Meine Reise durch das Wallis und Pays de Vaud im Jahre 1803 |
Co mówią ludzie - Napisz recenzję
Nie znaleziono żadnych recenzji w standardowych lokalizacjach.
Inne wydania - Wyświetl wszystko
Meine Reise Durch das Wallis und Pays De Vaud: Im Jahre 1803; Von dem ... G. H. Holder Podgląd niedostępny - 2018 |
Meine Reise Durch das Wallis und Pays De Vaud: Im Jahre 1803; Von dem ... G. H. Holder Podgląd niedostępny - 2017 |
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Abends Alpen alten angenehme Auge Berge Bern Bewohner bier Bild Blik boben Boden breite Bruſt chen Dichters dieſer Dorf Dörfchen eben einige endlich erblikt Erde erheben fand fanft feine Felſen fich find findet Fremde Freund führen führt Fuß Füßen ganze Gebirge Geiſt Genf gieng Gott großen Grün halbe Hand herrliche Herz Himmels hohen Hügel iſt Jahre jezt jungen Kinder kleine konnte Landes lange Laura Lebens leicht lich Liebe liegt Luft machen machte Mädchen manche Mann Matten Mauern Menſchen Morgen muß mußte Nacht nahe Nahmen Natur neuen Raum reich reine Reiz Rhone Rolle ſcheint ſchon ſchönen Schritte Schweiz Seele Sees ſehr ſein ſeinem Seite ſelbſt ſeyn ſich ſie ſind Sinn Sitten Sonne Stadt Städtchen Straße Strom Stunde Thal Theil trat Ufer Umgebung viel Wallis Wand ward warme Wein Wellen wels Welt wenig wieder wohl wollte Worte zieht zwiſchen
Popularne fragmenty
Strona 182 - J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime, Innocente à mes yeux, je m'approuve moi-même, Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les Dieux m'en sont témoins, ces Dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang; Ces Dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle.
Strona 185 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Strona 183 - J'ai langui, j'ai séché, dans les feux, dans les larmes. II suffit de tes yeux pour t'en persuader, Si tes yeux un moment pouvaient me regarder.
Strona 184 - Que dis-je? Cet aveu que je te viens de faire, Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr. Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime!
Strona 186 - Je te venais prier de ne le point haïr. Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime! Hélas! je ne t'ai pu parler que de toi-même.
Strona 184 - Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour. Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper.
Strona 183 - Toi-même en ton esprit rappelle le passé. C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé; J'ai voulu te paraître odieuse, inhumaine; Pour mieux te résister, j'ai recherché ta haine. De quoi m'ont profité mes inutiles soins? Tu me haïssais plus, je ne t'aimais pas moins. Tes malheurs te prêtaient encor de nouveaux charmes. J'ai langui, j'ai séché dans les feux, dans les larmes.
Strona 192 - Tempus ait : deus, ecce, deus ! Cui talia fanti Ante fores, subito non vultus, non color unus, Non comtae mansere comae ; sed pectus anhelum, Et rabie fera corda tument ; majorque videri, Nee mortale sonans ; afflata est numine quando 50 Jam propriore dci.
Strona 152 - Je suis ici dans l'île de Circé, sans être ni aussi fin, ni aussi brave, ni aussi sage, ni aussi cochon, qu'Ulisse & ses compagnons.
Strona 144 - Oh! le bon et le mauvais pays ! Adieu, madame; voilà une assez longue lettre; si j'y ajoutais ce que j'ai toujours à vous dire de mon adoration pour vous, vous mourriez d'ennui. Mettez-moi aux pieds du roi, contez-lui...