Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire: Ouvrages dramatiques, avec les piéces relatives à chacun. T. 7-10Cramer, 1764 |
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Strona 67
... Arrête que dis - tu ? qui ? Polibe mon père ? LE GRAND - PRÊTRE . Vous apprendrez trop tôt votre funefte fort ; Ce jour va vous donner la naiffance & la mort . Vos deftins font comblés , vous allez vous connaître . Malheureux ! favez ...
... Arrête que dis - tu ? qui ? Polibe mon père ? LE GRAND - PRÊTRE . Vous apprendrez trop tôt votre funefte fort ; Ce jour va vous donner la naiffance & la mort . Vos deftins font comblés , vous allez vous connaître . Malheureux ! favez ...
Strona 77
... Arrête des courfiers la fougue impétueufe . Loin du char à l'inftant ces guerriers élancés Avec fureur fur moi fondent à coups preffés . La victoire entre nous ne fut point incertaine . Dieux puiffans ! je ne fais fi c'eft faveur ou ...
... Arrête des courfiers la fougue impétueufe . Loin du char à l'inftant ces guerriers élancés Avec fureur fur moi fondent à coups preffés . La victoire entre nous ne fut point incertaine . Dieux puiffans ! je ne fais fi c'eft faveur ou ...
Strona 184
... arrête , se condamne ; Ce grand projet l'étonne , & prete à le tenter , Son auftère vertu craint de l'exécuter . Sa mère eft à fes pieds , & le cœur plein d'allarmes , Lui présente fes fils , la baigne de ses larmes , La conjure en ...
... arrête , se condamne ; Ce grand projet l'étonne , & prete à le tenter , Son auftère vertu craint de l'exécuter . Sa mère eft à fes pieds , & le cœur plein d'allarmes , Lui présente fes fils , la baigne de ses larmes , La conjure en ...
Strona 195
... arrête ? Et penfez - vous enfin , que lorfque votre tête Sera par vos foins même expofée à ses coups , L'amour qui vous féduit lui parlera pour vous ? Quoi donc tant de mépris , cette horreur inhumaine ... HEROD E. Ah ! laiffez moi ...
... arrête ? Et penfez - vous enfin , que lorfque votre tête Sera par vos foins même expofée à ses coups , L'amour qui vous féduit lui parlera pour vous ? Quoi donc tant de mépris , cette horreur inhumaine ... HEROD E. Ah ! laiffez moi ...
Strona 214
... honneur s'en offenfe , & le mien me l'ordonne . Il n'eft rien qui m'arrête , il n'eft rien qui m'étonne ; Et je cours réparer , en cherchant votre époux , Ce Ce tems que j'ai perdu fans combattre pour vous . 214 MARIAM NE ,
... honneur s'en offenfe , & le mien me l'ordonne . Il n'eft rien qui m'arrête , il n'eft rien qui m'étonne ; Et je cours réparer , en cherchant votre époux , Ce Ce tems que j'ai perdu fans combattre pour vous . 214 MARIAM NE ,
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
acte affez affreux ainfi ALBIN amour ANTOIN ARONS auffi Brutus c'eft c'eſt CASSIUS CAST Cefar CESAR ciel CIMBER Corneille courroux craint crime d'Edipe deffeins deftin déja diadême dieux Edipe efprit EGINE époux eſt facrés faibleffe falut fang fans fauver fcène fecond fecret feigneur femble fénat fens fentimens fentiment fervir feul févère fils foins foit font foupçons fous fraper fuis fujet funefte fureur gloire HEROD Hérode j'ai JO CAST Jocafte jufte l'amour laiffe Laïus Licteurs loix longtems madame mains malheureux MARIA M N Mariamne MAZA Meffala MESSA monftre mort n'eft NARBA OE DIP paffer paffions parler penfe père peuple PHILO Philoctète Phorbas piéce plaifir pleurs porte Quirinale préfent preffe PROCULUS puiffe raifon refpect refte rime rois Romains Rome SALOM SCENE ſes Sohême ſon Sophocle Tarquin tems théâtre Thébains Thèbe TITUS tragédie trifte Tullie tyrans Varus venger vertu veux yeux
Popularne fragmenty
Strona 24 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Strona 92 - Un dieu plus fort que toi m'entraînait vers le crime ; Sous mes pas fugitifs il creusait un abîme ; Et j'étais, malgré moi, dans mon aveuglement, D'un pouvoir inconnu l'esclave et l'instrument.
Strona 130 - Aux crimes malgré moi l'ordre du ciel m'attache: Pour m'y faire tomber à moi-même il me cache; II offre, en m'aveuglant sur ce qu'il a prédit, Mon père à mon épée, et ma mère à mon lit. Hélas! qu'il est bien vrai qu'en vain on s'imagine Dérober notre vie à ce qu'il nous destine ! Les soins de l'éviter font courir au-devant, Et l'adresse à le fuir y plonge plus avant.
Strona 153 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 269 - Destructeurs des tyrans, vous qui n'avez pour rois Que les dieux de Numa, vos vertus et nos lois, Enfin notre ennemi commence à nous connaître. Ce superbe Toscan qui ne parlait qu'en maître, Porsenna, de Tarquin ce formidable appui...
Strona 117 - Tu fais rentrer ce sang dont tu m'avais formé ; Et par là tu produis et des fils et des pères , Des frères , des maris, des femmes et des mères, Et tout ce que du sort la maligne fureur Fit jamais voir au jour et de honte et d'horreur.