Les ornemens de la mémoire, ou: Traits brillans des poètes français les plus célèbresImprimerie librairie romantique, 1830 - 250 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 28
Strona 22
... haine et l'artifice : L'ennemi de vos ennemis A détourné sur eux les traits de leur malice . Venez donc , venez en ce jour Signaler de vos cœurs l'humble reconnaissance , Et par un respect plein d'amour , Sanctifiez en moi votre ...
... haine et l'artifice : L'ennemi de vos ennemis A détourné sur eux les traits de leur malice . Venez donc , venez en ce jour Signaler de vos cœurs l'humble reconnaissance , Et par un respect plein d'amour , Sanctifiez en moi votre ...
Strona 43
... haine forte ; et en général de toutes celles qui peignent quelque grande agitation de l'ame . Le senti- ment fait tout l'effet dans ces sortes de pensées ; il en est l'objet principal et dominant : le tour que le poëte a pris pour le ...
... haine forte ; et en général de toutes celles qui peignent quelque grande agitation de l'ame . Le senti- ment fait tout l'effet dans ces sortes de pensées ; il en est l'objet principal et dominant : le tour que le poëte a pris pour le ...
Strona 47
... haine à tous deux obstinément fidèle , Qui peut - être , en dépit des maux qu'elle prévoit , Seule en mes intérêts se consulte et se croit ? Othon , de Corneille . Réponse d'un roi à un de ses courtisans , qui lui de- mandait la ...
... haine à tous deux obstinément fidèle , Qui peut - être , en dépit des maux qu'elle prévoit , Seule en mes intérêts se consulte et se croit ? Othon , de Corneille . Réponse d'un roi à un de ses courtisans , qui lui de- mandait la ...
Strona 54
... haine qu'il lui doit ne le saurait défendre , Quand il se voit aimé , de s'en laisser surprendre , Et trouve assez souvent son devoir arrêté Par l'effort naturel de sa propre bonté . Héraclius , de Corneille . Les vers suivans peuvent ...
... haine qu'il lui doit ne le saurait défendre , Quand il se voit aimé , de s'en laisser surprendre , Et trouve assez souvent son devoir arrêté Par l'effort naturel de sa propre bonté . Héraclius , de Corneille . Les vers suivans peuvent ...
Strona 64
... haine de son mariage avec Rodogune . Sentimens étouffés de colère et de haine , Rallumez vos flambeaux à celle de la reine ; Et d'un oubli contraint rompez la dure loi , Pour rendre enfin justice aux mânes d'un grand roi ; Rapportez à ...
... haine de son mariage avec Rodogune . Sentimens étouffés de colère et de haine , Rallumez vos flambeaux à celle de la reine ; Et d'un oubli contraint rompez la dure loi , Pour rendre enfin justice aux mânes d'un grand roi ; Rapportez à ...
Inne wydania - Wyświetl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
aimait amour ANDROMAQUE ARDARIC ATHALIE Attila beau beauté Boileau bonheur brillant Calchas célèbre CÉPHISE César charmes cher CHIMÈNE chose ciel cieux Cinna CLYTEMNESTRE cœur Corneille courage courroux craint crime cruel Dieu dieux digne doit donne douleur Édouard III enfans ennemis époux esprit Eurydice fable fille fils Fontaine fortune funeste fureur gloire goût grandeur guerre haine Hélas Henriade Héraclius héros heureux hommes images j'ai j'en jamais JOAD JOAS jour JOZABET l'ame l'amour l'univers laisse long-temps madame main maître malheureux Mérouée mort mortels mourir noble Oreste parle pensées père Pertharite peuple Phocas plaisirs pleurs poésie poëte Polyeucte Pompée prince Pyrrhus qu'un Racine raison régner Rhadamiste rien RODRIGUE rois Romains Rome Rousseau sage saints sais sang scène Seigneur sentimens sentiment Sertorius seul soins Sophonisbe sort STRATONICE sublime suivans sujet Sylla Syphax terre tragédie traits trembler trépas triste trône vainqueur venger vérité vertu veut victoire vœux vois voix yeux Zaïre Zénobie
Popularne fragmenty
Strona 169 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Strona 241 - Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté ; Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible aux yeux des matelots, C'est Neptune en courroux qui gourmande les flots.
Strona 81 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Ils s'aimeront toujours!
Strona 193 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux , Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes...
Strona 138 - Sylla m'a précédé dans ce pouvoir suprême, Le grand César, mon père, en a joui de même : D'un œil si différent tous deux l'ont regardé Que l'un s'en est démis, et l'autre l'a gardé : Mais l'un, cruel, barbare, est mort aimé, tranquille., Comme un bon citoyen dans le sein de sa ville ; L'autre, tout débonnaire, au milieu du Sénat, A vu trancher ses jours par un assassinat.
Strona 205 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun étaient de petits saints.
Strona 173 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple^ obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Strona 173 - Promettez sur ce livre, et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins ; Que, sévère aux méchants, et des bons le refuge, Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Strona 57 - Lorsqu'un époux mortel fut reçu dans son lit : Je puis choisir, dit-on, ou beaucoup d'ans sans gloire, Ou peu de jours suivis d'une longue mémoire. Mais, puisqu'il faut enfin que j'arrive au tombeau, Voudrais-je, de la terre inutile fardeau, Trop avare d'un sang reçu d'une déesse, Attendre chez mon père une obscure vieillesse ; Kt, toujours de la gloire évitant le sentier, Ne laisser aucun nom, et mourir tout entier?
Strona 158 - Non, non : d'un ennemi respecter la misère, Sauver des malheureux , rendre un fils à sa mère.