l'amour l'autre Laïus liberté lieux loin loix madame mains maître malheureux Mariamne mère mort n'en n'eſt ouvrage parler père peuple peut-être piéce pleurs porte pouvoir premier qu'à qu'un régner reine reſte rien rois Romains Rome s'il ſang ſans SCENE ſecret ſeigneur ſénat ſes ſeul Sohême ſoit ſon ſont ſous ſuis ſujet ſur tems terre théâtre Titus tragédie traits trouve Tullie tyrans venger vertu veut veux Voilà voyez yeux
Popularne fragmenty
Strona 24 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Strona 92 - Un dieu plus fort que toi m'entraînait vers le crime ; Sous mes pas fugitifs il creusait un abîme ; Et j'étais, malgré moi, dans mon aveuglement, D'un pouvoir inconnu l'esclave et l'instrument.
Strona 130 - Aux crimes malgré moi l'ordre du ciel m'attache: Pour m'y faire tomber à moi-même il me cache; II offre, en m'aveuglant sur ce qu'il a prédit, Mon père à mon épée, et ma mère à mon lit. Hélas! qu'il est bien vrai qu'en vain on s'imagine Dérober notre vie à ce qu'il nous destine ! Les soins de l'éviter font courir au-devant, Et l'adresse à le fuir y plonge plus avant.
Strona 153 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 269 - Destructeurs des tyrans, vous qui n'avez pour rois Que les dieux de Numa, vos vertus et nos lois, Enfin notre ennemi commence à nous connaître. Ce superbe Toscan qui ne parlait qu'en maître, Porsenna, de Tarquin ce formidable appui...
Strona 117 - Tu fais rentrer ce sang dont tu m'avais formé ; Et par là tu produis et des fils et des pères , Des frères , des maris, des femmes et des mères, Et tout ce que du sort la maligne fureur Fit jamais voir au jour et de honte et d'horreur.