Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire: Ouvrages dramatiques, avec les piéces relatives à chacun. T. 7-10 |
Z wnêtrza ksi±¿ki
Wyniki 1 - 5 z 5
Strona 38
Pour moi qui de vos mains recevant la couronne , Deux ans après la mort ai
monté sur son trône , Madame , jusqu'ici respectant vos douleurs , Je n'ai point
rapellé le sujet de vos pleurs ; Et de vos seuls périls chaque jour allarmée ; Mon
ame ...
Pour moi qui de vos mains recevant la couronne , Deux ans après la mort ai
monté sur son trône , Madame , jusqu'ici respectant vos douleurs , Je n'ai point
rapellé le sujet de vos pleurs ; Et de vos seuls périls chaque jour allarmée ; Mon
ame ...
Strona 54
... seigneur , n'habitent pas toujours ; Ca ne voit point leur bras si prodigue en
miracles ; Ces antres , ces trépieds , qui rendent leurs oracles , Ces organes d'
airain que nos mains ont formés , ' Toujours d'un soufle pur ne font point animés .
... seigneur , n'habitent pas toujours ; Ca ne voit point leur bras si prodigue en
miracles ; Ces antres , ces trépieds , qui rendent leurs oracles , Ces organes d'
airain que nos mains ont formés , ' Toujours d'un soufle pur ne font point animés .
Strona 87
Le ciel , qui dans mes mains a remis votre enfance , D'une profonde nuit couvre
votre naissance ; Et je fais seulement , qu'en naissant condamné , Et sur un mont
désert à périr destiné , La lumière sans moi vous eût été ravie . OE DI P E. 1 ...
Le ciel , qui dans mes mains a remis votre enfance , D'une profonde nuit couvre
votre naissance ; Et je fais seulement , qu'en naissant condamné , Et sur un mont
désert à périr destiné , La lumière sans moi vous eût été ravie . OE DI P E. 1 ...
Strona 221
C'est là qu'en soulevant ses mains appesanties , Du poids affreux des fers
indignement flétries , » Cruel , a - t - elle dit , & malheureux époux ! » Mariamne
en mourant ne pleure que sur vous . » Puissiez - vous par ma mort finir vos
injustices !
C'est là qu'en soulevant ses mains appesanties , Du poids affreux des fers
indignement flétries , » Cruel , a - t - elle dit , & malheureux époux ! » Mariamne
en mourant ne pleure que sur vous . » Puissiez - vous par ma mort finir vos
injustices !
Strona 305
Quel oil , sans s'éblouir , peut voir un diadême , Présenté par vos mains , embelli
par vous - même ? Parlez - lui seulement , vous pourrez tout sur lui . De l'ennemi
des rois triomphez aujourd'hui . Arrachez au sénat , rendez à votre père , Ce ...
Quel oil , sans s'éblouir , peut voir un diadême , Présenté par vos mains , embelli
par vous - même ? Parlez - lui seulement , vous pourrez tout sur lui . De l'ennemi
des rois triomphez aujourd'hui . Arrachez au sénat , rendez à votre père , Ce ...
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
acte affreux aime ainſi amour ARON arrêté aſſez aujourd'hui bras Brutus c'eſt cæur Ceſar cher chercher ciel coeur Corneille coupable coups cour craint crime cruel demande deſtin devant devoir dieux digne dipe dire doit donner doute EGIN enfin ennemis époux eſt fais fang fans fers fils font funeſte fureur gloire Grecs haine Hélas héros homme j'ai Jocaſte jour l'amour l'autre Laïus liberté lieux loin loix madame mains maître malheureux Mariamne mère mort n'en n'eſt ouvrage parler père peuple peut-être piéce pleurs porte pouvoir premier qu'à qu'un régner reine reſte rien rois Romains Rome s'il ſang ſans SCENE ſecret ſeigneur ſénat ſes ſeul Sohême ſoit ſon ſont ſous ſuis ſujet ſur tems terre théâtre Titus tragédie traits trouve Tullie tyrans venger vertu veut veux Voilà voyez yeux
Popularne fragmenty
Strona 24 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Strona 92 - Un dieu plus fort que toi m'entraînait vers le crime ; Sous mes pas fugitifs il creusait un abîme ; Et j'étais, malgré moi, dans mon aveuglement, D'un pouvoir inconnu l'esclave et l'instrument.
Strona 130 - Aux crimes malgré moi l'ordre du ciel m'attache: Pour m'y faire tomber à moi-même il me cache; II offre, en m'aveuglant sur ce qu'il a prédit, Mon père à mon épée, et ma mère à mon lit. Hélas! qu'il est bien vrai qu'en vain on s'imagine Dérober notre vie à ce qu'il nous destine ! Les soins de l'éviter font courir au-devant, Et l'adresse à le fuir y plonge plus avant.
Strona 153 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 269 - Destructeurs des tyrans, vous qui n'avez pour rois Que les dieux de Numa, vos vertus et nos lois, Enfin notre ennemi commence à nous connaître. Ce superbe Toscan qui ne parlait qu'en maître, Porsenna, de Tarquin ce formidable appui...
Strona 117 - Tu fais rentrer ce sang dont tu m'avais formé ; Et par là tu produis et des fils et des pères , Des frères , des maris, des femmes et des mères, Et tout ce que du sort la maligne fureur Fit jamais voir au jour et de honte et d'horreur.