Éléments de littérature, Tom 3Verdière, 1825 |
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... dieux » , sa prose me semble , même du côté de l'harmonie , au- dessus des vers , Cet empire odieux Abhorré des mortels et craint même des dieux . où l'on ne trouve rien de semblable à ces nombres , demeure éternelle des ténèbres et de ...
... dieux » , sa prose me semble , même du côté de l'harmonie , au- dessus des vers , Cet empire odieux Abhorré des mortels et craint même des dieux . où l'on ne trouve rien de semblable à ces nombres , demeure éternelle des ténèbres et de ...
Strona 79
... Auguste , le seul exemple des mœurs antiques ; et , les yeux levés au ciel , on suppliait les dieux de conserver sa race , et de la faire survivre aux méchants . >> 1 comme un coursier fougueux que le frein rédui- rait DE LITTÉRATURE . 79.
... Auguste , le seul exemple des mœurs antiques ; et , les yeux levés au ciel , on suppliait les dieux de conserver sa race , et de la faire survivre aux méchants . >> 1 comme un coursier fougueux que le frein rédui- rait DE LITTÉRATURE . 79.
Strona 89
... dieux mêmes , daignaient vivre avec les bergers : Habitarunt di quoque silvas , Dardaniusque Paris . C'est ainsi que l'idylle , comme nous l'entendons , sans cesser d'être simple , doit être noble et élé- gante . Telle , aimable en son ...
... dieux mêmes , daignaient vivre avec les bergers : Habitarunt di quoque silvas , Dardaniusque Paris . C'est ainsi que l'idylle , comme nous l'entendons , sans cesser d'être simple , doit être noble et élé- gante . Telle , aimable en son ...
Strona 103
... dieux hospitaliers , Un peuple hospitalier ; mais cette idée ne nous est pas assez familière pour se présenter d'abord , à propos d'un arbre qui donne asile aux voyageurs ainsi l'umbram hospitalem d'Horace , traduit à la lettre par un ...
... dieux hospitaliers , Un peuple hospitalier ; mais cette idée ne nous est pas assez familière pour se présenter d'abord , à propos d'un arbre qui donne asile aux voyageurs ainsi l'umbram hospitalem d'Horace , traduit à la lettre par un ...
Strona 106
... dieux de la terre , C'est la louange , Iris . ( LA FONTAINE . ) Démosthène a employé le terme moyen , lors- qu'il a dit d'Eschine : Il vomit contre moi la vieille lie de ses noirceurs ; mais il s'en est dispensé , en disant de Philippe ...
... dieux de la terre , C'est la louange , Iris . ( LA FONTAINE . ) Démosthène a employé le terme moyen , lors- qu'il a dit d'Eschine : Il vomit contre moi la vieille lie de ses noirceurs ; mais il s'en est dispensé , en disant de Philippe ...
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
æther Anacréon Aristote Armide beau beauté carac caractère cause chant charme choses Cicéron Cléon comique crime Démosthène désinences dieux dire dit-il doit donner douleur Élém éloquence enim Eschine esprits etiam exemple faible Fingal génie genre goût Grecs harangues Hécube Homère hommes idée images imiter l'action l'ame l'amour l'art l'autre l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'expression l'histoire l'Iliade l'illusion l'image l'ode l'orateur l'oreille l'un laisse langage langue Littér lyrique Massillon ment Mérope merveilleux Métastase modèle mœurs Molière moral mort mouvements moyens musique nasale nature naturel nombre non-seulement objet Orat oratio oratoire pantomime parler parterre passer passions pathétique peindre peint peinture pensée période personnages peuple Pindare plaisir poème poésie poète prose prosodie qu'un quæ quelquefois quum raison ridicule rien s'il sæpe scène sensible sentiment serait seul simple sion spectacle style sujet syllabes tableau théâtre Thucydide tion Tite-Live tragédie ture vérité vertu veut vices Virgile voilà voix voyelle vraisemblance Xénophon yeux
Popularne fragmenty
Strona 556 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Strona 386 - Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi? Est-ce l'Esprit divin qui s'empare de moi? C'est lui-même. Il m'échauffe. Il parle. Mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Strona 116 - La perte d'un époux ne va point sans soupirs : On fait beaucoup de bruit, et puis on se console. Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole : Le Temps ramène les plaisirs. Entre la veuve d'une année...
Strona 387 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé ' ? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé * ? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide ; De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé ; Ton encens , à ses yeux , est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes*?
Strona 387 - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés? Lève , Jérusalem , lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés: Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière : Les peuples à l'envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d'une sainte ferveur Sentira son âme embrasée ! Cieux , répandez votre rosée , Et que la terre enfante son sauveur ! JOSABET.
Strona 139 - Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes.
Strona 556 - Mais je me sens jaloux de tout ce qui te touche, De l'air qui, si souvent, entre et sort par ta bouche; Je crois qu'à ton sujet le soleil fait le jour Avecque des flambeaux et d'envie et d'amour.
Strona 309 - Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Strona 31 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît...
Strona 340 - Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers encor témoins de sa victoire; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence...