Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire: Ouvrages dramatiques, avec les piéces relatives à chacun. T. 7-10 |
Z wnêtrza ksi±¿ki
Wyniki 1 - 5 z 5
Strona 234
Tant de vertus enfin , de malheurs & de charmes Contre ma liberté sont de trop
fortes armes . Je l'aime , cher Albin , mais non d'un fol amour , Que le caprice
enfante & détruise en un jour ; Non d'une passion , que mon ame troublée
Reçoive ...
Tant de vertus enfin , de malheurs & de charmes Contre ma liberté sont de trop
fortes armes . Je l'aime , cher Albin , mais non d'un fol amour , Que le caprice
enfante & détruise en un jour ; Non d'une passion , que mon ame troublée
Reçoive ...
Strona 292
Seigneur , ainsi qu'à vous , la liberté m'eft chère : Quoique né sous un roi , j'en
goûte les appas ; Vous vous perdez pour elle , & n'en jouïssez pas . Eft - il donc ,
entre nous , rien de plus despotique , Que l'esprit d'un état qui passe en ...
Seigneur , ainsi qu'à vous , la liberté m'eft chère : Quoique né sous un roi , j'en
goûte les appas ; Vous vous perdez pour elle , & n'en jouïssez pas . Eft - il donc ,
entre nous , rien de plus despotique , Que l'esprit d'un état qui passe en ...
Strona 329
Observons tous leurs pas , je ne puis rien de plus ; La liberté , la loi , dont nous
sommes les pères , Nous défend des rigueurs peut - être néceffaires . Arrêter un
Romain fur de simples soupçons , C'est agir en tyrans , nous qui les punissons .
Observons tous leurs pas , je ne puis rien de plus ; La liberté , la loi , dont nous
sommes les pères , Nous défend des rigueurs peut - être néceffaires . Arrêter un
Romain fur de simples soupçons , C'est agir en tyrans , nous qui les punissons .
Strona 332
Mais quand nous connaîtrons le nom des parricides , Prenez garde , Romains ,
point de grace aux perfides : Fussent - ils nos amis , nos frères , nos enfans , Ne
voyez que leur crime , & gardez vos fermens . Rome , la liberté , demandent leur
...
Mais quand nous connaîtrons le nom des parricides , Prenez garde , Romains ,
point de grace aux perfides : Fussent - ils nos amis , nos frères , nos enfans , Ne
voyez que leur crime , & gardez vos fermens . Rome , la liberté , demandent leur
...
Strona 367
Je fais quel est le peuple , on le change en un jour ; Il prodigue aisément la haine
& son amour ; Si ma grandeur l'aigrit , ma clémence l'attire . Un pardon politique
à qui ne peut me nuire , Dans mes chaînes qu'il porte , un air de liberté A A ...
Je fais quel est le peuple , on le change en un jour ; Il prodigue aisément la haine
& son amour ; Si ma grandeur l'aigrit , ma clémence l'attire . Un pardon politique
à qui ne peut me nuire , Dans mes chaînes qu'il porte , un air de liberté A A ...
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
acte affreux aime ainſi amour ARON arrêté aſſez aujourd'hui bras Brutus c'eſt cæur Ceſar cher chercher ciel coeur Corneille coupable coups cour craint crime cruel demande deſtin devant devoir dieux digne dipe dire doit donner doute EGIN enfin ennemis époux eſt fais fang fans fers fils font funeſte fureur gloire Grecs haine Hélas héros homme j'ai Jocaſte jour l'amour l'autre Laïus liberté lieux loin loix madame mains maître malheureux Mariamne mère mort n'en n'eſt ouvrage parler père peuple peut-être piéce pleurs porte pouvoir premier qu'à qu'un régner reine reſte rien rois Romains Rome s'il ſang ſans SCENE ſecret ſeigneur ſénat ſes ſeul Sohême ſoit ſon ſont ſous ſuis ſujet ſur tems terre théâtre Titus tragédie traits trouve Tullie tyrans venger vertu veut veux Voilà voyez yeux
Popularne fragmenty
Strona 24 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Strona 92 - Un dieu plus fort que toi m'entraînait vers le crime ; Sous mes pas fugitifs il creusait un abîme ; Et j'étais, malgré moi, dans mon aveuglement, D'un pouvoir inconnu l'esclave et l'instrument.
Strona 130 - Aux crimes malgré moi l'ordre du ciel m'attache: Pour m'y faire tomber à moi-même il me cache; II offre, en m'aveuglant sur ce qu'il a prédit, Mon père à mon épée, et ma mère à mon lit. Hélas! qu'il est bien vrai qu'en vain on s'imagine Dérober notre vie à ce qu'il nous destine ! Les soins de l'éviter font courir au-devant, Et l'adresse à le fuir y plonge plus avant.
Strona 153 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 269 - Destructeurs des tyrans, vous qui n'avez pour rois Que les dieux de Numa, vos vertus et nos lois, Enfin notre ennemi commence à nous connaître. Ce superbe Toscan qui ne parlait qu'en maître, Porsenna, de Tarquin ce formidable appui...
Strona 117 - Tu fais rentrer ce sang dont tu m'avais formé ; Et par là tu produis et des fils et des pères , Des frères , des maris, des femmes et des mères, Et tout ce que du sort la maligne fureur Fit jamais voir au jour et de honte et d'horreur.