Oeuvres complètes, Tom 1Chez Sanson et Compagnie, 1791 |
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Strona 95
... haine et le courroux . Une effrayante voix s'eft fait alors entendre . 33 " 39 Les Thébains de Laïus n'ont point vengé la cendre ; Le meurtrier du roi refpire en ces Etats , Et de fon fouffle impur infecte vos climats . دو Il faut qu'on ...
... haine et le courroux . Une effrayante voix s'eft fait alors entendre . 33 " 39 Les Thébains de Laïus n'ont point vengé la cendre ; Le meurtrier du roi refpire en ces Etats , Et de fon fouffle impur infecte vos climats . دو Il faut qu'on ...
Strona 100
... haine Aux yeux de votre époux ne fe cachait qu'à peine : La jeuneffe imprudente aifément se trahit , Son front mal déguifé découvrait fon dépit . J'ignore quel fujet animait fa colère : Mais au feul nom du roi , trop prompt et trop ...
... haine Aux yeux de votre époux ne fe cachait qu'à peine : La jeuneffe imprudente aifément se trahit , Son front mal déguifé découvrait fon dépit . J'ignore quel fujet animait fa colère : Mais au feul nom du roi , trop prompt et trop ...
Strona 114
... haine ou fa tendreffe ? Des courtifans fur nous les inquiets regards Avec avidité tombent de toutes parts ; A travers les refpects , leurs trompeufes foupleffes Pénètrent dans nos cœurs et cherchent nos faibleffes ; A leur malignité ...
... haine ou fa tendreffe ? Des courtifans fur nous les inquiets regards Avec avidité tombent de toutes parts ; A travers les refpects , leurs trompeufes foupleffes Pénètrent dans nos cœurs et cherchent nos faibleffes ; A leur malignité ...
Strona 118
... deftins , qui pour moi font ouverts , Que d'un voile éternel mes yeux fuffent couverts ! PHILO CTET E. Eh bien , que venez - vous annoncer de finiftre ? OEDIPE . D'une haine éternelle êtes - vous le miniftre 118 OEDIP E.
... deftins , qui pour moi font ouverts , Que d'un voile éternel mes yeux fuffent couverts ! PHILO CTET E. Eh bien , que venez - vous annoncer de finiftre ? OEDIPE . D'une haine éternelle êtes - vous le miniftre 118 OEDIP E.
Strona 119
Voltaire. OEDIPE . D'une haine éternelle êtes - vous le miniftre ? PHILO CTET E. Ne craignez rien . OEDIP E. Les dieux veulent - ils mon trépas ? LE GRAND PRETRE . ( à Oedipe . ) Ah ! fi vous m'en croyez , ne m'interrogez pas . OEDIP E ...
Voltaire. OEDIPE . D'une haine éternelle êtes - vous le miniftre ? PHILO CTET E. Ne craignez rien . OEDIP E. Les dieux veulent - ils mon trépas ? LE GRAND PRETRE . ( à Oedipe . ) Ah ! fi vous m'en croyez , ne m'interrogez pas . OEDIP E ...
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acte affez affreux ainfi ALCME Alcméon amour Argos ARON Artémire auffi BRUTUS c'eft c'eſt Caffandre Céphife CHOEUR chofes ciel connaiffez Corneille coupable courroux crime CTET d'Oedipe deftin dieux efprit EGIN époux ERIPH YLE eſt EUPHORBE facré faibleffe fang fans fauver fcène fecret femble fens fentimens fentiment ferait fervir feul févère fils foins foit fon cœur font forfaits foupçons fous fouvent fuis fujet funefte fupplice fureur gloire GRAND-PRETRE Hélas Hermogide HERO HERODE hymen ICARE j'ai JOCAST jufte l'amour laiffe Laius Licteurs lorfque Madame mains malheureux Mariamne MAZA Meffala MESSA monftre mort n'eft NARBA Oedipe paffer paffions Pallante parler penfe père peuple Philoctete Philotas Phorbas pièce plaifir pleurs Polybe porte Quirinale préfent preffe PROCULUS puiffe raifon refpect refte reine rime rois Romains Rome SALOM SCENE Seigneur Sénat SOHEM Sohême Sophocle Tarquin théâtre Thébains Thèbes TITUS tragédie trépas trifte trône Tullie tyrans venger vertu yeux
Popularne fragmenty
Strona 82 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Strona 179 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 179 - Présente, je vous fuis : -absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite ; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 45 - Aux crimes malgré moi l'ordre du ciel m'attache: Pour m'y faire tomber à moi-même il me cache; II offre, en m'aveuglant sur ce qu'il a prédit, Mon père à mon épée, et ma mère à mon lit. Hélas! qu'il est bien vrai qu'en vain on s'imagine Dérober notre vie à ce qu'il nous destine ! Les soins de l'éviter font courir au-devant, Et l'adresse à le fuir y plonge plus avant.
Strona 182 - Harpagon et le roi de Pont sont deux vieillards amoureux : l'un et l'autre ont leur fils pour rival; l'un et l'autre se servent du même artifice pour découvrir l'intelligence qui est entre leur fils et leur maîtresse ; et les deux pièces finissent par le mariage du jeune homme.
Strona 275 - Est-ce à vous de prétendre au droit de le punir, Vous, nés tous ses sujets; vous, faits pour obéir? Un fils ne s'arme point contre un coupable père; II détourne les yeux, le plaint, et le révère.
Strona 179 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Strona 277 - Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.