Oedipe. Brutus. ZaireT. Dabo, 1718 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 100
Strona 14
... cœur s'intéresse par degrés . Plus je vois « combien cette simplicité est difficile , plus elle « << me charme ; et si je veux ensuite me rendre « raison de mon plaisir , je trouve que je suis de « l'avis de M. Despréaux , qui dit ...
... cœur s'intéresse par degrés . Plus je vois « combien cette simplicité est difficile , plus elle « << me charme ; et si je veux ensuite me rendre « raison de mon plaisir , je trouve que je suis de « l'avis de M. Despréaux , qui dit ...
Strona 17
... cœur . Voilà pourquoi on se servait de l'harmonie des vers pour aider la mé- moire . C'est pour cette raison que les premiers philosophes , les législateurs , les fondateurs des religions , et les historiens étaient tous poëtes . Il ...
... cœur . Voilà pourquoi on se servait de l'harmonie des vers pour aider la mé- moire . C'est pour cette raison que les premiers philosophes , les législateurs , les fondateurs des religions , et les historiens étaient tous poëtes . Il ...
Strona 28
... cœur se réveille ! Quoi ! Jocaste ... Les dieux me seraient - ils plus doux ? Quoi ! Philoctete enfin pourrait - il être à vous ? Il ne vit plus ! .. quel sort a terminé sa vie ? DIMAS . Quatre ans sont écoulés depuis qu'en Béotie Pour ...
... cœur se réveille ! Quoi ! Jocaste ... Les dieux me seraient - ils plus doux ? Quoi ! Philoctete enfin pourrait - il être à vous ? Il ne vit plus ! .. quel sort a terminé sa vie ? DIMAS . Quatre ans sont écoulés depuis qu'en Béotie Pour ...
Strona 31
... cœur digne du trône et vainqueur de soi - même ! En vain l'amour parlait à ce cœur agité , C'est le premier tyran que vous avez domté . PHILOCTÈTE . Il fallut fuir pour vaincre ; oui , je te le confesse , Je luttai quelque temps ; je ...
... cœur digne du trône et vainqueur de soi - même ! En vain l'amour parlait à ce cœur agité , C'est le premier tyran que vous avez domté . PHILOCTÈTE . Il fallut fuir pour vaincre ; oui , je te le confesse , Je luttai quelque temps ; je ...
Strona 35
... massacré votre époux ; << Ils m'ont laissé mourant ; et le pouvoir céleste << De mes jours malheureux a ranimé le reste . » Il ne m'en dit pas plus ; et mon cœur agité Voyait fuir loin de lui la triste vérité ; Et ACTE I , SCÈNE III . 35.
... massacré votre époux ; << Ils m'ont laissé mourant ; et le pouvoir céleste << De mes jours malheureux a ranimé le reste . » Il ne m'en dit pas plus ; et mon cœur agité Voyait fuir loin de lui la triste vérité ; Et ACTE I , SCÈNE III . 35.
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
acte affreux aimé Allez amant amour ARASPE ARONS assez bras BRUTUS charmes CHATILLON cher chrétiens ciel cœur CORASMIN Corinthe Corneille coupable courroux crime cruel d'OEdipe déja destin Dieu dieux digne DIMAS DIPE Dircé douleur ÉGINE époux esclave êtes FATIME fils funeste fureur gloire GRAND-PRÊTRE Hélas héros heureux homme hymen ICARE indigne j'ai jamais JOCASTE jour l'amour l'horreur Laïus LICTEURS lieux long-temps Lusignan madame mains maître malheureux mérite MESSALA moi-même monstre mort mortels Motte Nérestan OEdipe OROSMANE ouvrage parler père PERSONNAGE DU CHOEUR peuple peut-être PHILOCTÈTE Phocide Phorbas pièce pleurs poëte Polybe porte Quirinale prince PROCULUS prose punir qu'OEdipe qu'un rime rois Romains Rome sais sang sauver SCÈNE secret seigneur sénat sentiments sérail serait seul Solyme Sophocle sort soudan soupçons sujet supplice Tarquin tendresse théâtre Thébains Thèbe TITUS tragédie trahir tremble trépas triste trône TULLIE tyrans VALÉRIUS venger vertu veux vois voix Voltaire yeux Zaïre
Popularne fragmenty
Strona 161 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Strona 305 - Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines, C'est le sang de vingt rois, tous chrétiens comme moi, C'est le sang des héros, défenseurs de ma loi; C'est le sang des martyrs.
Strona 272 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois , Et crois toujours la voir pour la première fois.
Strona 16 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Strona 306 - Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Strona 283 - L'instruction fait tout; et la main de nos pères Grave en nos faibles cœurs ces premiers caractères Que l'exemple et le temps nous viennent retracer, Et que peut-être en nous Dieu seul peut effacer.
Strona 305 - Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille , elle est ton ennemie ! Je suis bien malheureux... c'est ton père, c'est moi, C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines...
Strona 283 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfaure Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux , Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Strona 110 - Tu fais rentrer ce sang dont tu m'avais formé ; Et par là tu produis et des fils et des pères , Des frères , des maris, des femmes et des mères, Et tout ce que du sort la maligne fureur Fit jamais voir au jour et de honte et d'horreur.
Strona 151 - Malgré toutes ces réflexions et toutes ces plaintes, nous ne pourrons jamais secouer le joug de la rime; elle est essentielle à la poésie française. Notre langue ne comporte que peu d'inversions; nos vers ne souffrent point d'enjambement, du moins cette liberté est très-rare; nos syllabes ne peuvent produire une harmonie sensible par leurs mesures longues ou brèves; nos césures et un certain nombre de pieds ne suffiraient pas pour distinguer la prose d'avec la versification : la rime est...