Cours de philosophie ou nouvelle exposition des principes de cette science

Przednia ok³adka
Durand, 1865

Z wnêtrza ksi±¿ki

Spis tre¶ci

Les intelligences finies sont des unités
181
Les Alexandrins ont donc eu tort de soutenir
187
La perception de lEtre sans bornes est essen
254
Sophisme des péripatéticiens et des disciples de Locke
261
Coroll 4 Le système de lidentité absolue soutenu
275
Donc les kantistes ou criticistes français con
283
Coroll 7 Les positivistes ne sont donc aucunement
292
PROP III Par la perception de lEtre sans bornes lâme
303
La perception innée de Dieu nétant ni réflé
309
PROP IX La connaissauce immédiate de Dieu est sup
319
Diverses vues de Dieu
325
Deux essences dans lEssence infinie
338
De la distinction entre lessence extime la substance
342
souverain Etre
353
De la perception de lEtre sans bornes considérée
361
Lintelligence humaine peut au moyen de
368
Impossibilité de la division des corps à linfini
377
Létendue nest pas une substance
383
Démonstration de la thèse
392
De lidée du temps
398
De la substance
404
De la quantité
410
DES PROPRIÉTÉS QUI CARACTÉRISENT LES IDEES UNIVERSELLES
416
PROP VI Les idées ou essences métaphysiques des choses
425
PROP IX Les idées ou essences métaphysiques du fini
431
Donc la théorie dAristote qui suppose
439
Corollaire 1
1
Coroll 3
3
II
6
Coroll 12
12
II
18
Corollaire Kant a donc eu tort de soutenir que tout
25
Bacon
40
Toulouse Imprimerie de BONNAL et GIBRAC rue SaintRome 44
44
Différents sens du mot idée
47
Du point de départ
54
La perception de lEtre sans bornes est la
62
Corollaire 1 LInfini et le fini ne sont donc pas deux
68
Le nom détre ne convient pas de la même
74
De la méthode philosophique
79
Force de nutrition
80
Sens du mot exister 83
83
Vrai sens du péripatétisme
93
De la science daprès les platoniciens
101
1
104
335
106
150
150

Inne wydania - Wy¶wietl wszystko

Kluczowe wyrazy i wyra¿enia

Popularne fragmenty

Strona 40 - ... par la sagesse on n'entend pas seulement la prudence dans les affaires, mais une parfaite connaissance de toutes les choses, que l'homme peut savoir, tant pour la conduite de sa vie que pour la conservation de sa santé et l'invention
Strona 152 - ... de m'arrêter quelque temps à la contemplation de ce Dieu tout parfait, de peser tout à loisir ses merveilleux attributs ; de considérer, d'admirer et d'adorer l'incomparable beauté de cette immense lumière, au moins autant que la force de mon esprit, qui en demeure en quelque sorte ébloui, me le pourra permettre.
Strona 372 - ... molécules qui y sont entraînées, mais non les molécules individuelles elles-mêmes ; au contraire, la matière actuelle du corps vivant n'y sera bientôt plus, et cependant elle est dépositaire de la force qui contraindra la matière future à marcher dans le même sens qu'elle. Ainsi la forme de ces corps leur est plus essentielle que leur matière, puisque celle-ci change sans cesse, tandis que l'autre se conserve (2).
Strona 222 - Elle n'est point comprise en eux, et ils se dérivent d'elle. Toute vie est un de ses moments, tout être est une de ses formes ; et les séries des choses descendent d'elle, selon des nécessités indestructibles, reliées par les divins anneaux de sa chaîne d'or.
Strona 40 - Premièrement, j'ai tâché de trouver en général les principes ou premières causes de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde, sans rien considérer pour cet effet que Dieu seul, qui l'a créé, ni les tirer d'ailleurs que de certaines semences de vérités qui sont naturellement en nos âmes.
Strona 222 - Par cette hiérarchie de nécessités, le monde forme un être unique, indivisible, dont tous les êtres sont les membres. Au suprême sommet des choses, au plus haut de l'éther lumineux et inaccessible, se prononce l'axiome éternel, et le retentissement prolongé de cette formule créatrice compose, par ses ondulations inépuisables, l'immensité de l'univers.
Strona 543 - ... et le vice, si ce n'est comme privation de la règle, de la droiture et de la vertu? Il ya donc primitivement une intelligence, une science certaine, une vérité, une fermeté, une inflexibilité dans le bien, une règle, un ordre, avant...
Strona 543 - On dit : Le parfait n'est pas. Le parfait n'est qu'une idée de notre esprit qui va s'élevant de l'imparfait qu'on voit de ses yeux, jusqu'à une perfection qui n'a de réalité que dans la pensée. C'est le raisonnement que l'impie voudrait faire dans son cœur insensé, qui ne songe pas que le parfait est le premier et en soi et en nos idées, et que l'imparfait en toutes façons n'en est qu'une dégradation.
Strona 521 - Dis, mon âme, comment entends-tu le néant, sinon par l'être? Comment entends-tu la privation, si ce n'est par la forme dont elle prive? Comment l'imperfection, si ce n'est par la perfection dont elle déchoit?
Strona 525 - Rien n'est si négatif qu'une borne; car qui dit borne dit négation de toute étendue ultérieure. Il faut donc que je m'accoutume à regarder toujours le terme de fini comme étant négatif, par conséquent celui d'infini est trèspositif.

Informacje bibliograficzne