Obrazy na stronie
PDF
ePub

CURSUS COMPLETUS,

SEU BIBLIOTHECA UNIVERSALIS, INTEGRA, UNIFORMIS, COMMODA, OECONOMICA,

OMNIUM SS. PATRUM, DOCTORUM SCRIPTORUMQUE ECCLESIASTICORUM,

SIVE LATINORUM, SIVE GRÆCORUM,

QUI AB EVO apostolicO AD ÆTATEM INNOCENTII III (ANN. 1216) PRO LATINIS,
ET AD CONCILII FLORENTINI TEMPORA (ANN. 1439) PRO GRÆCIS FLORUERUNT :

RECUSIO CHRONOLOGICA

MNIUM QUÆ EXSTITERE MONUMENTORUM CATHOLICE TRADITIONIS PER QUINDECIM PRIORA
ECCLESIÆ SECULA,

XTA EDITIONES ACCURATISSIMAS, INter se cumqUE NONNULLIS CODICIBUS MANUSCRIPTIS COLLATAS, PERQUAM DILIGEN-
TER CASTIGATA DISSERTATIONIBUS, COMMENTARIIS, VARIISQUE LECTIONIBUS CONTINENTER ILLUSTRATA; OMNIBUS
OPERIBUS POST AMPLISSIMAS EDITIONES QUE TRIBUS NOVISSIMIS SECULIS DEBENTUR ABSOLUTAS, DETECTIS,
AUCTA; INDICIBUS ORDINARIIS VEL ETIAM ANALYTICIS, SINGULOS SIVE TOMOS, SIVE AUCTORES ALICUJUS
MOMENTI SUBSEQUENTIBUS, DONATA; CAPITULIS INTRA IPSUM TEXTUM RITE DISPOSITIS, NECNON ET TITULIS
SINGULARUM PAGINARUM MARGINEM SUPERIOREM DISTINGUENTIBUS SUBJECTAMQUE MATERIAM SIGNIFI-
CANTIBUS, ADORNATA; OPERIBUS CUM DUBIIS, TUM APOCRYPHIS, ALIQUA VERO AUCTORITATE IN
ORDINE AD TRADITIONEM ECCLESIASTICAM POLLENTIBUS, AMPLIFICATA;

UCENTIS ET QUADRAGINTA INDICIBUS SUB OMNI RESPECTU, SCILICET, ALPHABETICO, CHRONOLOGICO, ANALYTICO,
ANALOGICO, STATISTICO, SYNTHETICO, ETC., OPERA, RES ET AUCTORES EXHIBENTIBUS, ITA UT NON SOLUM STU-
DIOSO, SED NEGOTIIS IMPLICATO, ET SI FORTE SINT, PIGRIS ETIAM ET IMPERITIS PATEANT OMNES
SS. PATRES, LOCUPLETATA; SED PRÆSERTIM DUOBUS IMMENSIS ET GENERALIBUS INDICIBUS, ALTERO
SCILICET RERUM, QUO CONSULTO, QUIDQUID NON SOLUM TALIS TALISVE PATER, VERUM ETIAM
UNUSQUISQUE PATRUM, ABSQUE ULLA EXCEPTIONE, IN QUODLIBET THEMA SCRIPSERIT, UNO

INTUITU CONSPICIATUR; ALTERO SCRIPTURÆ SACRÆ, EX QUO LECTORI COM-

PERIRE SIT OBVIUM QUINAM PATRES ET IN QUIBUS OPERUM SUORUM LOCIS SINGULOS
SINGULORUM LIBRORUM SCRIPTURÆ VERSUS, A PRIMO GENESEOS USQUE AD
NOVISSIMUM APOCALYPSIS, COMMENTATI SINT :

EDITIO ACCURATISSIMA, CÆTERISQUE OMNIBUS FACILE ANTEPONENDA, SI PERPENDANTUR CHARACTERUM NITIDITAS,
CHARTE QUALITAS, INTEGRITAS TEXTUS, CORRECTIONIS Perfectio, OPERUM RECUSORUM TUM VARIETAS TUM
NUMERUS, FORMA VOLUMINUM PERQUAM COMMODA SIBIQUE IN TOTO PATROLOGIE DECURSU CONSTANTER
SIMILIS, PRETII EXIGUITAS, PRÆSERTIMQUE ISTA COLLECTIO UNA, METHODICA ET CHRONOLOGICA,
SEXCENTORUM FRAGMENTORUM OPUSCULORUMQue hactenUS HIC ILLIC SPARSORUM, VEL ETIAM
INEDITORUM, PRIMUM AUTEM IN NOSTRA BIBLiotheca, eX OPERIBUS ET MSS. AD OMNES
ETATES, LOCOS, LINGUAS FORMASQUE PERTINENTIBUS, COADUNATORUM,

T EX INNUMERIS OPERIBUS TRADITIONEM CATHOLICAM CONFLANTIBUS, OPUS UNICUM MIRABILITER EFFICIENTIUM.

SERIES LATINA,

IN QUA PRODEUNT PATRES, DOCTORES SCRIPTORESQUE ECCLESIÆ LATINE
A TERTULLIANO AD INNOCENTIUM III.

ACCURANTE J.-P. MIGNE,

Bibliothecæ Cleri universæ

SIVE CURSUUM COMPLETORUM IN SINGULOS SCIENTIÆ ECCLESIASTICE

RAMOS EDITORE.

PATROLOGIA, ad instar ipsius Ecclesiæ, in duas partes divIDITUR, ALIAM NEMPE LATINAM, ALIAM GRÆCO-LATINAM,
AMBÆ PARTES JAM INTEGRE EXARATÆ SUNT. LATINA, 222 VOLUMINIBUS MOLE SUA STANS, 1110 FRANCIS VENIT GRÆCA

DUPLICI EDITIONE TYPIS MANDATA EST. PRIOR GRÆCUM TEXTUM UNA CUM VERSIONE LATINO LATERALI COMPLEC-
TITUR, ET 104 VOLUMINA IN 109 TOMIS, PRO PRIMA SERIE, NON EXCEDIT. POSTERIOR VERSIONEM LATINAM TANTUM
EXHIBET, IDEOQUE INTRA 55 VOLUMINA RETINETUR. SECUNDA SERIES GRÆCO-LATINA AD 58 VOLUMINA TANTUM ATTIN-
GIT; DUM HUJUS VERSIO MERe Latina 29 voLUMINIBUS EST ABSOLUTA. UNUMQUODQUE VOLUMEN GRÆCO-LATINUM 8,
UNUMQUODQUE MERE LATINUM 5 FRANCIS SOLUMMODO EMITUR UTROBIQUE VERO, UT PRETII HUJUS BENEFICIO
FRUATUR EMPTOR, COLLECTIONEM INTEGRAM, SIVE LATINAM, SIVE GRÆCAM COMPARET NECESSE ERIT; SECUS ENIM
CUJUSQUE VOLUMINIS AMPLITUDINEM NECNON ET DIFFICULTATES VARIA PRETIA ÆQUABUNT. IDEO, SI QUIS TANTUM EMAT
LICET INTEGRE, sed seoRSIM, COLLECTIONEM GRÆCO-LATINAM, VEL EAMDEM EX GRÆCO LATINE VERSAM, TUM QUODQUE
VOLUMEN PRO 9 VEL PRO 6 FRANCIS SOLUM OBTINEBIT. ISTE CONDITIONES POSTERIORI PATROLOGIÆ Latinæ seriei,
PATRES AB INNOCENTIO III AD CONCILIUM TRIDENTINUM EXHIBENTI, APPLICABUNTUR. PATROLOGIA QUÆ MANUSCRIPTIS
IN BIBLIOTHECIS ORBIS UNIVERSI QUIESCENTIBUS CONSTABIT, NECNON PATROLOGIA ORIENTALIS, CONDITIONIBUS SPE-
Cialibus subjicientur, et IN TEMPORE SUO ANNUNTIABUNTUR, SI TEMPUS EAS TYPIS MANDANDI NOBIS NON DEFuerit.

PATROLOGIE LATINE TOMUS XXXIII.

S. AURELIUS AUGUSTINUS.

PARISIIS

APUD GARNIER FRATRES EDITORES, ET J.-P. MIGNE, SUCCESSORES
IN VIA DICTA: AVENUE DU MAINE, 208

D'après une des lois providentielles qui régissent le monde, rarement les œuvres au-dessus de l'ordinaire se font sans contradictions plus ou moins fortes et nombreuses. Les Ateliers Catholiques ne pouvaient guère échapper à ce cachet divin de leur utilité. Tantôt on a nié leur existence ou leur importance; tantôt on a dit qu'ils étaient fermés ou qu'ils allaient l'être. Cependant ils poursuivent leur carrière depuis 24 ans, et les productions qui en sortent deviennent de plus en plus graves et soignées: aussi paraît-il certain qu'à moins d'événements qu'aucune prudence humaine ne saurait prévoir ni empêcher, ces Ateliers ne se fermeront que quand la Bibliothèque du Clergé sera terminée en ses 2,000 volumes in-4°. Le passé paraît un sûr garant de l'avenir, pour ce qu'il y a à espérer ou à craindre. Cependant, parmi les calomnies auxquelles ils se sont trouvés en butte, il en est deux qui ont été continuellement répétées, parce qu'étant plus capitales, leur effet entraînait plus de conséquences. De petits et ignares concurrents se sout donc acharnés, par leur correspondance ou leurs voyageurs, à répéter partout que nos Editions étaient mal corrigées et mal imprimées. Ne pouvant attaquer le fond des Ouvrages, qui, pour la plupart, ne sont que les chefs-d'œuvre du Catholicisme reconnus pour tels dans tous les temps et dans tous les pays, il fallait bien se rejeter sur la forme dans ce qu'elle a de plus sérieux, la correction et l'impressiou; en effet, les chefs-d'œuvre même n'auraient qu'une demi-valeur, si le texte en était inexact ou illisible.

Il est très vrai que, dans le principe, un succès inouï dans les fastes de la Typographie ayant forcé l'Editeur de recourir aux mécaniques, afin de marcher plus rapidement et de donner les ouvrages à moindre prix, quatre volumes du double Cours d'Ecriture sainte et de Théologie furent tirés avec la correction insuffisante donnée dans les imprimeries à presque tout ce qui s'édite; il est vrai aussi qu'un certain nombre d'autres volumes, appartenant à diverses Publications, furent imprimés ou trop noir ou trop blanc. Mais, depuis ces temps éloignés, les mécaniques ont cédé le travail aux presses à bras, et l'impression qui en sort, sans être du luxe, attendu que le luxe jurerait dans des ouvrages d'une telle nature, est parfaitement convenable sous tous les rapports. Quant à la correction, il est de fait quelle n'a jamais été portée si loin dans aucune édition ancienne ou contemporaine. Et comment en serait-il autrement, après tout s les peines et toutes les depenses que nous subissons pour arriver à purger nos épreuves de toutes fautes? L'habitude, en typographie, même dans les meilleures maisons, est de ne corriger que deux épreuves et d'en conférer une troisième avec la seconde, sans avoir préparé en rien le manuscrit de l'auteur. Dans les Ateliers Catholiques la difference est presque incommensurable. Au moyen de correcteurs blanchis sous le harnais et dont le coup d'œil typographique est sans pitié pour les fautes, on commence par préparer la copie d'un bout à l'autre sans en excepter un seul mot. On lit ensuite en première épreuve avec la copie ainsi préparée. On lit en seconde de la mène maniere, mais en collationnant avec la première. On fait la même chose en tierce, en collationnant avec la seconde. On agit de même en quarte, en collationnant avec la tierce. On renouvelle la même opération en quinte, en collationnant avec la quarte. Ces collationnements ont pour but de voir si aucune des fautes signalées au bureau par MM. les correcteurs, sur la marge des épreuves, n'a échappé à MM. les corrigeurs sur le marbre et le métal. Après ces cinq lectures entières contrôlées l'une par l'autre, et en dehors de la préparation ci-dessus mentionnée, vient une révision, et souvent il en vient deux ou trois; puis l'on cliche. Le clichage opéré, par conséquent la pureté du texte se trouvant immobilisee, on fait, avec la copie, une nouvelle lecture d'un bout de l'épreuve à l'autre, on se livre à une nouvelle révision, et le tirage n'arrive qu'après ces innombrables précautions. Aussi y a t-il à Montrouge des correcteurs de toutes les nations et en plus grand nombre que dans vingt-cinq imprimeries de Paris réunies! Aussi encore, la correction y coûte-t-elle autant que la composition, tandis qu'ailleurs elle ne coûte que le dixieme! Aussi enfin, bien que l'assertion puisse paraitre téméraire, l'exactitude obtenue par tant de frais et de soins, fait-elle que la plupart des Editions des Ateliers Catholiques laissent bien loin derrière elles celles même des célèbres Bénédictins Mabillon et Montfaucon et des célèbres Jésuites Petau et Sirmond. Que l'on compare, en effet, n'importe quelles feuilles de leurs editions avec celles des nôtres qui leur correspondent, en grec comme en latin, on se convaincra que l'invraisemblable est une réalité.

D'ailleurs, ces savants éminents, plus préoccupés du sens des textes que de la partie typographique et n'étant point correcteurs de profession, lisaient, non ce que portaient les épreuves, mais ce qui devait s'y trouver, leur haute intelligence suppléant aux fautes de l'édition. De plus les Benedictins, comme les Jésuites, opéraient presque toujours sur des manuscrits, cause perpétuelle de la multiplicité des fautes, pendant que les Ateliers Catholiques, dont le propre est surtout de ressusciter la Tradition, n'opèrent le plus souvent que sur les imprimés.

Le R. P. De Buch, Jesuite Bollandiste de Bruxelles, nous écrivait, il y a quelque temps, n'avoir pu trouver en dix-huit mois d'étude, une seule faute dans notre Patrologie latine. M. Denzinger, professeur de Théologie à l'Université de Wurzbourg, et M. Reissmann, Vicaire Général de la même ville, nous mandaient, à la date du 19 juillet, n'avoir pu également surprendre une seule faute, soit dans le latin soit dans le grec de notre double Patrologie. Enfin, le savant P. Pitra, Bénédictin de Solesme, et M. Bonetty, directeur des Annales de philosophie chrétienne, mis au défi de nous convaincre d'une seule erreur typographique, ont été forcés d'avouer que nous n'avions pas trop présumé de notre parfaite rorrection. Dans le Clergé se trouvent de bons latinistes et de bons hellénistes, et, ce qui est plus rare, des hommes très positifs et très pratiques, eh bien! nous leur promettons une prime de 25 centimes par chaque faute qu'ils découvriront dans n'importe lequel de nos volumes, surtout dans les grecs.

Malgré ce qui précède, l'Editeur des Cours complets, sentant de plus en plus l'importance et même la nécessité d'une correction parfaite pour qu'un ouvrage soit veritablement utile et estimable, se livre depuis plus d'un an, et est résolu de se livrer jusqu'à la fin à une opération longue, pénible et coûteuse, savoir, la révision entière et universelle de ses innombrables clichés. Ainsi chacun de ses volumes, au fur et à mesure qu'il les remet sous presse, est corrigé mot pour mot d'un bout à l'autre. Quarante hommes y sont ou y seront occupés pendant 10 ans, et une somme qui ne saurait être moindre d'un demi million de francs est consacrée à cet important contrôle. De cette manière, les Publications des Ateliers Catholiques, qui déjà se distinguaient entre toutes par la supériorité de leur correction, n'auront de rivales, sous ce rapport, dans aucun temps ni dans aucun pays; car quel est l'éditeur qui pourrait et voudrait se livrer APRES COUP à des travaux si gigantesques et d'un prix si exorbitant? Il faut certes être bien pénétré d'une vocation divine à cet effet, pour ne reculer ni devant la peine ni devant la dépense, surtout lorsque l'Europe savante proclame que jamais volumes n'ont été édités avec tant d'exactitude que ceux de la Bibliothèque universelle du Clergé. Le présent volume est du nombre de ceux révisés, et tous ceux qui le seront à l'avenir porteront cette note. En conséquence, pour juger les productions des Ateliers Catholiques sous le rapport de la correction, il ne faudra prendre que ceux qui porteront en tête l'avis ici tracé. Nous ne reconnaissons que cette édition et celles qui suivront sur nos planches de métal ainsi corrigées. On croyait autrefois que la stéréotypie immobilisait les fautes, attendu qu'un cliché de métal n'est point élastique; pas du tout, il introduit la perfection, car on a trouvé le moyen de le corriger jusqu'à extinction de fautes. L'Hébreu a été revu par M. Drach, le Grec par des Grecs, le Latin et le Français par les premiers correcteurs de la capitale en ces langues.

Nous avons la consolation de pouvoir finir cet avis par les réflexions suivantes : Enfin, notre exemple a fini par ébranler les grandes publications en Italie, en Allemagne, en Belgique et en France, par les Canons grecs de Rome, le Gerdil de Naples, le Saint-Thomas de Parme, l'Encyclopédie religieuse de Munich, le recueil des déclarations des rites de Bruxelles, les Bollandistes, le Suarez et le Spicilege de Paris. Jusqu'ici, on n'avait su réimprimer que des ouvrages de courte haleine. Les in-4°, où s'engloutissent les in-folio, faisaient peur, et on n'osait y toucher, par crainte de se noyer dans ces abimes sans fond et sans rives; mais on a fini par se risquer à nous imiter. Bien plus, sous notre impulsion, d'autres Editeurs se préparent au Bullaire universel, aux Décisions de toutes les Congrégations, à une Biographie et à une Histoire générale, etc. Malheureusement, la plupart des éditions déjà faites ou qui se font, sont sans autorité, parce qu'elles sont sans exactitude; la correction semble en avoir été faite par des aveugles, soit qu'on n'en ait pas senti la gravité, soit qu'on ait reculé devant les frais; mais patience! une reproduction correcte surgira bientôt, ne fût-ce qu'à la lumière des écoles qui se sont faites et qui se feront encore.

[blocks in formation]

CASTIGATA DENUO AD MANUSCRIPTOS CODICES GALLICOS, VATICANOS, BELGICOS, ETC.,

NECNON AD EDITIONES ANTIQUIORES ET CASTIGATIORES,

OPERA ET STUDIO

MONACHORUM ORDINIS SANCTI BENEDICTI

E CONGREGATIONE S. MAURI.

EDITIO NOVISSIMA, EMENDATA ET AUCTIOR,

ACCURANTE J.-P. MIGNE,

BIBLIOTHECA CLERI UNIVERSÆ,

SIVE

CURSUUM COMPLETORUM IN SINGULOS SCIENTIE ECCLESIASTICE RAMOS EDITORE.

TOMUS SECUNDUS.

VENIT 10 FR. GALLICIS.

PARISIIS

APUD GARNIER FRATRES EDITORES, ET J.-P. MIGNE, SUCCESSORES

IN VIA DICTA : AVENUE DU MAINE, 208.

TRADITIO CATHOLICA.

SECULA IV-V. ANNI 387-430.

ELENCHUS

AUCTORUM ET OPERUM QUI IN HOC TOMO XXXIII' CONTINENTUR

EPISTOLÆ.

S. AUGUSTINUS, HIPPONENSIS EPISCOPUS.

Classis prima. Epistolæ quas scripsit nondum episcopus (ab anno Christi 386 ad 395).

[ocr errors][merged small][merged small][merged small][ocr errors]

Classis II. Epistolæ quas episcopus ante collationem Carthaginensem cum Donatistis habitam et ante detectam in Africa Pelagii hæresim scripsit (ab anno 396 ad 410).

121

Classis III. Epistolæ quas scripsit reliquo vitæ tempore (ab anno 411 ad 430).

471

Classis IV. Epistolæ ipso etiam episcopo scriptæ, quarum tempus minus compertum est.

1025

APPENDIX.

Nonnullæ Epistolæ Augustini nomine olim falso prænotatæ.

Clieby. Ex typis PAUL DUPONT, 12, viå dietå Bac-d'Asnières. 62 bie, 9.1902.

[ocr errors]

1093

« PoprzedniaDalej »