Répertoire général du Théâtre français: P. CorneilleT. Dabo, 1821 |
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Strona 12
... pensée du monde ils ont mis dans la bouche d'Admète les paroles qu'Alceste dit à Admète et celles qu'elle se fait dire par Caron . Ainsi ils supposent qu'Ad- mète , quoiqu'il soit en parfaite santé , pense voir déjà Caron qui le vient ...
... pensée du monde ils ont mis dans la bouche d'Admète les paroles qu'Alceste dit à Admète et celles qu'elle se fait dire par Caron . Ainsi ils supposent qu'Ad- mète , quoiqu'il soit en parfaite santé , pense voir déjà Caron qui le vient ...
Strona 22
... cris ; Et que ta voix s'accorde avec ce que j'écris . Pour renvoyer la fille , et la mère offensée , Je leur écris qu'Achille a changé de pensée ; Et qu'il veut désormais jusques à son retour Différer cet IPHIGÉNIE .
... cris ; Et que ta voix s'accorde avec ce que j'écris . Pour renvoyer la fille , et la mère offensée , Je leur écris qu'Achille a changé de pensée ; Et qu'il veut désormais jusques à son retour Différer cet IPHIGÉNIE .
Strona 44
... pensée ; Et , refusant l'honneur qu'on lui veut accorder , Jusques à son retour il veut le retarder . Qu'entends - je ! ÉRIPHILE . CLYTEMNESTRE . Je vous vois rougir de cet outrage . Il faut d'un noble orgueil armer votre courage . Moi ...
... pensée ; Et , refusant l'honneur qu'on lui veut accorder , Jusques à son retour il veut le retarder . Qu'entends - je ! ÉRIPHILE . CLYTEMNESTRE . Je vous vois rougir de cet outrage . Il faut d'un noble orgueil armer votre courage . Moi ...
Strona 45
... penser , par un plus long séjour , Que vos vœux de son cœur attendent le retour ? Rompons avec plaisir un hymen qu'il ... pensée ! Il me faut sans honneur retourner sur mes pas ! Et vous cherchez ici quelque autre que Calchas ! ÉRIPHILE ...
... penser , par un plus long séjour , Que vos vœux de son cœur attendent le retour ? Rompons avec plaisir un hymen qu'il ... pensée ! Il me faut sans honneur retourner sur mes pas ! Et vous cherchez ici quelque autre que Calchas ! ÉRIPHILE ...
Strona 49
... pensée , Moi - même dans Argos je l'aurois devancée . Cependant on me fuit . Quel crime ai - je commis ? Mais je ne vois par - tout que des yeux ennemis : Que dis - je ? en ce moment , Calchas , Nestor , Ulysse , De leur vaine éloquence ...
... pensée , Moi - même dans Argos je l'aurois devancée . Cependant on me fuit . Quel crime ai - je commis ? Mais je ne vois par - tout que des yeux ennemis : Que dis - je ? en ce moment , Calchas , Nestor , Ulysse , De leur vaine éloquence ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ABNER ACHILLE ÆGINE AGAMEMNON AMAN amour ARCAS ARICIE ASSUÉRUS ATHALIE autels avoit bras cacher Calchas CENONE chante charmes cher chercher CHOE U CHOEUR ciel cieux CLYTEMNESTRE cœur courroux craint crime cruel d'Esther Daignez David dessein Dieu dieux discours DORIS douleur ÉLISE enfant ennemis époux ÉRIPHILE Esprit saint ESTHER éternel étoit EURYBATE fatal fille fils foible foiblesse funeste fureur gloire grace Grecs Hélas heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen innocent IPHIGÉNIE Ismène ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD JOAS JOSABET jour Juifs l'autel l'univers laisse larmes Lesbos lévites lieux long-temps madame mains malheureux Mardochée MATHAN mère moi-même mort mortels Mycène Ochozias OEnone paix par-tout père perfide peuple Phèdre pleurs prêtres prince princesse profane reine rois sacrés saint SALOMITH sang SCÈNE VII secours secret seigneur seul sœur soin songe superbe temple THÉRAMÈNE Thésée tragédie tremble Trézène triste trône trouble ULYSSE veux vœux vois voix vous-même yeux ZACHARIE zèle
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Strona 315 - Sort du fond du désert, brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle? Peuples de la terre, chantez : Jérusalem renaît plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants...
Strona 345 - M'as vingt fois en un jour à moi-même opposée : Tantôt pour un enfant excitant mes remords, Tantôt m'éblouissant de tes riches trésors, Que j'ai craint de livrer aux flammes, au pillage.
Strona 177 - Déjà jusqu'à mon cœur le venin parvenu Dans ce cœur expirant jette un froid inconnu ; Déjà je ne vois plus qu'à travers un nuage Et le ciel et l'époux que ma présence outrage ; Et la mort à mes yeux dérobant la clarté , Rend au jour qu'ils souillaient toute sa pureté.
Strona 265 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat? Quoi? toujours les plus grandes merveilles Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles ? Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours no Des prodiges fameux accomplis en nos jours?
Strona 129 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus , Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus : Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune ; Je ne me souviens plus des leçons de Neptune ; Mes seuls gémissements font retentir les bois ; Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Strona 172 - L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes; Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes; Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s'en émeut, l'air en est infecté ; Le flot qui l'apporta recule épouvanté.
Strona 201 - II plut à ton amour de choisir nos aïeux : Même tu leur promis de ta bouche sacrée Une postérité d'éternelle durée. Hélas ! ce peuple ingrat a méprisé ta loi. La nation chérie a violé sa foi; Elle a répudié son époux et son père , Pour rendre à d'autres dieux un honneur adultère : Maintenant elle sert sous un maître étranger.
Strona 73 - Vous ne démentez point une race funeste; Oui , vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste : Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mère un horrible festin.
Strona 261 - Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques , Le peuple saint en foule inondait les portiques...
Strona 326 - Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même ; Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; JO AD ATHALIE.