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punveías (3), que les Egyptiens célébraient solennellement par leurs chants sacrés le nom de Jéhová (4); il fut victorieusement réfuté par Didyme de Turin (5). Cette hypothèse de l'origine égyptienne semble établie plus solidement par l'inscription du temple d'Isis, de Sais, que Plutarqué rapporte (6): Ἐγώ εἰμι πᾶν τὸ γεγονὸς καὶ ὃν καὶ ἐσόμενον, καὶ τὸν ἐμὸν πέπλον οὐδείς πω θνητὸς ἀπεκά

un Dieu 'Izó, identique avec Jéhova (1). gnes (1) qui environnent Jérusalem et dans cette ville; celle-ci se nommait Or le texte principal sur lequel ils même Jébus, d'après ses habitants (2), fondent cette opinion (2) parle non des D1 ou 'p. Les Jébuséens furent Egyptiens, mais des Juifs, qui appellent leur Dieu 'Izó. Déjà le philologue Matth. vaincus par Josué, avec les autres nations cananéennes (3); ils continuèrent Gesner avait cherché à démontrer, d'anéanmoins d'exister, notamment à Jé-près l'écrit d'un certain Démétrius, Tei rusalem, où, au temps qui s'écoula entre Josué et David, ils furent mêlés aux fils de Juda et de Benjamin (4). Ils n'avaient probablement été chassés que de la ville basse et purent se maintenir dans Sion. David conquit cette forteresse et la nomma la cité de David (5): Il resta toujours des Jébuséens isolés, comme on le voit dans II Rois, 24, 16. (le Jébuséen Aréuna), et III Rois, 9, 20 sq. Même au temps d'Esdras, cette tribu n'était pas encore éteinte (6). JÉCHONIAS. Voyez JOACHIM. JÉHOVA,, Kúpte chez les LXX, Dominus dans la Vulgate, est, avec Élohim, le nom de Dieu qui paraît le plus souvent dans l'Ancien Testament. Quant à son sens intrinsèque et quant à l'application de ce nom divin, l'essentiel a été dit dans l'article DIEU (7). Nous n'avons à ajouter ici que quelques observations qui ne pouvaient trouver leur place dans l'article cité.

1. Il y a diverses opinions sur l'origine du nom de Jéhova; on l'a, dans les temps modernes, assez généralement cherchée en Égypte, d'où Moïse l'aurait empruntée avec beaucoup d'autres choses. Schiller (8) surtout a fait autorité à cet égard parmi les gens de lettres; il y a bon nombre d'historiens et de théologiens qui prétendent également avoir trouvé chez les Égyptiens

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; « Je suis tout ce qui à été, ce qui est et ce qui sera, et jamais mortel n'a encore soulevé mon voile.» Abstraction faite de l'authenticité de cette inscription, qui n'est nullement démontrée, la ressemblance qu'au premier aspect elle présente avec le sens mosaïque du nom de Jéhova est tout à fait extérieure ; elle s'évanouit quand on regarde au fond, car l'inscription égyptienne est absolument panthéiste.

Il en est de l'origine phénicienne, que Hartmann (7) et d'autres mettent en avant, comme de l'égyptienne: elle est insoutenable. Le seul témoignage qu'on puisse alléguer est un passage de Porphyre (8), l'ennemi des Chrétiens, qui en réfère à Sanchoniathon pour donner le nom de 'I conime le nom du Dieu des Juifs, c'est-à-dire qu'il dit précisé

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ment le contraire de ce qu'on lui prête. On a aussi cité Macrobe (1) pour soutenir que le nom de la existait dans les mystères des Grecs; Jablonsky a parfaitement prouvé (2) que le texte appartient à un gnostique judaïsant; les noms de Dieu de l'Ancien Testament étaient pour les gnostiques un sujet habituel de spéculation mystique.

Reste la ressemblance qu'on a voulu trouver entre Jéhova et Jovis, Jupi

ter (3).

Mais cette similitude est insignifiante quand on prononce exactement le mot 77, et s'évanouit complétement quand on examine de plus près l'étymologie de Jovis. D'après M. Térent. Varron (4),

Jovis est la forme la plus récente et se prononçait antérieurement Djovis, ayant pour racine div, dju, qui, en sanscrit, signifie briller, éclairer, et, comme substantif, veut dire cœlum (cf. le latin sub dio). De div viennent deva, Deus, Aɛúç, éol. Zeús, etc., etc. Ju- piter en place de Dju- piter est un nom composé signifiant le père du ciel, et le génitif Jovis n'a conservé que la première et la plus significative partie du mot. Ainsi toute la ressemblance entre Jovis et Jéhova se réduit, en considérant les racines div et 17, à un simple wav.

II. En revanche l'origine sémitique du nom de Jéhova est parfaitement établie ; ce nom vient du verbe 17, l'ancienne forme du verbe 7, étre, d'où se forme régulièrement l'imparfait (et le futur) au kal !, Jahveh, Jahve, celui qui est, celui qui est et existe absolument de et par lui-même. Dès les temps les plus anciens, pour le

(1) Saturn., c. 18.

(2) Pantheon Ægypt., II, 6.

(3) De Wette, Supplém. Buttmann, Mythologus, II, p. 74. Gésénius, dans la 1re édit. du Lexique. Bohlen, Comment. sur la Genèse. Vatke, Theol. bibl., p. 673.

(4) De Ling. Lat., V, 20.

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moins à partir de l'exil, les Juifs, s'appuyant sur le Lévitique, 24, 16 (1), ne prononçaient pas ce nom tel qu'il est écrit ; c'était un mystère pour eux, tov, dit Philon; on plaçait au bas des consonnes de les voyelles du mot

(Adonai) (2), Seigneur, d'où le Dominus des LXX; seulement on substituaitau kateph-pathach un sch'wa, d'où provenait la ponctuation vulgaire 17, Jehova. On prétendit, il est vrai, et surtout les anciens théologiens soutinrent que c'était la prononciation ordinaire et la seule exacte, mais fort à tort. Dans les temps modernes Stier est le seul qui, maintenant cette ancienne opinion (3), explique le mot 77' ainsi : ?===, c'est-à-dire ὁ ὤν, καὶ ὁ ἦν, καὶ ὁ ἐρχόμενος, celui qui est, qui a été, et qui sera (4). La seule prononciation acceptable,, est garantie comme la prononciation primitive par des témoignages positifs; d'après Théodore (5) les Samaritains prononçaient 'Iaé; ailleurs on trouve 'Ixové, 'Iɛvu̸, 'Ixã (6).

:

וָה הוֹ

III. Le nom de Jéhova était connu avant Moïse; on le nie, il est vrai, et l'on cherche notamment à prouver l'origine plus récente du nom d'après l'Exode, 6, 3 (7). On a prétendu qu'il ne fut connu que du temps de Moïse, que Dieu lui-même le révéla à ce prophète; c'est ce que soutient encore, dans les derniers temps, Ébrard, dans son traité l'Age du nom de Jéhova (8);

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Haneberg est aussi de cet avis (1).
Nous renvoyons sur ce sujet à ce que
Welte (2) et Kurtz (3) ont dit d'ex-
cellent en réfutant Tuch et d'autres.

Cf. Hengstenberg, Pour servir à l'introd. à l'Ancien Testament, t. II, p. 204-305; Tuch, Comm. sur la Genèse, p. xxxш; Tholuck, Mélanges, I, 377; Staudenmaier, Dogm. chrét., t. II, p. 155-172.

KÖNIG.

JÉHU (NIM); LXX, 'Inc.

I. Fils d'Hanani, le prophète, dont l'Ecriture dit seulement qu'il prédit à Baasa, roi d'Israël, la ruine de sa postérité (4), et qu'il remplit sa mission sous Asa et Josaphat (5), entre 936 et 888 avant Jésus-Christ. Il écrivit aussi une histoire de Josaphat, qui fut ajoutée aux annales des rois d'Israël (6). C'est par une traduction erronée du texte hébraïque que la Vulgate fait tuer Jéhu par ordre de Baasa (7); l'hébreu entend parler du meurtre de Jéroboam par Baasa.

II. Jéhu, fils de Josaphat, fut roi d'Israël pendant vingt-huit ans (887-856 av. J.-C.). D'abord général au service du roi Joram, d'un caractère vif et impétueux, il fut choisi de Dieu pour réaliser l'arrêt prononcé par la justice divine contre la maison d'Achab. Pendant qu'il assiégeait, au nom de son maître, Ramoth de Galaad, occupé par les Syriens, un disciple des prophètes le sacra par l'ordre d'Élisée. Il partit sans retard, accompagné de quelques soldats de l'armée qu'il avait promptement gagnés à sa cause, devança toute nouvelle,

(1) Hist. de la Révél. bibl., Ralisb., 1850, p. 179, trad. par I. Goschler, Paris, 1856, 2 vol., t. I, p. 79, 80.

|

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marcha vers Jezraël, où se trouvait Joram blessé, et perça de part en part de sa lance le roi qui, dans son inquiétude, s'était d'abord fait conduire au devant de lui, puis avait fui devant l'élu de Dieu. Le cadavre de Joram, jeté dans le champ de Naboth, annonça à ses sujets le juste jugement de Dieu; mais tous les parents de Joram, Jézabel, Ochozias, roi de Juda, qui était venu voir Joram, furent compris dans sa ruine; toute sa maison fut anéantie, le culte de Baal renversé; ses prêtres furent mis à mort (1).

Toutefois le nouveau roi n'avait pas le véritable esprit d'en haut; il n'était pas rempli de zèle pour la cause de Dieu, d'égoïstes calculs réglaient sa conduite. « Il ne se détourna pas des péchés de Jéroboam, » qui avait éloigné Israël du véritable sanctuaire; le culte du veau d'or eut, après comme avant Jéhu, ses temples à Béthel et à Dan, et le peuple demeura corrompu et idolâtre. Aussi Jéhu n'obtint-il qu'une récompense extérieure de son acte tout extérieur luimême sa famille demeura pendant quatre générations sur le trône. Ce fut en somme la dynastie qui régna le plus longtemps et fut la plus puissante en Israël. Du reste le peuple et ses rois se précipitaient de plus en plus vers leur ruine, déjà présagée par les défaites Jéhu que, dans ses dernières années, subit de la part des Syriens, et que les victoires brillantes de son petit-fils et de son arrière-petit-fils ne purent arrêter sur sa pente fatale. Le sang de Jezraël fut vengé sur toute la maison de Jéhu, comme l'avait prédit le prophète Osée, 1, 7. S. MAYER. JEPHTÉ (П, il ouvre; LXX,

(2) De ce qui est postérieur à Moïse dans le 'leç0xé; Jos. Flav., 'Ieçons) (2), de Ga

Pentateuque, p. 91.

(3) L'Unité de la Genèse, p. XXII.

(4) III Rois, 16, 1-7.

(5) II Paral., 19, 2, 3.

(6) Ibid., 20, 34.

(7) III Rois, 16, 7.

laad, fils d'une courtisane, eut pour père Galaad. Exclu de l'héritage de sa

(1) IV Rois, 9 et 10.

(2) Juges, 11 et 12.

ENCYCL. THÉOL. CATH. T. XII.

14

210

famille par ses frères, Jephté s'enfuit au pays de Tob, où des gens qui n'avaient rien et qui vivaient de brigandages s'assemblèrent autour de lui et le choisirent pour leur chef.

Bientôt son nom devint si célèbre que ses concitoyens de Galaad, vivement pressés par les Ammonites, vinrent trouver celui qu'ils avaient autrefois chassé, pour lui offrir d'être leur prince s'il pouvait les délivrer du joug de leurs ennemis. Jephté, «saisi par l'esprit de Dieu,» après avoir vainement essayé de négocier avec les Ammonites, réunit tous les Israélites d'au delà du Jourdain, et humilia l'ennemi pour un temps assez long. Ephraïm, qui se sentit blessé de n'avoir pas été appelé au secours de ses frères de Galaad, s'éleva contre ceux-ci, éprouva la pesanteur du bras de Jephté et perdit quarante-deux mille hommes en un seul jour (1). Jephté fut juge en Israël pendant six ans.

Le vœu que fit Jephté avant de livrer bataille aux Ammonites, et qu'on a comparé à des événements analogues dans le paganisme (Iphigénie), est célèbre. Jephté avait promis « d'offrir en holocauste au Seigneur la première créature qu'il rencontrerait dans sa maison au retour de sa victoire (2). » S. Augustin, qui a épuisé ce sujet (3), remarque avec raison que Jephté ne put penser qu'à un sacrifice humain, neque enim est aut fuit consuetudinis ut redeuntibus cum victoria de bello ducibus pecora occurrerent. Le texte d'ailleurs ne permet pas d'interprétation dans ce sens. D'un autre côté il est aussi évident que l'Ancien Testament défend absolument un pareil sacrifice, qui est « une abomination devant Dieu (4), » contraire au

(1) Juges, 12, 6.
(2) Ibid., 11, 30, 31.
(3) Quæst. 49, in Judic.
(4) Deuter., 12, 31; 18, 9.

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| commandement : « Tu ne tueras pas »,
et ne peut en aucune façon être com-
paré, comme le fait D. Calmet, au ché-
rem de la guerre ou à l'extermination
des ennemis idolâtres, ordonnée par
Dieu (1). Mais il est aussi facile d'ex-
pliquer comment Jephté, malgré la con-
naissance qu'il avait de l'histoire mosaï-
que, ce dont il donna des preuves dans
ses négociations avec les Ammonites,
put en venir à une si fausse interpréta -
tion de la loi. Le rude homme de guerre
dut se sentir singulièrement relevé à
ses propres yeux en se voyant choisi
pour être le sauveur de ses frères,
lui qu'ils avaient dédaigneusement
chassé, et en contemplant tout Galaad
réuni sous son drapeau, obéissant à
sa parole inspirée; dans cette situation
d'esprit, il voulut de son côté faire au
Seigneur une offrande digne de lui et
s'assurer ainsi la victoire. Le sacrifice
d'une vie humaine, quoiqu'il ne fût pas
compté pour beaucoup dans un temps
aussi belliqueux que celui des Juges,
dut cependant paraître plus précieux
aux yeux de Jephté que l'immolation
d'un taureau; peut-être aussi l'idée du
chérem ou l'exemple d'Abraham pla-
nait-il devant son esprit. Jephté se
sent donc résolu, dans le cas où il
sera vainqueur, de sacrifier même l'es-
clave le plus précieux de sa maison (il
n'avait pas de fils). C'était, dit S. Am-
broise (2), une dure promesse, dura
promissio, un vœu irréfléchi, ¿város
άɣav ǹ úпóσуeσiç (3), un vœu imprudent,
improspecte voverat (4), que le diable
lui inspira sous l'apparence de la piété
et de la religion, diabolus ei pietatis
et religionis specie persuasit (5). Mais,
aux yeux de Dieu, sa foi courageuse et
sa disposition au sacrifice eurent plus

(1) Cf. Lévitique, 27, 28, 29.
(2) Ambr., Off., III, 12.

(3) Théodoret, Quæst, 20 in Jud.

(4) Hieron., in Jov.

(5) Chrysost., Hom. 10, in Rom.

de poids que l'erreur de son acte même, non sacrificium placet, sed animus offerentis (1), et la victoire lui fut accordée.

dre l'histoire de Jephté on ne doit pas omettre celle qui a eu cours de trèsbonne heure, et qui fait de « l'esprit de Dieu qui se saisit de Jephté» l'auteur et le moteur de ce vœu et de son accomplissement, afin d'imprimer profondément dans l'esprit du peuple juif le sens de la médiation future du Messie par le sacrifice de la vie. Le faux Ambroise, in Hebr., Anselme de Cantorbéry et d'autres pensent que le vœu de Jephté est complétement justifié par

Lorsqu'il revint, la première créature qu'il rencontra, en rentrant dans sa demeure, fut sa fille unique, à laquelle il n'avait pas pensé, qu'il devait croire renfermée dans la partie la plus intérieure de la maison. A cette vue il fut profondément ébranlé, sans pour cela renoncer à exécuter son vou, ni aller demander des faux-fuyants aux juris-là. Abstraction faite de tout le reste, consultes (le targum de ce passage lui en fait un reproche ). Mais il amena la jeune fille elle-même, après avoir pleuré pendant deux mois sa virginité, à souhaiter d'être offerte en holocauste, « ce qui eut lieu en effet. »

cette analogie avec l'histoire, toute différente d'ailleurs, d'Abraham ne peut nous déterminer, pas plus que S. Augustin et d'autres, à admettre cette explication; tout au plus pouvons-nous voir dans le fait de Jephté le type de la L'antiquité (tous les Pères et tous mission du Christ, qui est repoussé par les Juifs, même Josèphe) (2) est una- ses frères, et qui néanmoins les délivre, nime à cet égard. L'opinion suivant et dans le sacrifice de sa fille (Seila, suilaquelle la fille de Jephté aurait été con- vant Philon) l'image de l'abandon de sacrée à la virginité et au service per-l'Église à la volonté divine dans toutes pétuel du Seigneur dans le sanctuaire, les persécutions que le monde lui fait comme l'admettent plusieurs auteurs, souffrir. C'est là l'explication habituelle tels que Hengstenberg et Déréser, est des Pères (1). une interprétation fausse et forcée du texte, qui est clair. Le fait subsiste comme l'erreur singulière d'un homme d'ailleurs éminent et saint, qui trouve sa punition dans sa faute même, et dont le vœu téméraire et inhumain lui fait perdre précisément ce qu'il a de plus cher au monde. Sa volonté demeure droite tandis que son esprit s'égare, et son caractère le range toujours (3) parmi les héros de la foi de l'Ancien Testament, malgré son erreur, propter bonam fidelemque vitam, in qua eum credendum est esse defunctum (4).

A côté de cette manière de compren

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Cf. Tostat, in Jud.; Thom. Aq., p. II, 2, quæst. 88; Natalis et Calmet, Dissert. de Jephté. S. MAYER.

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JÉRÉMIE (7???? ou, « Dieu jette - le dard contre l'ennemi, ou celsitudo Domini » « Dieu est élevé »; LXX, Tepeuías). Le Prophète Jérémie était de race sacerdotale, de la série des prêtres d'Anathoth près de Jérusalem; son père, Helcias, est peut-être le même (2) que le grand-prêtre Helcias, qui trouva le vieil exemplaire du Pentateuque dans le temple. Ceci arriva dans la 18 année du règne de Josias (623 av. J.-C.), et détermina la se

(1) S. Chrysost., S. August., etc.

(2) C'est ce que pensent Clément d'Alex., S. Jerome; Maldonat. Sanctius et les modernes en général sont d'un avis contraire.

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