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ban, publiés par Zingerlé, Innsbruck, | chez Rauch, 1840, et dans les Couronnes des jardins du Liban, Villingen, 1846, on trouve un grand nombre des plus beaux poëmes et des plus belles prières de ce saint poëte syriaque. Son mètre de prédilection était le mètre de quatre syllabes trois fois répété.

Cf. Assemani, Bibl. Orientalis, t. I. Neumann dit, p. 173 de son Hist. de la Littér. armén., que Nersès de Lampron, l'auteur le plus distingué parmi les Arméniens du douzième siècle, traduisit une partie des œuvres de Jacques de Sarug.

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vit d'une manière merveilleuse les luttes qu'il aurait à subir, les fautes qu'il pourrait commettre, et pria instamment Dieu de l'en préserver.

Elle mourut le 23 juin 1213. Jacques, qui avait assisté à ses derniers moments, se préparait précisément alors aux prédications qu'il devait entreprendre, à la demande du Pape Innocent III, en faveur de la croisade contre les Albigeois. Après avoir prêché pendant quelque temps à cette fin, il consacra sa parole aux intérêts des lieux saints. Enflammés par ses discours, beaucoup de Chrétiens prirent la croix. Il continuait sa mission avec succès à travers la France, lorsque les chanoines de l'ÉJACQUES DE VITRY, célèbre prédi- glise de Ptolemaïs l'élurent évêque, et cateur des croisades, écrivain, évêque Jacques, encouragé par le Pape Honoet cardinal, naquit à Argenteuil, près de rius III, se rendit en Terre-Sainte. Là il Paris, et quitta vers 1207 cette dernière s'intéressa d'une manière toute spéciale ville pour se rendre dans le diocèse de aux enfants sarrasins tombés au pouvoir Liége, où l'attirait la renommée de des Chrétiens, acheta les uns, se fit faire sainteté de Marie d'Oignies. Il en fut don des autres, les baptisa et les confia reçu avec bienveillance, et, d'après à de saintes femmes ou à ses amis pour son conseil, entra dans le couvent des les instruire et les élever. Il assista au chanoines réguliers de Saint-Augustin, siége et à la prise de Damiette par les récemment fondé à Oignies. Il ne fut croisés. Quoiqu'il eût soin de rendre ordonné prêtre que sur les instan- compte par écrit au Pape de l'état des ces de Marie et des chanoines ses affaires en Terre-Sainte, il vint deux confrères, à Paris, entre 1212 et 1213. fois en personne à Rome pour s'en enA son retour, Marie, lui prédisant son tretenir avec le Saint-Père; il fut acélévation à l'épiscopat, baisa pieuse- cueilli de la manière la plus honorable ment, en esprit de prévision, la place par le Pape et les cardinaux, surtout qu'il avait occupée. Ils se distingua dès par le cardinal-évêque Hugues d'Ostie, lors autant par sa piété que par son sa- plus tard Grégoire IX, qu'il délivra, au voir. Il avait une éloquence naturelle. moyen d'une relique de la bienheureuse Marie, l'ayant remarquée, l'encouragea Marie d'Oignies, d'un esprit de blasà profiter de ce don pour le salut des phème qui nuit et jour agitait le pieux âmes, et obtint pour lui par ses prières cardinal. Cependant Jacques, après la une grâce telle que nul prédicateur de retraite des croisés de Damiette, et à la son temps ne l'égalait dans l'interpré- vue de la situation déplorable de la Sytation des saintes Écritures et l'influen- rie, voulut déposer ses fonctions; mais ce qu'il exerçait sur les pécheurs. Marie le Pape l'exhorta à persévérer en le d'Oignies, sur son lit de mort, durant consolant par l'espoir de la prochaine les trois nuits qui précédèrent son dé- croisade que devait entreprendre l'emcès, et qu'elle passa à chanter les louan-pereur Frédéric II. A la seconde visite ges du Seigneur, se souvint de Jacques, de Jacques à Rome, le Pape céda et

consentit à recevoir sa démission (1225). Jacques, heureux de cette autorisation, revint en toute hâte à Oignies, d'où il se remit à prêcher les Lorrains des environs, late adjacentes Lotharingiæ regiones prædicatione sedula (1). Durant son séjour au couvent il consacra, en 1226, la nouvelle église et fit la translation des ossements de la bienheureuse Marie d'Oignies.

L'année suivante, au mois de mars, le Pape Honorius III étant mort, l'ami de Jacques, le cardinal Hugues d'Ostie, monta sur le trône pontifical, sous le nom de Grégoire IX. Cette élévation attira puissamment Jacques vers Rome, où il se rendit en effet, au grand déplaisir de ses frères, les chanoines d'Oignies. Dès 1229 le Pape le créa cardinal et évêque de Tusculum. Cependant Jacques n'oublia jamais son premier couvent; il le soutint par des dons fréquents et ordonna que ses restes fussent déposés dans l'église du monastère. Les chanoines, de leur côté, se souvinrent longtemps de leur ancien collègue. Un de ces chanoines, qui écrivit le supplément à la vie de la bienheureuse Marie d'Oignies, et qui avait été l'ami d'enfance de Jacques, exprime vivement son chagrin de ce que Jacques, évêque - cardinal, adonné désormais à de paisibles études, honoré, chargé d'une foule d'affaires et jouissant de la confiance du Pape, ne peut plus appliquer son éloquence et son ministère à arracher les âmes des Lorrains aux embûches de l'enfer, ni offrir le spectacle d'un évêque qui, s'élevant au-dessus des honneurs de l'épiscopat, de la considération et des richesses, résiderait humblement parmi ses ouailles, inter oves Beghinarum; il le supplie de revenir à Oignies, afin que la Gaule, qui suffit à peine, malgré ses richesses, aux revenus de ses cardinaux, amplitudine sua

(1) Supplem. ad Vit, S. Mariæ Oign.

| cardinalium reditibus vix sufficit, jouisse enfin du spectacle d'un cardinal simple et sans pompe, sine pompa inglorium.

Jacques mourut à Rome le 1er mai 1240. Durant son long séjour en TerreSainte il avait réuni de nombreux matériaux pour son excellente histoire du royaume de Jérusalem. Il y ajouta, dans un deuxième livre, l'histoire contemporaine de l'Occident, et dans un troisième des suppléments au premier livre; le tout est connu sous le titre de Historia orientalis, ou Historia orientalis et occidentalis. Les deux premiers livres parurent, Helmstadii, 1587, Duaci, 1597; le premier et le troisième dans la collection des écrivains des croisades de Jacques Bongars, ambassadeur du roi de France, Henri IV, Hanau, 1611; le troisième a été publié par Gretser, in Horto Crucis, et Eckhart, Corp. Hist. med. ævi. Un troisième livre (tout différent du troisième livre des autres éditions, avec quatre Lettres importantes de Jacques au Pape Honorius III sur les affaires d'Orient) se trouve dans Martène, Anecd., t. III, p. 267. Une autre Lettre de Jacques au même Pape se lit dans d'Acheri, Spicil., ed. nov., t. III, p. 590, etc. Sur la préface de Jacques à son histoire, voir Basnage-Canis., t. IV, p. 27. Un autre écrit également précieux est la Biographie, faite par Jacques, de la B. Marie d'Oignies, dans les Bolland., le 23 juin. Une partie de ses discours parut à Anvers, 1575. SCHRÖDL.

JACQUES DE VORAGINE ou VIRAGINE, VARAGINE, archevêque de Gênes. Jean de Trittenheim prétend que Jacques reçut le surnom de Voragine (vorago, tourbillon) parce que, dans son extrême ardeur de savoir, il engloutissait, pour ainsi dire, tous les livres qui tombaient sous sa main; mais ce n'est qu'une assertion sans preuve. Il fut ainsi surnommé parce qu'il naquit en

la Lombardie. Cette légende, dont il existe plus de cent éditions et des traductions nombreuses, italiennes, françaises, espagnoles, anglaises et allemandes, renferme 177 chapitres, dont chacun traite d'un saint ou d'une fête, suivant l'ordre du calendrier ecclésiastique. Jacques s'en tint, pour faire sa légende, soit à des ouvrages historiques, comme l'Historia tripartita, soit aux traditions populaires; aussi sa légende renferme-t-elle beaucoup de choses qui ne peuvent soutenir la critique. D'abord il explique en général assez maladroitement le nom des saints; ainsi il déduit le nom de S. Denys de Diana, quod est Venus, scilicet Dea pulchritudinis, et syos, quod est Deus, quasi pulcher Deo, n. 167. On comprend facilement qu'il y est plus que de raison question de miracles, de visions célestes, d'extases et d'apparitions diaboliques, etc. Il en résulta que la légende de Jacques de Voragine perdit, au bout de trois cents ans seulement, il est vrai, toute l'autorité dont elle avait joui. Jean-Louis Vivès dit tout simplement que cette légende fut écrite ab homine oris ferrei, cordis plumbei, animi certe parum severi ac prudentis. Melchior Canus, George Vicélius et d'autres en ont porté le même jugement.

1230 dans la ville de Viraggio, non loin de Gênes. En 1244 il entra dans l'ordre des Dominicains, et en 1267 il fut nommé provincial de Lombardie, moins à cause de sa science qu'à cause de son caractère exemplaire. Ses sermons étaient fort goûtés, ainsi que les cours de théologie qu'il faisait dans les couvents et les écoles de son ordre. Mais il rendit des services plus signalés encore en apaisant les longs différends qui divisaient les Génois et le Pape. En reconnaissance de ce service inappréciable il fut nommé archevêque de Gênes en 1292. Le chapitre l'élut à l'unanimité, et le Pape Nicolas IV confirma l'élection. Tant qu'il demeura sur ce siége important (il mourut en 1298) il fut le père des pauvres et des nécessiteux. Toutefois il ne perdait jamais de vue les autres obligations de sa charge. Ainsi, en 1293, il convoqua un synode provincial qui arrêta des mesures trèsfavorables à la discipline religieuse. Boniface VIII l'appela à Rome pour le mettre à la tête des négociations qui devaient empêcher la guerre d'éclater entre les Génois et les Vénitiens en 1295; ces négociations ne réussirent qu'imparfaitement; mais il est tout à fait faux que le Pape se brouilla avec Jacques, et qu'un mercredi des Cendres, au lieu de lui marquer le front en disant les Il laissa en outre : Sermones super paroles du rituel, il lui jeta les cen- Evangelia dominicarum totius anni, dres à la figure en disant: Memento, festa sanctorum totius anni, ac per homo, quia Gibellinus es, et cum quadragesimam integram, cum serGibellinis tuis ad nihilum reverteris.monibus de planctu beatæ Mariæ Tout au plus cela peut-il être arrivé au successeur de Jacques, Porchett Spinola, qui était en mésintelligence avec Boniface.

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Virginis, et Mariale aureum de laudibus Matris Dei, alphabetico ordine digestum et in 160 sermones distributum. Tous ces discours, plusieurs fois imprimés, eurent longtemps de l'autorité, mais ne répondent plus au goût moderne.

Le principal ouvrage de Jacques est sa Légende des Saints, Legenda Sanctorum, dite la Légende dorée, Legenda aurea, à cause de la renom- On prétend que Jacques fut le premée dont elle jouit longtemps, ou His-mier qui traduisit la Bible en italien (1); toria Lombardica, parce qu'elle ren

ferme à la fin une histoire abrégée de

(1) Sixt. Senens. in Bibl. S., I. IV.

mais jusqu'à ce jour on n'a pas trouvé, le diable par la synagogue, dans Jaël encore de manuscrit de cette traduction. cette même victoire obtenue par l'Église (quid est ista mulier plena fiduciæ nisi fides Ecclesiæ cruce Christi regna diaboli perimens ?) (1).

Enfin il faut citer encore sa Chronique de Génes. Jacques y fait l'histoire de cette ville depuis sa fondation jusqu'à son temps; outre la partie historique, elle renferme des considérations religieuses et politiques, ainsi que des prescriptions, par exemple sur la manière dont doivent être organisés les gouvernements, les cités, les affaires domestiques et la famille. Muratori en a extrait la partie historique et l'a introduite dans son grand œuvre.

Cf. Muratori, Script. rer. Italic., t. IX, p. 6-56; Oudin, Comment. de Script. eccles., t. III, p. 612 sq.; Cave, Hist. litt. Script. eccles., t. II, p. 334 sq.; Schröckh, Hist. de l'Egl., p. 28.

FRITZ.

JÆGER DE DORNHEIM. Voy. CROTUS. JAËL (SY?, JAHEL), femme de Haber le Cinéen, au temps des Juges. Haber s'était séparé de ses autres frères, fils d'Hobab, allié de Moïse au sud de la Palestine, et s'était fixé dans la tribu de Nephtali, non loin de Cédès (1). Comme il était resté en bonne intelligence avec le roi Jabin, qui opprimait Israël, Sisara, général des armées de ce prince, crut, après la perte de la bataille livrée près du Thabor, être en sûreté en se cachant dans la tente de Jaël. En effet elle l'accueillit et lui offrit du lait (de chameau, qui enivrait, suivant Josèphe) (2). Lorsqu'il se fut endormi elle lui enfonça un clou de sa tente (7) à travers la tempe, et délivra ainsi Israël d'un ennemi redoutable. Les modernes ont généralement blâmé l'action de Jaël. On peut ne pas abonder dans ce sens quand on considère que la prophétesse Débora loue Jaël, benedicta inter mulieres Jahel (3), que les Pères de l'Église voient dans Débora la victoire remportée sur

(1) Juges, 4, 11. (2) Antiq., V, 5, 4. (3, Juges, 5, 6, 24-27.

Il est vrai que le chant de triomphe de Débora a moins en vue l'acte même de Jaël que le résultat de son acte, qui est la délivrance du peuple de Dieu; il est vrai aussi que des caractères d'ailleurs peu estimables, par exemple Assuérus, servent de types et de figures dans les choses de Dieu, et que l'Ancien Testament cite, sans les blâmer, des faits d'une moralité douteuse, comme la pluralité des femmes, la cruauté dans la guerre, etc. Mais on ne peut voir un assassinat et une violation de l'hospitalité dans le fait de Jaël qu'en oubliant que les rapports d'amitié entre Haber et Jabin avaient pu être rompus, et que Jaël, qui était Israélite, dut se sentir appelée à prendre part à la guerre sainte contre les ennemis de sa nation lorsque Débora s'adressa à la tribu de Nephtali, au milieu de laquelle elle vivait.

Sisara connaissait parfaitement les faits, et de là son hésitation devant la tente de Jaël (2), incertain qu'il était si l'ancienne amitié l'emporterait sur l'appel récent fait au nom de Dieu. Jaël sans doute accomplit son coup par la ruse (peut-être aussi la vue de l'ennemi endormi lui suggéra-t-elle seule la pensée de le tuer); mais la ruse est l'arme de guerre de la femme, et qui ne sait combien, même de nos jours, il est difficile de déterminer, entre des gens qui sont en guerre, jusqu'où la ruse est permise?

Cf. Liguori, Quid in bello justo liceat; Martini, libro de' Giudici; Calmet, e Corn. a Lapide.

J. MAYER.

(1) Orig., Hom. 5, in Jud. Aug. contra Faust., XII, 32.

(2) Juges, 4, 18.

JAGELLON (JAGAL), grand-prince de Lithuanie et roi de Pologne. A dater du onzième siècle on voit apparaître dans l'histoire les Lithuaniens, peuple dont l'origine est la même que celle des Prussiens. Vraisemblablement tributaires jusqu'alors des Russes, ils s'affranchirent et obéirent à des chefs indigènes, jusqu'au moment où, au treizième siècle, un grand-prince se mit à leur tête. Dès lors ce peuple fit preuve d'une vigueur, d'une audace et d'une persévérance rares dans sa lutte sanglante et terrible contre les Russes, les Polonais et l'ordre Teutonique de Prusse. Il étendit sa domination de la Duna jusqu'au Dniester, du Niémen et du Bug polonais jusqu'aux sources du Dniéper et du Donetz, surtout sous les grands-princes Witen,Gedimin, Olgerd et Jagellon. Cette hostilité à l'égard de leurs voisins chrétiens, qui cherchaient à soumettre les Lithuaniens et à les convertir après les avoir subjugués, la barbarie et la cruauté natives de ce peuple lui rendirent la religion chrétienne odieuse et opposèrent d'immenses obstacles aux succès de la prédication évangélique. En outre le culte démonologique exerçait une grande influence sur lui; les Lithuaniens adoraient, comme les Lettons et les Prussiens, Perkun, le dieu du tonnerre, le feu, les animaux et les arbres (1); punissaient de mort la négligence de ceux qui laissaient s'éteindre le feu sacré, entretenu dans toutes les localités considérables par des prêtres; infligeaient des peines cruelles à ceux qui endommageaient ou abattaient les bois et les bocages sacrés, qui n'honoraient pas les serpents et les lézards; immolaient des hommes, notamment les prisonniers, et brûlaient les serviteurs et les servantes avec le cadavre de leurs maitres.

(1) Voy. IDOLES (culte des).

Cependant le Christianisme trouva accès auprès de Mendog (Mendowe), fils de Ringold, le premier grand-prince de Lithuanie en 1252. Mendog, peutêtre plus par des raisons politiques que par conviction, se fit baptiser, et obtint le titre de roi du Pape Alexandre IV; mais il jeta bien vite le masque dont il s'était affublé et persécuta les Chrétiens. Son fils Woischelg (Wolstinik) reçut le Baptême du vivant de son père, fit un pèlerinage à Jérusalem, aux couvents du mont Athos, et se retira dans le monastère qu'il fonda aux bords du Niémen. Parvenu au trône de Lithuanie après l'assassinat de son père, en 1263, il imposa de force le Baptême à ses sujets; il finit par céder le trône de Lithuanie à son beau-frère Schwarno, prince russe et chrétien, qui régna fort peu de temps. Cependant tous ces événements firent faire fort peu de progrès aux Lithuaniens. Des jours plus heureux pour le Christianisme ne survinrent qu'avec le règne de Gedimin († 1340), qui peut être considéré comme le véritable fondateur du royaume de Lithuanie. Il bâtit la ville de Wilna, qui devint rapidement florissante, attira des artistes et des artisans chrétiens dans le pays, et leur accorda le libre exercice de leur culte, ainsi qu'aux Chrétiens de tous les rites, quoiqu'il ne fût pas Chrétien lui-même. Les Franciscains et les Dominicains furent autorisés à prêcher non seulement parmi les fidèles des provinces conquises, mais au milieu des Lithuaniens idolâtres. Il avait l'intention d'embrasser lui-même la religion catholique, surtout, il est vrai, en vue d'obtenir la paix du côté de l'ordre Teutonique et de s'assurer avec son concours des conquêtes nouvelles.

Il exprima, dans une lettre au Pape Jean XXII, le désir d'entrer avec tout son peuple dans l'Église romaine, et demanda des légats. Jean XXII lui envoya en effet des légats munis des pou

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