Répertoire général du Théâtre français: P. CorneilleT. Dabo, 1821 |
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Strona 13
... discours qu'Admėte tient dans la même scène , étoient plus que suffisants pour les empêcher de tomber dans une erreur si déraisonnable . Car Ad- mėte , bien éloigné de presser Alceste de mourir , s'écrie « < que toutes les morts ...
... discours qu'Admėte tient dans la même scène , étoient plus que suffisants pour les empêcher de tomber dans une erreur si déraisonnable . Car Ad- mėte , bien éloigné de presser Alceste de mourir , s'écrie « < que toutes les morts ...
Strona 20
... discours De ce premier torrent laissa passer le cours ; Mais bientôt , rappelant sa cruelle industrie , Il me représenta l'honneur et la patrie , Tout ce peuple , ces rois , à mes ordres soumis , Et l'empire d'Asie à la Grèce promis ...
... discours De ce premier torrent laissa passer le cours ; Mais bientôt , rappelant sa cruelle industrie , Il me représenta l'honneur et la patrie , Tout ce peuple , ces rois , à mes ordres soumis , Et l'empire d'Asie à la Grèce promis ...
Strona 32
... discours des hommes , Nous nous voyons sans cesse assiégés de témoins ; Et les plus malheureux osent pleurer le moins . ULYSSE . Je suis père , seigneur , et foible comme un autre : Mon cœur se met sans peine en la place du vôtre ; Et ...
... discours des hommes , Nous nous voyons sans cesse assiégés de témoins ; Et les plus malheureux osent pleurer le moins . ULYSSE . Je suis père , seigneur , et foible comme un autre : Mon cœur se met sans peine en la place du vôtre ; Et ...
Strona 37
... discours , Et te parle une fois , pour se taire toujours . Ne me demande point sur quel espoir fondée De ce fatal amour je me vis possédée . Je n'en accuse point quelques feintes douleurs Dont je crus voir Achille honorer mes malheurs ...
... discours , Et te parle une fois , pour se taire toujours . Ne me demande point sur quel espoir fondée De ce fatal amour je me vis possédée . Je n'en accuse point quelques feintes douleurs Dont je crus voir Achille honorer mes malheurs ...
Strona 45
... discours je ne puis rien comprendre . IPHIGÉNIE . Vous m'entendez assez si vous voulez m'entendre . Le sort injurieux me ravit un époux ; Madame , à mon malheur m'abandonnerez - vous ?! Vous ne pouviez sans moi demeurer à Mycène ; Me ...
... discours je ne puis rien comprendre . IPHIGÉNIE . Vous m'entendez assez si vous voulez m'entendre . Le sort injurieux me ravit un époux ; Madame , à mon malheur m'abandonnerez - vous ?! Vous ne pouviez sans moi demeurer à Mycène ; Me ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ABNER ACHILLE ÆGINE AGAMEMNON AMAN amour ARCAS ARICIE ASSUÉRUS ATHALIE autels avoit bras cacher Calchas CENONE chante charmes cher chercher CHOE U CHOEUR ciel cieux CLYTEMNESTRE cœur courroux craint crime cruel d'Esther Daignez David dessein Dieu dieux discours DORIS douleur ÉLISE enfant ennemis époux ÉRIPHILE Esprit saint ESTHER éternel étoit EURYBATE fatal fille fils foible foiblesse funeste fureur gloire grace Grecs Hélas heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen innocent IPHIGÉNIE Ismène ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD JOAS JOSABET jour Juifs l'autel l'univers laisse larmes Lesbos lévites lieux long-temps madame mains malheureux Mardochée MATHAN mère moi-même mort mortels Mycène Ochozias OEnone paix par-tout père perfide peuple Phèdre pleurs prêtres prince princesse profane reine rois sacrés saint SALOMITH sang SCÈNE VII secours secret seigneur seul sœur soin songe superbe temple THÉRAMÈNE Thésée tragédie tremble Trézène triste trône trouble ULYSSE veux vœux vois voix vous-même yeux ZACHARIE zèle
Popularne fragmenty
Strona 315 - Sort du fond du désert, brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle? Peuples de la terre, chantez : Jérusalem renaît plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants...
Strona 345 - M'as vingt fois en un jour à moi-même opposée : Tantôt pour un enfant excitant mes remords, Tantôt m'éblouissant de tes riches trésors, Que j'ai craint de livrer aux flammes, au pillage.
Strona 177 - Déjà jusqu'à mon cœur le venin parvenu Dans ce cœur expirant jette un froid inconnu ; Déjà je ne vois plus qu'à travers un nuage Et le ciel et l'époux que ma présence outrage ; Et la mort à mes yeux dérobant la clarté , Rend au jour qu'ils souillaient toute sa pureté.
Strona 265 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat? Quoi? toujours les plus grandes merveilles Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles ? Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours no Des prodiges fameux accomplis en nos jours?
Strona 129 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus , Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus : Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune ; Je ne me souviens plus des leçons de Neptune ; Mes seuls gémissements font retentir les bois ; Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Strona 172 - L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes; Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes; Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s'en émeut, l'air en est infecté ; Le flot qui l'apporta recule épouvanté.
Strona 201 - II plut à ton amour de choisir nos aïeux : Même tu leur promis de ta bouche sacrée Une postérité d'éternelle durée. Hélas ! ce peuple ingrat a méprisé ta loi. La nation chérie a violé sa foi; Elle a répudié son époux et son père , Pour rendre à d'autres dieux un honneur adultère : Maintenant elle sert sous un maître étranger.
Strona 73 - Vous ne démentez point une race funeste; Oui , vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste : Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mère un horrible festin.
Strona 261 - Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques , Le peuple saint en foule inondait les portiques...
Strona 326 - Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même ; Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; JO AD ATHALIE.