Histoire ancienne des Egyptiens, des Carthaginois, des Assyriens, des Babyloniens, des Medes et des Perses, des Macedoniens, des Grecs, Tom 2Estienne, 1758 - 651 |
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Strona 3
... fent bien que cette variété de gouvernemens , qui tendent tous à une même fin quoique par des voies différentes , contribue beaucoup à la beauté de l'univers , & qu'elle n'a pu venir que de celui qui le gouverne avec une fageffe infinie ...
... fent bien que cette variété de gouvernemens , qui tendent tous à une même fin quoique par des voies différentes , contribue beaucoup à la beauté de l'univers , & qu'elle n'a pu venir que de celui qui le gouverne avec une fageffe infinie ...
Strona 157
... fent autant de cavalerie . Une fi grande inégalité jetta Cyaxare dans un grand embarras & dans une grande crainte . Il n'imaginoit point d'autre expédient que de faire venir de nouvelles trou- pes de Perfe en plus grand nombre encore ...
... fent autant de cavalerie . Une fi grande inégalité jetta Cyaxare dans un grand embarras & dans une grande crainte . Il n'imaginoit point d'autre expédient que de faire venir de nouvelles trou- pes de Perfe en plus grand nombre encore ...
Strona 192
... fent à votre fille pour augmenter fa » dot . Ne doutez point que vous ne » trouviez parmi les Seigneurs de ma » Cour un époux digne d'elle . Ce ne » feront ni fes richesses , ni les vôtres , » qu'ils eftimeront . Je puis vous affu- rer ...
... fent à votre fille pour augmenter fa » dot . Ne doutez point que vous ne » trouviez parmi les Seigneurs de ma » Cour un époux digne d'elle . Ce ne » feront ni fes richesses , ni les vôtres , » qu'ils eftimeront . Je puis vous affu- rer ...
Strona 274
... fent avec leurs Officiers . Par ce moien , s'étant emparés de leur efprit & .de leur confiance , ils s'accréditérent dans les Palais , dominérent dans les Cours , s'attirérent le maniement & la con- duite des affaires publiques , fe ren ...
... fent avec leurs Officiers . Par ce moien , s'étant emparés de leur efprit & .de leur confiance , ils s'accréditérent dans les Palais , dominérent dans les Cours , s'attirérent le maniement & la con- duite des affaires publiques , fe ren ...
Strona 308
... fent pas venus de lui : Confilii , quamvis egregii , quod ipfe non afferret , inimicus . Eib . 1. Epift . Cicéron remarque que pendant tout 2. ad Quin . le tems de fon gouvernement il ne lui frat . échapa jamais une feule parole de co ...
... fent pas venus de lui : Confilii , quamvis egregii , quod ipfe non afferret , inimicus . Eib . 1. Epift . Cicéron remarque que pendant tout 2. ad Quin . le tems de fon gouvernement il ne lui frat . échapa jamais une feule parole de co ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
affez Affyriens Aftyage aiant ainfi armée auffi avoient avoit Babylone Babyloniens c'eft C'eſt c'étoit Cambyfe caufe cens chaffe chariots chofe citoiens Confeil conferver confidérable connoiffance Créfus Cyaxare Cyrop Cyrus Darius deffein devoit Dieu dieux différens Ecbatane efprit enfans ennemis eſt étoient étoit fage fageffe faifant faifoit fans favoir fecond fecours felon fent fept feroit fervir feul fiécles fiége foient foin foit foldats fon fils fon pere fonge font fous fouvent fuccès fuite fujets fur le trône gouvernement Grecs guerre Herod Hérodote hommes jufqu'à jufte juftice l'Afie l'armée l'Ecriture l'hiftoire laiffa loix lontems Lycurgue maniére Médes ment mille moien Mycénes n'avoit n'eft Nabucodonofor naiffance néceffaire Nemrod Ninive paffer paroit pays Perfes perfonne peuples plufieurs Plutarque pouvoit préfent prefque premiére prife Prince puiffance puiffant raifon raport refpect refte régne rent roiaume Rois Smerdis Solon Sparte tems tion troupes ufage vûe Xénophon Xerxès
Popularne fragmenty
Strona 585 - ... leur situation. Ce sont toutes ces vues qui portèrent Solon à déclarer, par la loi dont nous parlons , qu'un fils ne serait pas tenu de nourrir son père s'il ne lui avait fait apprendre aucun métier. • Il dispensait du même devoir les enfants nés d'une courtisane.
Strona 33 - Une branche de l'Euphratetraverfoit cette grande ville du nord au midi. On bâtit de chaque côté de la rivière , pour lui fervir de quai , une grande muraille de brique & de bitume , de la même épaifleur que les murs de la ville.
Strona 148 - L'année d'après , Cambyfe l'ayant rappellé,pourlui faire achever fon tems dans les exercices des Perfes , il partit fur le champ , pour ne donner, par fon retardement , aucun lieu de plainte contre lui , ni à fon pere , ni à fa patrie.
Strona 139 - Perses , dans tous ces sages établissemens , étoit d'aller au-devant du mal , persuadés qu'il vaut bien mieux s'appliquer à prévenir les fautes qu'à les punir ^ et au lieu que , dans les autres états , on se...
Strona 191 - Beaucoup de peuples fe rendirent à lui , & groffirent le nombre de fes troupes. S'étant approché de Babylone , il fit faire au Roi des Aflyriens un défi de terminer leur querelle par un combat fingulier. Son défi ne fut pas accepté.
Strona 457 - Il disait qu'il ya un être souverain, independant et qui existe par lui-même de toute éternité ; que sous cet être souverain il ya deux anges, un ange de lumière, qui est l'auteur du bien, et un ange de ténèbres , qui est l'auteur du mal ; que ces deux anges ont formé du mélange de la lumière et...
Strona 74 - Généraux le gros de fon Armée pour la ramener à Babylone , avec les captifs & le butin. Dès qu'il fut arrivé il reçut le Gouvernement des mains de ceux qui le lui avoient confervé avec foin...
Strona 147 - Pendant cet intervalle de tems qu'il pafla à la Cour , il s'y fit infiniment eftimer & aimer. Il étoit doux , affable , officieux , bienfaifant , libéral Si les jeunes Seigneurs avoient quelque grâce à demander au Prin.ce , e'éroit lui qui la follicitoit pour eux.
Strona 543 - Delphes, il confulta le dieu pourfavoir fi fes loix étoient bonnes & fuffifantes pour rendre les Spartiates heureux & vertueux. Apollon lui répondit qu'il ne manquoit rien à fes loix , & que...
Strona 383 - ... et des palefreniers pour en prendre soin. Il y établit aussi un maître, pour recevoir les paquets des courriers qui arrivaient et les donner à d'autres, et pour prendre les chevaux qui avaient couru.