Œuvres complètes, Tom 1L. Hachette et cie, 1862 |
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Wyniki 1 - 5 z 87
Strona iv
... n'en faisait point partie , sa correspondance avec Peiresc , l'Instruction à son fils , un certain nombre de pièces en vers ou en prose et de lettres , inédites ou qui n'avaient point encore été recueillies , et ses commentaires sur ...
... n'en faisait point partie , sa correspondance avec Peiresc , l'Instruction à son fils , un certain nombre de pièces en vers ou en prose et de lettres , inédites ou qui n'avaient point encore été recueillies , et ses commentaires sur ...
Strona xi
... s'en faut de beau- coup que je n'en parle comme je faisois en ce temps - là . Je suis bien d'avis que l'épée est la vraie profession du gentilhomme ; mais que la Quoi qu'il en soit , Malherbe , que d'ailleurs aucun SUR MALHERBE . XI.
... s'en faut de beau- coup que je n'en parle comme je faisois en ce temps - là . Je suis bien d'avis que l'épée est la vraie profession du gentilhomme ; mais que la Quoi qu'il en soit , Malherbe , que d'ailleurs aucun SUR MALHERBE . XI.
Strona xiii
... n'en reçut pas un liard , suivant son expression . Cela ne l'empêcha pas de gagner les bonnes grâces d'une veuve dont le père était prési- dent au parlement de Provence : Madeleine de Carriolis ou Co- riolis , fille de Louis de ...
... n'en reçut pas un liard , suivant son expression . Cela ne l'empêcha pas de gagner les bonnes grâces d'une veuve dont le père était prési- dent au parlement de Provence : Madeleine de Carriolis ou Co- riolis , fille de Louis de ...
Strona xv
... n'en recevoit point que d'égales à lui . Ce favorable appui ne fut pas refusé , et le Roi paya de cinq cents écus , accompagnés de promesses , les louanges menson- gères du poëte , qui pourtant , quinze ans plus tard , n'hésita pas à ...
... n'en recevoit point que d'égales à lui . Ce favorable appui ne fut pas refusé , et le Roi paya de cinq cents écus , accompagnés de promesses , les louanges menson- gères du poëte , qui pourtant , quinze ans plus tard , n'hésita pas à ...
Strona xvi
... n'en aurez pas moins à la lire . Imaginez - vous , mon âme , la plus triste et la plus pitoyable nouvelle que je saurois vous mander : vous l'entendrez par cette lettre . Ma chère fille et la vôtre , notre belle Jordaine , n'est plus au ...
... n'en aurez pas moins à la lire . Imaginez - vous , mon âme , la plus triste et la plus pitoyable nouvelle que je saurois vous mander : vous l'entendrez par cette lettre . Ma chère fille et la vôtre , notre belle Jordaine , n'est plus au ...
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
âme assez avecque avoient avoit ballet Balzac beauté beaux belle Bellegarde Bibliothèque impériale c'étoit Caen Carpentras cents écus chose conseiller Couvet d'Aix date desirer Dieu dire discours disoit donner dudit Dumonstier écrit édition esprit étoient étoit faisoit fils Finsonius François de Malherbe gentilhomme gloire Henri Henri IV herbe homme imprimer j'ai jamais jour l'édition de 1630 ladite ledit lettre de Malherbe Leucade Louis Louis XIII Luigi Tansillo manuscrit Marc-Antoine Marie de Médicis Ménage mois monde Monsieur mort Mre François n'avoit notice OEuvres parler Parnasse passer Peiresc pense Philippe poésie françoise Poésies de Malherbe portrait pouvoit première princesse privilege du Roy Provence publié qu'en Quintius Racan raison Recueil Reine rien rimes Romains s'en s'il Saint-Marc Sénèque seroit seulement sieur de Malherbe sonnet sorte stances strophe suivant Tallemant Tallemant des Réaux tion Tite Live trépas trouve vouloit Voyez pièce Voyez plus loin yeux Yvrande
Popularne fragmenty
Strona 44 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane...
Strona 275 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde, Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre ; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris, et ployer les genoux ; Ce qu'ils peuvent n'est rien, ils sont ce que nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme...
Strona 275 - Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Strona 73 - La terreur de son nom rendra nos villes fortes, On n'en gardera plus ni les murs ni les portes, Les veilles cesseront au sommet de nos tours ; Le fer, mieux employé, cultivera la terre ; Et le peuple, qui tremble aux frayeurs de la guerre, Si ce n'est pour danser, n'orra plus de tambours.
Strona 284 - Je suis vaincu du temps, je cède à ses outrages; Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours.
Strona 40 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris. Mais elle...
Strona 71 - Un malheur inconnu glisse parmi les hommes, Qui les rend ennemis du repos où nous sommes ; La plupart de leurs vœux tendent au changement ; Et comme s'ils...
Strona 74 - Tu nous rendras alors nos douces destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs. Toute sorte de biens comblera nos familles, La moisson de nos champs lassera les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs.
Strona 37 - Beauté, mon beau souci, de qui l'âme incertaine A comme l'Océan son flux et son reflux : Pensez de vous résoudre à soulager ma peine, Ou je me vais résoudre à ne la souffrir plus.
Strona 44 - ... pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.