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Donc après un si long séjour.
Donc cette merveille des cieux.
Donc un nouveau labeur à tes armes s'apprête.
Dure contrainte de partir. .
Elle étoit jusqu'au nombril.
Enfin après les tempêtes.
Enfin après tant d'années.
Enfin cette beauté m'a la place rendue .
Enfin l'ire du ciel, et sa fatale envie.
Enfin ma patience, et les soins que j'ai pris.
Enfin mon roi les a mis bas. .
En vain, mon Colletet, tu conjures la Parque .
En vain, mon Garasse, la rage.
Grand et grand prince de l'Église.
Grand fils du grand Henri, grand chef-d'œuvre des cieux.
Houlette de Louis, houlette de Marie.
Ici dessous gît Monsieur d'Is.
Il est vrai, la Vieuville, et quiconque le nie
Il ne faut qu'avec le visage.
Il n'est rien de si beau comme Caliste est belle.
Ils s'en vont, ces rois de ma vie.
Jeanne, tandis que tu fus belle. .
Je le connois, Destins, vous avez arrêté.
J'estime la Ceppède, et l'honore, et l'admire.
Je veux croire que la Seine.
La Garde, tes doctes écrits.
Laisse-moi, raison importune.
L'art aussi bien que la nature.
L'art, la nature exprimant.
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CXII
CXXII
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Les Destins sont vaincus, et le flux de mes larmes.
Les funestes complots des âmes forcenées.
Les peuples pipés de leur mine.
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Le dernier de mes jours est dessus l'horizon
Le guerrier qui brûlant dans les cieux se rendit
Le soleil ici-bas ne voit que vanité.
L'Orne comme autrefois nous reverroit encore.
Louez Dieu par toute la terre.
Mes yeux, vous m'êtes superflus.
Mon Roi, s'il est ainsi que des choses futures
Mopse entre les devins l'Apollon de cet âge.
Muses, je suis confus; mon devoir me convie.
Muses, quand finira cette longue remise.
N'attends, passant, que de ma gloire.
Ne délibérons plus, allons droit à la mort.
N'égalons point cette petite.
N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde
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Nymphe qui jamais ne sommeilles
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O Dieu, dont les bontés de nos larmes touchées
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O qu'une sagesse profonde.
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O sagesse éternelle, à qui cet univers.
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O toi, qui d'un clin d'œil sur la terre et sur l'onde
Objet divin des âmes et des yeux.
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Pleine de langues et de voix.
Or sus, la porte est close aux tempêtes civiles.
Passants, vous trouvez à redire
Peuples, çà de l'encens; peuples, çà des victimes.
Peuples, qu'on mette sur la tête
Philis qui me voit le teint blême.
Plus Mars que Mars de la Thrace.
Prier Dieu qu'il vous soit propice.
Qu'autres que vous soient desirées
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Que l'honneur de mon prince est cher aux destinées.
Quelques louanges nonpareilles .
Quoi donc, c'est un arrêt qui n'épargne personne.
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Quoi donc, grande princesse en la terre adorée.
Quoi donc, ma lâcheté sera si criminelle..
Sacré ministre de Thémis.
Si des maux renaissants avec ma patience
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Si l'on peut acquérir par la plume la gloire.
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Tantôt nos navires braves.
Trois ans déjà passés, théâtre de la guerre.
Tu dis, Colin, de tous côtés. .
Tu faux, de Pré, de nous pourtraire.
Tu me ravis, du Maine, il faut que je l'avoue.
Tu vois, passant, la sépulture.
Va-t'en à la malheure, excrément de la terre
Voici de ton État la plus grande merveille.
Voici venir le temps que je vous avois dit.
Vois-tu, passant, couler cette onde.
Vous avez beau, mon berger.
Vous dont les censures s'étendent.
Voyant ma Caliste si belle.
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FIN DE LA TABLE ALPHABÉTIQUE DES POÉSIES.
PARIS. IMPRIMERIE DE CH. LAHURE ET C
Rue de Fleurus, 9