Théâtre de Voltaire, Tom 7Didot, 1801 |
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Strona 98 - D'abandonner la France au fils de l'étranger. Je vois que de l'Anglais la race est peu chérie, Que leur joug est pesant , qu'on aime la patrie , Que le sang des Capets est toujours adoré. Tôt ou tard il faudra que de ce tronc sacré Les rameaux divisés et courbés par l'orage, Plus unis et plus beaux , soient notre unique ombrage.
Strona 9 - II fait, en ce beau jour, le plus beau temps du monde Pour aller à cheval sur la terre et sur l'onde.
Strona 23 - Qui comptez tous vos jours , et marquez tous vos pas , Par des plaisirs affreux ou des assassinats; Qui savez tout braver, tout oser, et tout feindre : Vous enfin, qui sans moi seriez peut-être à craindre.
Strona 8 - L'ennemi tortueux dont il est entouré. Le sang tombe des airs. Il déchire, il dévore Le reptile acharné qui le combat encore; II le perce, il le tient sous ses ongles vainqueurs; Par cent coups redoublés il venge ses douleurs. Le monstre en expirant se débat, se replie; II exhale en poisons les restes de sa vie; Et l'aigle tout sanglant, fier, et victorieux, Le rejette en fureur, et plane au haut des cieux.
Strona 143 - J'en ai choisi un tout différent encore des deux autres, et qui ne leur ressemble que par le nom. Je me suis arrêté à la grande époque de GengisKan, et j'ai voulu peindre les mœurs des Tartares et des Chinois. Les aventures les plus intéressantes ne sont rien quand elles ne peignent pas les mœurs; et cette peinture, qui est un des plus grands secrets de l'art, ÊPITRE DÉDICATOIRE- toy n'est encore qu'un amusement frivole quand elle n'inspire pas la vertu.
Strona 181 - Quels sont ces sentiments , qu'au fond de nos climats Nous ignorions encore , et ne soupçonnions pas ? A son roi, qui n'est plus, immolant la nature , L'un voit périr son fils sans crainte et sans murmure ; L'autre pour son époux est prête à s'immoler: Rien ne peut les fléchir , rien ne les fait trembler. Que dis-je?
Strona 15 - Éteindre de ton nom la splendeur usurpée ! Que ne puis-je opposer à ton pouvoir fatal Ce César si terrible, et déjà ton égal ! Quoi! César, comme moi factieux dès l'enfance, Avec Catilina n'est pas d'intelligence? Mais le piège est tendu ; je prétends qu'aujourd'hui Le trône qui m'attend soit préparé par lui.
Strona 25 - C'en est trop; arrêtez. C'est trop souffrir le zèle où vous vous emportez. De vos vagues soupçons j'ai dédaigné l'injure ; Mais après tant d'affronts que mon orgueil endure, Je veux que vous sachiez que le plus grand de tous N'est pas d'être accusé, mais protégé par vous.
Strona 36 - J'estime Cicéron, sans l'aimer ni le craindre. Je t'aime, je l'avoue, et je ne te crains pas. Divise le sénat, abaisse des ingrats, Tu le peux, j'y consens; mais si ton âme aspire...