Obrazy na stronie
PDF
ePub

gar keine Gelegenheit gegeben worden wåre; aber da es geschehen, hätte deren Publikation billig unterbleiben fol= len. Es wird aber vermuthlich die Tübingsche Fakultåt selbst sich deren nicht annehmen.

Unter andern können darinnen drei Dinge billig dem Braunschweigschen Hofe mißfallen, 1) daß man die principia helmestadiensia in universum angreift, die doch die alten berühmten Leute Calixtus und Horneius mit Wissenschaft und unter Schuß der hohen Herrschaft be= hauptet; dahero man auch noch billig die theologos helmestadienses dabei zu schüßen hat. 2) Daß man der Königin zu Hispanien (oder zu Portugall, weil man es nicht eigentlich bedeutet) zuschreiben will, als ob sie, weiß nicht was vor Gewissensangst empfinde, uad solche der Königin von England entdeckt habe; die Worte lau= ten also pag. 11: Testis, ut fama fert, Testis, ut fama fert, inter angores et suspiria est augusta anima, quæ in sinum Eu

eu aucune occasion de faire cette réponse; mais puisque c'est fait, au moins conviendrait-il de ne la point publier. Mais probablement que la Faculté de Tubingen ne fera semblant de rien.

Trois choses, entre autres, peuvent déplaire en cela à la cour de Brunswick: 1° que l'on s'attaque aux principia helmestadiensia, que ces vieux et renommés personnages, Calixte et Hornejus, ont maintenus en connaissance de cause et sous les auspices de l'autorité; qu'il s'ensuit qu'il y a équité à protéger en cette occurence les théologiens d'Helmstadt; 2° que l'on veut écrire à la reine d'Espagne (ou de Portugal, car on ne le dit pas précisément), parce qu'elle aurait je ne sais trop quel trouble de conscience, dont elle se serait ouverte à la reine d'Angleterre ; on s'exprime à ce sujet dans les termes suivants (page 11): Testis, ut fama fert, inter angores et suspicia est augusta anima,

ropæ liberatricis Angliæ reginæ necessitates suas effudit. Billig follten die Herren Theologi sich solcher zumal ungegründeten Personalien von hohen Personen enthalten, und vernehme ich, daß durch ein Kaiserlich Reseript nacher Hildesheim dergleichen freies Schreiben geahndet worden. Drittens wollen diese Tübingsche theologi in aliena republica die bekannten Worte: und fteur des Pabsts und Türken Mord beibehalten, wiffen, geben auch dem guten Abt Fabritio Schuld, daß er deren Ausmusterung gerathen; da doch ja die Lieder zu adiaphoris gehören, und jeder Herr in seinem Lande solche nach seinem Belieben und Gutbefinden faffen laffen kann. Daß man auch dem Pabst öffentlich Schuld geben will, ob wolle er sowohl als der Türk Jesum durch Mord vom Thron stoßen, ist ja sehr hart, und wird von etlichen für injurios und dem Frieden zuwider geachtet. In dem

quæ in sinum Europæ liberatricis, Angliæ reginæ necessilates suas effudit. Il serait convenable que messieurs les théologiens s'abstinssent de ces détails personnels relatifs à de grands personnages, et qui parfois sont sans fondement, et j'apprends qu'un rescrit impérial a été adressé à Hildesheim à l'occasion de cette liberté de langage; 3° que lesdits théologiens de Tubingen veulent, in aliena republica, le maintien des expressions connues denier du pape et mort des Turcs, et accusent le bon abbé Fabricius d'en avoir conseillé la suppression, alors pourtant qu'en ce qui concerne les cantiques, c'est quelque chose d'assez indifférent, et que chaque seigneur en son pays peut laisser rédiger cela suivant son bon plaisir. Maintenant, que l'on prétende publiquement que le pape veut, à l'exemple du Turc, faire descendre Jésus de son trône, même par le meurtre, c'est un peu dur, il me semble, et d'aucuns trouvent cela injurieux et contraire à la paix.

Hannoverischen Gesangbuche ist dies Lied nicht ausgelassen; es wird aber nicht leicht in der Kirche zu Hannover gesungen; vielleicht kömmt's von Herzog. Johann Friedrichs 3eiten her, daß man es vermieden.

[ocr errors]

Da E. Durchl., wie Sie neulich in Guaden erwähnt, anjeßo auf eine Kirchenverfassung bedacht sein : so wåre zu wünschen, daß bei der Gelegenheit die theologia purior et moderatior, wie sie zu Helmstedt von vortreff= lichen Leuten so lange Jahr mit so großem Lob gelehrt worden, gegen künftige Unterdrückung gesichert, und zu deffen besseren Erreichung das Corpus Julium erneuert würde. Dazu, wie ich ehemalen gemeldet, nicht besser zu gelangen, als wenn dem Verleger, so ein Buchhändler in Braunschweig, an die Hand gegeben würde, anzuhalten, daß man von ihm die etwa noch vorhandene exemplaria abnehmen und unter die Kirchen diftribuiren mögte. Solche Supplik könnte Gelegenheit geben, die Materie

Le livre des cantiques hanovriens n'a point supprimé celui-là; mais on ne l'exécute guère dans l'Église d'Hannover. Peut-être est-ce depuis le temps du duc Jean-Frédéric qu'on évite de le faire.

Comme Votre Altesse, ainsi qu'elle a daigné le mentionner, médite une constitution ecclésiastique, il serait à désirer, qu'à l'occasion, on garantît contre toute persécution à venir la theologia purior et moderatior, telle que tant de gens distingués l'ont professée, au grand éloge de tous, pendant tant d'années; et que, pour mieux atteindre ce but, on révisât le Corpus Julium. Le meilleur moyen à employer, ce serait, ainsi que je l'ai déjà fait connaître, de donner à l'éditeur, un libraire de Brunswick, la commission de veiller à ce qu'on puisse prendre chez lui les exemplaires qui pourront lui rester pour les distribuer. A cette occasion on pourrait méditer la matière, réformer avec prudence

zu überlegen, und auf dieses Werks Erneuerung bedacht zu sein, auch deswegen zwischen den Höfen communication zu pflepen; zumal weil das Corpus Julium nicht nur das Wolfenbüttelsche, sondern auch das Calenbergsche Fürstenthum angeht, und nunmehr auch die Cellischen annehmen werden, pastores durch des Herrn Abt Molani Anstalt bei dem Hannoverschen Consistorio foldes pro libro symbolico erkennen, und von der formula concordiæ schweigen. Und wåre gut, daß die Sache nicht verschoben, sondern noch bei des Herrn Abt Molani 3ei= ten vorgenommen würde.

Es ist nicht genug, daß E. Durchl. wohl vor die Kirche gefinnt, sondern es ist nöthig, daß Sie Ihre Wohlthat durch beständige Anstalten zu verewigen suchen. Ich wünsche, daß man noch lange nicht deffen Versäumniß be= klage, und verbleibe Lebenszeit, u. f. w.

cette œuvre, et, à cet effet, nouer des communications entre les cours, principalement parce que le Corpus Julium n'intéresse pas seulement la principauté de Wolfenbuttel, mais aussi celle de Calenberg, et que ceux de Celle l'adopteront également; que des pasteurs, instruits à cet effet par le seigneur abbé Molanus, le reconnaissent dans le consistoire hanovrien pro libro symbolico et se taisent au sujet de la formula concordiæ. Il serait même bon que l'on ne différât point la chose, mais qu'elle fût entreprise du vivant du seigneur abbé Molanus.

Il ne suffit pas que Votre Altesse soit bien disposée pour l'Église il est nécessaire encore qu'Elle cherche à immortaliser par des institutions durables sa bienveillance. Je souhaite qu'elles ne se fassent plus attendre, et suis pour la vie, etc.

CXL

SS. CLEMENTI XI A. ULRICHUS.

Ex autographo nondum edito quod Hanoveræ in bibliotheca regia inter Irenica aŝservatur.

Beatissime Pater,

Brunswiga, 11 januarii 1710

Humillime prostratus ad Sacros Beatitudinis Vestræ pedes, omni majori, qua par est reverentia et submissione expono, quod favente Omnipotentis Dei misericordia, diu agitatam mente intentionem dogmata Protestantium abjiciendi et me pro acquirenda æterna salute in gremium Sanctæ Romanæ Ecclesiæ transferendi nunc ita opere præstiterim, ut non modo consuetam fidei professionem a S. Concilio Tridentino præscriptam manu mea descriptam, sigillique mei aviti et nominis appositione subsignatam prævia hæreseos abjuratione coram sacra Crucifixi imagine emiserim, verum etiam post impetratam ab hæresi, præmissaque sacramentali confessione, a peccatis absolutionem, cum ingenti cordis mei lætitia spirituali sacra synaxi more ac ritu catholico refectus fuerim. Quæ omnia ac singula quamvis pro ponderosis rerum ac temporum circumstantiis non publice sed occultissime fieri potuerint, fidenti tamen animo sum Sanctitatem Vestram indubitatum hoc filialis meæ cum Ecclesia reconciliationis ac in ovile Christi admissionis monumentum paternis visceribus fore accepturam, qui nihil aliud jam in votis gero, quam ut fidem hanc catholicam publice profiteri,

« PoprzedniaDalej »