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DU

J 144/1

CONCILE PROVINCIAL.

Paris. Typographie de Firmin Didot frères, rue Jacob, 56.

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MONSIEUR L'ABBÉ,

J'ai été bien sensible aux obligeantes expressions dont vous avez bien voulu accompagner l'envoi du volume que vous venez de publier sous ce titre : Du Concile provincial. La matière si importante qui forme l'objet de cette publication et l'opinion que j'ai de la profonde attention que vous savez porter aux études ecclésiastiques, m'ont aisément déterminé à prendre connaissance de votre livre, et j'aime à vous dire que ç'a été avec un grand bonheur et intérêt; car cette compilation, si parfaitement complète, est aussi remarquable d'érudition et d'exactitude, et c'est un travail qui révèle votre patience et votre jugement, comme il est honorable pour votre affection à la science sacrée, et pour votre dévouement à l'Église et au Saint-Siége. Le clergé, ce me semble, doit vous savoir gré d'avoir réuni, dans votre utile traité, avec ordre et lucidité, de précieuses notions et de consciencieuses recherches.

Veuillez en agréer mes félicitations, Monsieur l'abbé, avec mes remercîments et l'assurance des sentiments bien respectueux avec lesquels j'ai l'honneur d'être,

Monsieur l'abbé,

Votre très-humble et très-obéissant serviteur,

+ R., Archevêque de Nicée, Nonce Apostolique.

MONSIEUR L'ABBÉ,

Paris, le 26 Mai 1850.

Je vous remercie de l'envoi que vous avez bien voulu me faire de votre Traité du Concile provincial. J'en ai pris immédiatement connaissance, et. je bénis Dieu de vous l'avoir inspiré; d'abord,

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