Éléments de littérature, Tom 3Verdière, 1825 |
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Strona 6
... simple , plus naturel , plus sincère qu'une harangue ; mais cela même encore n'est pas la vérité littérale , et chaque article du discours , même indirect , ne sera qu'une conjecture fon- dée sur les caractères , ou autorisée par les ...
... simple , plus naturel , plus sincère qu'une harangue ; mais cela même encore n'est pas la vérité littérale , et chaque article du discours , même indirect , ne sera qu'une conjecture fon- dée sur les caractères , ou autorisée par les ...
Strona 7
... simple récit ; sa précision fera sa force . Mais s'agit - il de dévelop- per les sentiments d'une ame passionnée , et de faire passer dans d'autres ames la chaleur de ses mouvements ; on peut , je crois , sans balancer , employer la ...
... simple récit ; sa précision fera sa force . Mais s'agit - il de dévelop- per les sentiments d'une ame passionnée , et de faire passer dans d'autres ames la chaleur de ses mouvements ; on peut , je crois , sans balancer , employer la ...
Strona 10
... simple félicitation , mais l'oraison de Cicéron pour Marcellus en est un modèle inimitable : car en même temps qu'elle est pour César l'éloge le plus magnifique et le plus juste , elle est aussi pour lui la plus adroite , la plus ...
... simple félicitation , mais l'oraison de Cicéron pour Marcellus en est un modèle inimitable : car en même temps qu'elle est pour César l'éloge le plus magnifique et le plus juste , elle est aussi pour lui la plus adroite , la plus ...
Strona 36
... simple ana- logie des nombres avec le caractère de la pen- sée . La ressemblance réelle et sensible des sons et des mouvements de la langue avec ceux de la nature , cette harmonie imitative qu'on ap- pelle onomatopée , et dont nous ...
... simple ana- logie des nombres avec le caractère de la pen- sée . La ressemblance réelle et sensible des sons et des mouvements de la langue avec ceux de la nature , cette harmonie imitative qu'on ap- pelle onomatopée , et dont nous ...
Strona 62
... simple ; mais la vérité simple a sa couleur , comme elle à sa lumière , et sa lumière n'est dénuée ni de force ni de chaleur . L'historien est un témoin fidèle , grave , ingénu , mais sensible ; et son style n'en est que plus sincère ...
... simple ; mais la vérité simple a sa couleur , comme elle à sa lumière , et sa lumière n'est dénuée ni de force ni de chaleur . L'historien est un témoin fidèle , grave , ingénu , mais sensible ; et son style n'en est que plus sincère ...
Spis tre¶ci
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
æther Anacréon Aristote Armide beau beauté carac caractère cause chant charme choses Cicéron Cléon comique crime Démosthène désinences dieux dire dit-il doit donner douleur Élém éloquence enim Eschine esprits etiam exemple faible Fingal génie genre goût Grecs harangues Hécube Homère hommes idée images imiter l'action l'ame l'amour l'art l'autre l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'expression l'histoire l'Iliade l'illusion l'image l'ode l'orateur l'oreille l'un laisse langage langue Littér lyrique Massillon ment Mérope merveilleux Métastase modèle mœurs Molière moral mort mouvements moyens musique nasale nature naturel nombre non-seulement objet Orat oratio oratoire pantomime parler parterre passer passions pathétique peindre peint peinture pensée période personnages peuple Pindare plaisir poème poésie poète prose prosodie qu'un quæ quelquefois quum raison ridicule rien s'il sæpe scène sensible sentiment serait seul simple sion spectacle style sujet syllabes tableau théâtre Thucydide tion Tite-Live tragédie ture vérité vertu veut vices Virgile voilà voix voyelle vraisemblance Xénophon yeux
Popularne fragmenty
Strona 556 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Strona 386 - Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi? Est-ce l'Esprit divin qui s'empare de moi? C'est lui-même. Il m'échauffe. Il parle. Mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Strona 116 - La perte d'un époux ne va point sans soupirs : On fait beaucoup de bruit, et puis on se console. Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole : Le Temps ramène les plaisirs. Entre la veuve d'une année...
Strona 387 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé ' ? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé * ? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide ; De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé ; Ton encens , à ses yeux , est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes*?
Strona 387 - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés? Lève , Jérusalem , lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés: Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière : Les peuples à l'envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d'une sainte ferveur Sentira son âme embrasée ! Cieux , répandez votre rosée , Et que la terre enfante son sauveur ! JOSABET.
Strona 139 - Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes.
Strona 556 - Mais je me sens jaloux de tout ce qui te touche, De l'air qui, si souvent, entre et sort par ta bouche; Je crois qu'à ton sujet le soleil fait le jour Avecque des flambeaux et d'envie et d'amour.
Strona 309 - Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Strona 31 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît...
Strona 340 - Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers encor témoins de sa victoire; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence...