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Dignare, Domine, die isto* sine peccato nos custodire.

Miserere nostrî, Domine, * miserere nostrî. Fiat misericordia tua, Domine, super nos, quemadmodùm speravimus in te.

Le malade dit seul le dernier verset:

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In te, Domine, speravi: non confundar in

æternum.

Et ajoute aussitôt par trois fois :

Domine, non sum dignus ut intres sub tectum meum, sed tantùm dic verbo, et sanabitur anima

mea.

Dans cet intervalle, le Prétre tient de la main droite une hostie élevée sur le ciboire, et après que le malade a fini Domine, non sum dignus, il le communie, en disant :

Accipe, carissime frater (ou Reverende Pater, ou Reverendissime Pater), viaticum corporis Domini nostri Jesu Christi†, qui te custodiat ab hoste maligno, et perducat ad vitam æternam. Amen.

Après la communion du malade, le Prêtre pose le ciboire sur la table, et lave ses doigts à l'ordinaire (page

110), puis il ajoute :

y. Dominus vobiscum; R. Et cum spiritu tuo.

OREMUS.

(Si le malade est un supérieur, on omet la parenthèse frater noster.)

Omnipotens et misericors Deus, qui in bonitate tuâ magnâ reficis laborantes et consolaris infirmos præsta supplicibus tuis, ut pane fortium nutritus famulus tuus (frater noster), cœlesti robore convalescat; eique suscepta mysteria sint animæ et corporis tutamentum, signaculum perfectæ reconciliationis, et pignus beatæ immortalitatis; Per Christum Dominum nostrum. R. Amen.

Le Prétre, après avoir adressé quelques paroles de consolation au malade, lui donne la bénédiction avec le ciboire (s'il y est resté des hosties), en disant :

Benedictio Dei omnipotentis, Patris †, et Filii, et Spiritûs Sancti descendat super te, et maneat semper. R. Amen.

(S'il ne reste plus d'hostie, le Prétre bénit le malade avec la main droite, en disant : Benedictio Dei omnipotentis, etc.)

Nota. 1 Si le malade est Diacre, on le revêtira d'un surplis et d'une étole en travers; s'il est Sous-Diacre, il doit être en surplis, avec un manipule au bras gauche; s'il est acolyte ou d'un rang inférieur, il est seulement en surplis. Dans tout le reste, on suit à leur égard ce qui est marqué pour administrer le Viatique aux laïcs, avec cette seule différence que les Diacres et les Sous

Diacres récitent le Symbole des Apôtres, avant de dire le Confiteor. Le Prêtre les en avertit, en leur disant : Carissime frater, oportet ut in testimonium, etc., comme ci-dessus (page 115).

Nota. 2° Lorsque les Ecclésiastiques sont dans le cas de recevoir la communion autrement qu'en Viatique, le Prêtre observe les cérémonies prescrites pour communier à l'église, hors le temps de la messe, et en les communiant il dit Corpus Domini nostri, etc.

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I. MANIÈRE D'ADMINISTRER LE SACREMENT DE

L'EXTRÊME-ONCTION.

On donnera l'Extrême-Onction, autant qu'il se pourra, immédiatement avant le saint Viatique. Lorsqu'il y aura nécessité d'administrer l'Extrême-Onction séparément du Viatique, on observera l'ordre suivant :

Le Prêtre recommandera que le lit du malade soit couvert d'un linge blanc, que sa chambre soit tenue dans une grande propreté, et qu'il y ait une table couverte d'une nappe blanche, sur laquelle on placera un crucifix, deux chandeliers garnis de bougies ou de cierges allumés, de l'eau bénite dans un vase avec un aspersoir, et un bassin qui contiendra sept ou huit pelotons de coton ou d'étoupe, pour essuyer les onctions. On préparera aussi de l'eau et une serviette blanche pour que le Prêtre puisse se laver les mains après la cérémonie.

Tout étant disposé, le Prêtre se rend à l'église, fait sonner la cloche, si c'est l'usage, pour avertir le peuple, se revêt d'un surplis et d'une étole violette; puis s'étant mis un moment à genoux, il prend avec respect le vase qui renferme l'huile des infirmes, et se transporte à la maison du malade, précédé d'un clerc qui porte un crucifix. Il marche dans le recueillement, sans saluer personne, priant pour le malade, et récitant seul, ou avec les assistans, les psaumes pénitentiaux ou quelques autres prières.

Dans la plupart des paroisses, l'usage est que le Prêtre porte sans cérémonie, mais avec la décence convenable, le vase des saintes huiles dans une bourse ou une boîte propre. Il fait porter son surplis et son étole par

le clerc qui l'accompagne, et s'en revêt lorsqu'il est arrivé dans la maison du malade.

En entrant dans la maison du malade, le Prétre dit :

. Pax huic domui,

R. Et omnibus habitantibus in eâ.

Ayant mis les saintes huiles sur la table préparée, il prend de l'eau bénite, et en jette sur le malade et les assistans, en disant :

Asperges me, Domine, hyssopo, et mundabor; lavabis me, et super nivem dealbabor.

Puis il dit debout et tourné vers le lit du malade :

. Adjutorium nostrum in nomine Domini, R. Qui fecit Coelum et terram.

. Dominus vobiscum 1;

R. Et cum spiritu tuo.

OREMUS.

Domine Jesu Christe, qui per Apostolum tuum dixisti : Infirmatur quis in vobis? inducat Presbyteros Ecclesiæ, et orent super eum, ungentes eum oleo in nomine Domini; et oratio fidei salvabit infirmum, et alleviabit eum Dominus, et si in peccatis sit, remittentur ei: salva, quæsumus, hänc infirmTMm tuæ sacramento pietatis; em in mente simùl et in corpore subleva, omniaque ejus peccata dimitte ; et præsta ut, internâ gratiæ tuæ unctione roborat", insidianti adver

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