Obrazy na stronie
PDF
ePub

Carnevale con abbligo di non dover scrivere in alcun altro teatro della capitale, se non ha prima eseguito la presente scrittura. Con obbligo di ritrovarsi in Venezia per li 30 Novembre 1772 per esser pronto a tutte le prove e rappresentazioni, che si doveranno fare nel detto tempo. Ed in ricompensa delle sue virtuose fatiche li viene accordato dal Sign. dall' Agata Zecchini num. settanta o sua giusta valuta, onde promette il suddetto di pontualmente adempire senza riservo di nessun' altra respettiva parte, salvo soli li patti soliti riservarsi in materia de' teatri, ed in fede vale Zecchini num. 70.

Michele dall' Agata.

IV.
Dedikationen.

1.

1763.

II Sonates pour le Clavecin

qui peuvent se jouer avec l'accompagnement de Violon
dediées à Madame Victoire de France.

Par J. G. Wolfgang Mozart de Salzbourg, âgé de sept ans.
Oeuvre premier.

A Madame Victoire de France.
Madame!

Les essais que je mets à Vos pieds, sont sans doute médiocres; mais lorsque Votre bonté me permet de les parer de Votre auguste Nom, le succès n'en est plus douteux, et le Public ne peut manquer d'indulgence pour un Auteur de sept ans, qui paroît sous Vos auspices.

Je voudrois, Madame, que la langue de la Musique fut celle de la reconnaissance; je serois moins embarassé de parler de l'impression que Vos bienfaits ont fait sur moi. Nature qui m'a fait Musicien comme elle fait les rossignols, m'inspirera, le nom de Victoire restera gravé dans ma memoire avec les traits ineffaçables qu'il porte dans le cœur de tous les François.

Je suis avec le plus profond respect

Madame

Votre très humble très obéissant et très petit serviteur
J. G. Wolfgang Mozart.

2.

1763.

II Sonates pour le Clavecin

qui peuvent se jouer avec l'accompagnement de Violon
dediées à Madame la Comtesse de Tessé
Dame de Madame la Dauphine.

Par J. G. Wolfgang Mozart de Salzbourg, âgé de sept ans.
Oeuvre II.

A Madame la Comtesse de Tessé

Dame de Madame la Dauphine.

Madame!

Votre goût pour la Musique et les bontés, dont Vous m'avez comblé, me donnent le droit de Vous consacrer mes foibles talents. Mais lorsque Vous en agréez l'hommage, est il possible que Vous defendiez à un enfant l'expression des sentiments, dont son cœur est plein?

Vous ne voulez pas, Madame, que je disse de Vous ce que tout le Public en dit. Cette rigueur diminuera le régret que j'ai de quitter la France. Si je n'ai plus le bonheur de Vous faire ma cour, j'irai dans le pays où je parlerai de moins tant que je voudrai, et de ce que Vous êtes, et de ce que je Vous dois.

Je suis avec un profond respect

Madame,

Votre très humble et très obéissant petit serviteur
J. G. Wolfgang Mozart.

3.

1765.

Six Sonates pour le Clavecin

qui peuvent se jouer avec l'accompagnement de Violon ou flûte tra-
versière très humblement dediées a Sa Majesté
Charlotte, Reine de la Grande-Bretagne.

Composées par J. G. Wolfgang Mozart, âgé de huit ans.
Oeuvre III. London.

Madame!

A la Reine.

Plein d'orgueil et de joie d'oser Vous offrir un hommage, j'achevois ces Sonates pour les porter aux pieds de Votre Majesté; j'étois, je l'avoue, ivre de vanité et ravi de moi même, lorsque j'apperçus le Genie de la musique à côté de moi.

»Tu es bien vain« me dit-il »de savoir écrire à un âge où les autres apprennent encore à épeller«.

>> Moi, vain de ton ouvrage?« lui répondis-je. »>Non, j'ai d'autres motifs de vanité. Réconnois le favori de la Reine de

ces Isles fortunées. Tu prétends, que née loin du rang suprême qui la distingue, ses talens l'auroient illustrée: eh bien! placée sur le trône, Elle les honore et les protège. Qu'Elle te permette de lui faire une offrande, tu es avide de gloire, tu feras si bien que toute la terre le saura; plus philosophe, je ne confie mon orgueil qu'à mon clavecin, qui en devient un peu plus éloquent«.

>>Et cette éloquence produit des Sonates! . . . Est-il bien sûr que j'aie jamais inspiré un faiseur des Sonates ?<«<

Ce propos me piqua. »Fi, mon père«, lui dis-je, »tu parles ce matin comme un pédant Lorsque la Reine daigne m'écouter, je m'abandonne à toi et je deviens sublime; loin d'Elle le charme s'affoiblit, son auguste image m'inspire quelques idées, que l'art conduit ensuite et acheve. Mais que

je vive, et un jour je lui offrirai un don digne d'Elle et de toi; car avec ton sécours, j'égalerai la gloire de tous les grands hommes de ma patrie, je deviendrai immortel comme Haendel et Hasse, et mon nom sera aussi celèbre que celui de Bach.

Un grand éclat de rire deconcerta ma noble confiance. Que Votre Majesté juge de la patience qu'il me faut pour vivre avec un Etre aussi fantasque!. .. Ne vouloit il pas aussi que j'osasse réprocher à Votre Majesté cet excès de bonté qui fait le sujet de mon orgueil et de ma gloire? Moi, Madame, Vous réprocher un défaut! Le beau défaut! Votre Majesté ne s'en corrigera de sa vie.

On dit qu'il faut tout passer aux Génies; je dois au mien le bonheur de Vous plaire et je lui pardonne ses caprices. Daignez, Madame, recevoir mes foibles dons. Vous fûtes de tout temps destinée à régner sur un peuple libre; les enfans du Génie ne le sont pas moins que le Peuple Britannique, libres surtout dans leurs hommages, il se plaisent à entourer Votre trône. Vos vertus, Vos talens, Vos bienfaits seront à jamais présens de ma mémoire; partout où je vivrai, je me régarderai comme le sujet de Votre Majesté.

Je suis avec le plus profond respect

Madame

de Votre Majesté

le très humble et très obéissant pétit serviteur

J. G. W. Mozart.

à Londres ce 18 Janvier 1765.

4. 1785.

Sei Quartetti

per due Violini, Viola e Violoncello. Composti e dedicati al Signor Giuseppe Haydn

dal suo amico

W. A. Mozart.

Al mio caro amico Haydn.

Un padre, avendo risolto di mandare i suoi figli nel gran mondo, stimò doverli affidare alla protezzione e condotta d'un uomo molto celebre in allora, il quale per buona sorte era di più il suo megliore amico. Eccoli del pari, uom celebre ed amico mio carissimo, i sei miei figli. Esse sono, è vero, il frutto d'una lunga e laboriosa fatica, pur la speranza fattami da più amici di vederla almeno in parte compensita m'incorragisce e mi lusinga, che questi parti siano per essermi un giorno di qualche consolazione. Tu stesso, amico carissimo, nell' ultimo tuo soggiorno in questa capitale mene dimostrasi la tua soddisfazione. Questo tuo suffragio mi anima sopra tutto, perchè io le ti raccomandi e mi fa sperare, che non ti sembrerano del tutto indegni del tuo favore. Piacciati dunque accoglierli benignamente ed esser loro padre, guida ed amico. Da questo momento io ti cedo i miei diritti sopra di essi, ti supplico però di guardare con indulgenza i difetti, che l'occhio parziale di padre mi puo aver celati, e di continuar, loro malgrado, la generosa tua amicizia a chi tanto l'apprezza, mentre sono di tutto cuore il tuo sincerissimo amico

1. Sept. 1785.

W. A. Mozart.

V.

Text der Kirchenmusik.

1. Missa solemnis.

Das feierliche Hochamt ist mit Musik begleitet, deren die Lesemesse entbehrt. Der Figuralgefang des Chors tritt aber nur an gewissen Stellen der feierlichen Handlung ein; die übrigen Gebete spricht oder singt der Priester am Altar während der Funktion. In die sogenannte musikalische Messe sind nur diejenigen Abschnitte aufgenommen, welche zu allen Zeiten denselben Text haben.

Dem Kyrie geht der Introitus voran, welcher an die Gebete des Priesters an den Stufen des Altars sich anschließt; der Text desselben ist wechselnd nach den verschiedenen Festzeiten. Darauf

folgt das Kyrie und sobald es beendigt ist, stimmt der Priester das Gloria an.

Kyrie eleison! Christe eleison! Kyrie eleison!

Gloria in excelsis Deo Et in terra pax hominibus bonae voluntatis! Laudamus te, Benedicimus te, Adoramus te, Glorificamus te, Gratias agimus tibi propter magnam gloriam tuam. Domine Deus, rex coelestis, Deus, pater omnipotens, Domine fili unigenite Jesu Christe! Domine Deus, agnus Dei, filius patris, Qui tollis peccata mundi, miserere nobis! Qui tollis peccata mundi, suscipe deprecationem nostram! Qui sedes ad dexteram patris, miserere nobis! Quoniam tu solus sanctus, Tu solus altissimus Jesu Christe, Cum sancto spiritu in gloria Dei patris. Amen.

Nach dem Gloria werden vom Priester die Gebete (Orationes) und die Epistel gelesen, auf welche das vom Chor gesungene Graduale folgt, ein kurzer Sah, dessen Text je nach der Festzeit bestimmt wird; nach diesem wird das Evangelium gelesen und dann folgt das Credo (Nicänische Glaubensbekenntnis), welches der Priester intonirt.

Credo in unum Deum, patrem omnipotentem, factorem coeli et terrae, visibilium omnium et invisibilium;

Et in unum dominum Jesum Christum, filium Dei unigenitum Et ex patre natum ante omnia saecula, Deum de Deo, lumen de lumine, Deum verum de Deo vero, Genitum non factum, consubstantialem patri per quem omnia facta sunt, Qui propter nos homines et propter nostram salutem descendit de coelis Et incarnatus est de Spiritu sancto ex Maria virgine Et homo factus est, Crucifixus etiam pro nobis sub Pontio Pilato passus et sepultus est, Et resurrexit tertia die secundum scripturas Et ascendit in coelum, sedet ad dexteram patris Et iterum venturus est cum gloria iudicare vivos et mortuos; cuius regni non erit finis;

Et in spiritum sanctum dominum et vivificantem, qui ex patre filioque procedit, Qui cum patre et filio simul adoratur et conglorificatur, qui locutus est per prophetas,

Et unam sanctam catholicam et apostolicam ecclesiam. Confiteor unum baptisma in remissionem peccatorum Et exspecto resurrectionem mortuorum Et vitam venturi saeculi. Amen.

Nach dem Credo folgt das Offertorium, ebenfalls ein meistens nicht sehr ausgeführtes Musikstück auf einen Text, welcher dem Fest gemäß ausgewählt wird. Während dem wird unter den entsprechenden Gebeten vom Priester die Hostie geopfert, Wein und Wasser gemischt, der Kelch geopfert, die Opfergaben, der Altar und der

1 Evang. Luc. 2, 14.

« PoprzedniaDalej »