Choix de poésies pour les jeunes personnesD. Appleton et compagnie, 1850 - 329 |
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Strona 261 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin, Et Rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Strona 254 - De la dépouille de nos bois, L'automne avait jonché la terre : Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste et mourant, à son aurore Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans. " Bois, que j'aime ! adieu ... je succombe; Votre deuil me prédit mon sort; Et dans chaque feuille qui tombe Je vois un présage de mort.
Strona 263 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le...
Strona 263 - J'ai vu mes tristes journées Décliner vers leur penchant : Au midi de mes années Je touchais à mon couchant. La mort, déployant ses ailes, Couvrait d'ombres éternelles La clarté dont je jouis ; Et, dans cette nuit funeste, Je cherchais en vain le reste De mes jours évanouis. Grand Dieu ! votre main réclame I f ' Les dons que j'en ai reçus ; Elle vient couper la trame Des jours qu'elle m'a tissus.
Strona 262 - Qu'un stoïque aux yeux secs vole embrasser la mort, Moi je pleure et j'espère; au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête.
Strona 249 - Mes ennemis, riant, ont dit dans leur colère : Qu'il meure et sa gloire avec lui. Mais à mon cœur calmé le Seigneur dit en père : Leur haine sera ton appui.
Strona 208 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine, Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon, Je vais où le vent me mène, Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose Et la feuille de laurier.
Strona 267 - Et sur l'œil sans regard la paupière affaissée Retombait à demi. Et moi, debout, saisi d'une terreur secrète, Je n'osais m'approcher de ce reste adoré, Comme si du trépas la majesté muette L'eût déjà consacré. Je n'osais ! ... Mais le prêtre entendit mon silence, Et, de ses doigts glacés prenant le crucifix : ' Voilà le souvenir, et voilà l'espérance : Emportez-les, mon fils...
Strona 292 - Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde; Ame de l'univers, Dieu, père, créateur, Sous tous ces noms divers je crois en toi, Seigneur; Et, sans avoir besoin d'entendre ta parole, Je lis au front des deux mon glorieux symbole.
Strona 276 - Donnez ! il vient un jour où la terre nous laisse, Vos aumônes là-haut vous font une richesse. Donnez ! afin qu'on dise : " II a pitié de nous !" Afin que l'indigent que glacent les tempêtes, Que le pauvre qui souffre à côté de vos fêtes, Au seuil de vos palais fixe un œil moins jaloux. Donnez ! pour être aimé du Dieu qui se fit homme, Pour que le méchant même en s'inclinant vous nomme...