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ROUEN.

IMPRIMERIE DE NICÉTAS PERIAUX, RUE DE LA VICOMTÉ, 55.

Anglo-Normandes.

RECUEIL D'EXTRAITS ET D'ÉCRITS

RELATIFS

A L'HISTOIRE DE NORMANDIE ET D'ANGLETERRE
PENDANT LES XIe ET XIIe SIÈCLES;

PUBLIÉ, POUR LA PREMIÈRE FOIS,

D'après les Manuscrits de Londres, de Cambridge,
de Douai, de Bruxelles et de Paris,

PAR

FRANCISQUE MICHEL.

IMPRIMÉ SOUS LES AUSPICES ET AVEC L'AUTORISATION
DE M. GUIZOT,

Ministre de l'Instruction publique.

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PRÉFACE.

I.

L'ORIGINAL du précieux document par lequel

s'ouvre ce volume, est contenu dans le Cartulaire de l'abbaye de Swaffham, maintenant conservé parmi les archives de la Cathédrale de Peterborough; si nous sommes bien informés, il a été écrit dans le douzième siècle. Il est publié ici d'après une copie exécutée pour Gale, qui fait actuellement partie de ses manuscrits dans la Bibliothèque du collége de la Trinité, à Cambridge. Cette transcription est exces

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sivement incorrecte, et dans de certains passages est impossible d'y retrouver le sens 1.

il

Nous eûmes, pendant quelque temps, l'intention de donner un Essai sur l'histoire de Hereward, avec un recueil de tous les passages des anciennes chroniques qui se rapportent à ce dernier héros des Anglo-Saxons; des considérations d'un autre genre nous ont détourné de cette idée; et, comme la plupart de ces notices sont vagues et peu satisfaisantes, nous nous contenterons de donner, à la suite de ce chapitre, quatre articles qui complètent plus particulièrement le morceau que nous publions. Le premier est la notice consacrée à Hereward par Ingulphe, l'historien de Peterborough; le second est un extrait de la curieuse chronique de Jean, abbé du même endroit ; le troisième, qui est inédit, est une singulière bio

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Cette incorrection est cause que nous avons laissé passer un petit nombre d'erreurs, la plupart de peu d'importance, et nous a amenés, dans un endroit, à trouver une difficulté où réellement il n'y en avait pas. Nous parlons de la phrase qui commence ligne 5, page 30, et où le manuscrit donne Muentis, à la 4 ligne avec une M capitale, comme si ce mot était un nom propre. Il n'y a nullement à douter que l'original porte réellement inventis. Quibus tandem in quadam minima insula quæ Stimtencia vocatur prope inventis, etc. En conséquence, la note qui est au bas de la page est inutile.

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